Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Télérama
par François Ekchajzer
Si l’on y croise Nosferatu et l’ange des Ailes du désir, on y entend aussi des femmes et des hommes entretenant avec le sang un rapport singulier et sensible, comme ce film d’un charme envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Par les images qu’elle capte, qui sont parfois elles-mêmes teintées de rouge Yamina Zoutat crée une voie dans laquelle elle peut s’engouffrer, pour retrouver son propre chemin, marqué par les gouttes de sang abandonnées, des histoires qui se recoupent et font office de cailloux, laissés par un Petit Poucet poétique, pour ne pas se perdre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Yamina Moutat signe ainsi une réflexion personnelle, un peu trop conceptuelle, mais souvent pertinente sur cet élément de vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Yamina Zoutat capte l’époque sans dicter de message, au fil d’un télescopage d’images minimalistes, qui prennent peu à peu leur cohérence, la cinéaste tirant les fils de son existence pour les relier au monde qui l’entoure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre autobiographie et témoignages, Yamina Zoutat, ex-chroniqueuse qui couvrit pour une chaîne de télévision le procès du sang contaminé, interroge notre rapport à ce liquide source de vie et de fantasmes. Osé, souvent beau, toujours intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
C’est entre sa poésie de colleur d’images, jamais rassasié de trouver de nouvelles résonances, et sa rigueur clinique de scientifique que le film trouve son charme envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Frôlant l’effet pot-pourri sans qu’on saisisse toujours la logique qui l’innerve – philosophique, scientifique, pédagogique ou purement plastique – le résultat réserve malgré tout de beaux moments de fascination.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Lucie Chiquer
Aussi vulnérable que radical, Chienne de rouge convoque l’intimité des corps meurtris et incite, avec une grande délicatesse, à écouter ceux qui ont souffert.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Du sang, on retient plutôt ici la circulation silencieuse, loin du gore : l’affaire du sang contaminé dans les années 1990, les histoires de transfusions réussies et les recherches généalogiques ont en commun de tisser entre les gens, souvent des inconnus, des « liens du sang » et de gémellité tardive.
Critikat.com
par Lukas Moreau
Si les effets poétiques et la trajectoire assez convenue du film ne convainquent pas, Chienne de rouge est toutefois traversé ici et là par des idées plus étonnantes.
Télérama
Si l’on y croise Nosferatu et l’ange des Ailes du désir, on y entend aussi des femmes et des hommes entretenant avec le sang un rapport singulier et sensible, comme ce film d’un charme envoûtant.
aVoir-aLire.com
Par les images qu’elle capte, qui sont parfois elles-mêmes teintées de rouge Yamina Zoutat crée une voie dans laquelle elle peut s’engouffrer, pour retrouver son propre chemin, marqué par les gouttes de sang abandonnées, des histoires qui se recoupent et font office de cailloux, laissés par un Petit Poucet poétique, pour ne pas se perdre.
L'Obs
Yamina Moutat signe ainsi une réflexion personnelle, un peu trop conceptuelle, mais souvent pertinente sur cet élément de vie.
Le Monde
Yamina Zoutat capte l’époque sans dicter de message, au fil d’un télescopage d’images minimalistes, qui prennent peu à peu leur cohérence, la cinéaste tirant les fils de son existence pour les relier au monde qui l’entoure.
Les Fiches du Cinéma
Entre autobiographie et témoignages, Yamina Zoutat, ex-chroniqueuse qui couvrit pour une chaîne de télévision le procès du sang contaminé, interroge notre rapport à ce liquide source de vie et de fantasmes. Osé, souvent beau, toujours intéressant.
Les Inrockuptibles
C’est entre sa poésie de colleur d’images, jamais rassasié de trouver de nouvelles résonances, et sa rigueur clinique de scientifique que le film trouve son charme envoûtant.
Libération
Frôlant l’effet pot-pourri sans qu’on saisisse toujours la logique qui l’innerve – philosophique, scientifique, pédagogique ou purement plastique – le résultat réserve malgré tout de beaux moments de fascination.
Première
Aussi vulnérable que radical, Chienne de rouge convoque l’intimité des corps meurtris et incite, avec une grande délicatesse, à écouter ceux qui ont souffert.
Cahiers du Cinéma
Du sang, on retient plutôt ici la circulation silencieuse, loin du gore : l’affaire du sang contaminé dans les années 1990, les histoires de transfusions réussies et les recherches généalogiques ont en commun de tisser entre les gens, souvent des inconnus, des « liens du sang » et de gémellité tardive.
Critikat.com
Si les effets poétiques et la trajectoire assez convenue du film ne convainquent pas, Chienne de rouge est toutefois traversé ici et là par des idées plus étonnantes.