Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un portrait bouleversant et passionnant.
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
En résulte un remarquable documentaire qui, à travers le portrait de sa lumineuse héroïne car c’en est une, dresse celui d’un hôpital public en crise. S’y retrouve le talent du metteur en scène pour saisir le réel et l’intime sans céder au pathos ou à l’impudeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Après le succès d’Adolescentes et de Petite fille, Sébastien Lifshitz confirme son talent de portraitiste avec Madame Hofmann, en abordant la paupérisation de l’hôpital public sous l’angle singulier d’une cadre hospitalière à la veille de la retraite.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le cinéaste dépeint, par l’intermédiaire de Sylvie Hofmann, l’hôpital en crise, en manque de tout, de matériel et de soignant·es, c’est moins pour en chroniquer le chaos que pour honorer l’intelligence humaine qui lui fait face.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Profondément humain et puissamment politique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un lumineux hommage aux soignants.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
À travers le regard attentif de Lifshitz, toujours soucieux de mettre dans la lumière les anonymes et les invisibles, les combats se racontent non pas à partir des revendications, mais de la vie de Sylvie, à l'hôpital et au dehors.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Tout ce que Sébastien Lifshitz filme se transforme en or. L’acuité de son regard de documentariste fait de Madame Hofmann un portrait de femme passionnant, ainsi qu’une étude essentielle sur l’état de l’hôpital public et de ses soignants. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Comme à son habitude, Sébastien Lifshitz filme ce quotidien avec des images d'une grande beauté. Il intercale dans la folie du quotidien des séquences silencieuses, moments suspendus dans cette course incessante, instants de pause dans cette fuite en avant qu'est la vie, qui a filé si vite, constate Sylvie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Comme dans Adolescentes, les Invisibles ou Petite Fille, Sébastien Lifshitz ausculte le singulier et l’extraordinaire dans le quotidien des gens ordinaires, ceux dont l’histoire ne retient pas le nom. Le documentariste les mue en véritable héros de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Au cœur du projet, il y a ce rapport de confiance unique que le réalisateur instaure avec les êtres qu’il regarde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Sébastien Lifshitz suit le quotidien d’une cadre infirmière de l’hôpital Nord à Marseille et dresse le portrait bouleversant et joyeux d’une femme exemplaire qui a dédié sa vie au service public.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Spontanée, vive, en verve, Sylvie Hofmann ne joue pas devant la caméra.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Sébastien Lifshitz filme le quotidien d’une infirmière à un an de sa retraite. Il a bien trouvé son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Certes, il n’est pas anodin que la situation de l’hôpital public soit ici ramenée aux seules dimensions d’un personnage sacrificiel, comme si la seule réponse à la crise de l’institution consistait en un dévouement sans borne, une résolution à ne pas compter ses heures. Cependant, Lifshitz regarde son personnage à un autre niveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Sébastien Lifshitz brosse le portrait passionnant d’une soldate de l’hôpital public.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans ce documentaire émouvant, Sébastien Lifshitz rend compte du quotidien d'une infirmière qui, depuis des décennies, travaille dans un service de cancérologie. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Témoignage implacable sur l’engagement d’une femme et sur le délabrement du système de soins, ce documentaire sensible et offensif mérite d’attirer en masse les spectateurs dans les salles.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Sébastien Lifshitz continue de réenchanter le documentaire, avec un nouveau portrait poignant d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un portrait édifiant.
Télé 2 semaines
par S.O.
À travers le bouleversant portrait d'une femme admirable, "Madame Hofmann" dresse un état des lieux saisissant de l'hôpital public et témoigne d'une période qui paraît déjà lointaine, celle des premières vagues de l'épidémie de Covid.
Télérama
par Jacques Morice
Le portrait émouvant d’une héroïne du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Comme à chacun de ses longs métrages, Sébastien Lifshitz transforme ses personnages anonymes en de véritables héros du quotidien, grâce à la magie de son regard et la puissance émotionnelle de sa caméra.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Sylvie a beau briller par son humanité fébrile, dire qu’elle n’a pas le pouvoir de décider qui vivra et mourra, craindre les mouches porteuses de mauvais présage, son dévouement à son travail […] est présenté comme un sacrifice. Talonnée par la caméra, parfois interrogée de face, c’est elle et son sacerdoce, plus que le dysfonctionnement de l’hôpital ou les soins prodigués, qui intéressent le réalisateur : chaque échange avec ses collègues ou ses proches ajoute à son mérite.
Libération
par Luc Chessel
Sébastien Lifshitz, qui utilise, en toute innocence et bonne foi, le mot «casting» pour parler de sa longue recherche d’une infirmière à l’hôpital public après avoir eu l’idée du film, organise son matériau biographique comme un scénario bien ficelé, sous une couche épaisse de récit dont les trous, par moments, laisseraient filtrer vers nous quelques rayons de Sylvie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Sébastien Lifshitz (« Les invisibles », « Les corps ouverts ») fait le portrait subtil d’une femme, cheffe infirmière au grand cœur, et livre une radiographie attentive et implacable des maux de l’hôpital public.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Robin Vaz
Si le film réussit en partie à saisir la singularité du regard de Sylvie, la structure trop cadenassée du portrait finit par montrer ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Un portrait bouleversant et passionnant.
Le Journal du Dimanche
En résulte un remarquable documentaire qui, à travers le portrait de sa lumineuse héroïne car c’en est une, dresse celui d’un hôpital public en crise. S’y retrouve le talent du metteur en scène pour saisir le réel et l’intime sans céder au pathos ou à l’impudeur.
Les Fiches du Cinéma
Après le succès d’Adolescentes et de Petite fille, Sébastien Lifshitz confirme son talent de portraitiste avec Madame Hofmann, en abordant la paupérisation de l’hôpital public sous l’angle singulier d’une cadre hospitalière à la veille de la retraite.
Les Inrockuptibles
Si le cinéaste dépeint, par l’intermédiaire de Sylvie Hofmann, l’hôpital en crise, en manque de tout, de matériel et de soignant·es, c’est moins pour en chroniquer le chaos que pour honorer l’intelligence humaine qui lui fait face.
Première
Profondément humain et puissamment politique.
Télé 7 Jours
Un lumineux hommage aux soignants.
Dernières Nouvelles d'Alsace
À travers le regard attentif de Lifshitz, toujours soucieux de mettre dans la lumière les anonymes et les invisibles, les combats se racontent non pas à partir des revendications, mais de la vie de Sylvie, à l'hôpital et au dehors.
Ecran Large
Tout ce que Sébastien Lifshitz filme se transforme en or. L’acuité de son regard de documentariste fait de Madame Hofmann un portrait de femme passionnant, ainsi qu’une étude essentielle sur l’état de l’hôpital public et de ses soignants. Magnifique.
Franceinfo Culture
Comme à son habitude, Sébastien Lifshitz filme ce quotidien avec des images d'une grande beauté. Il intercale dans la folie du quotidien des séquences silencieuses, moments suspendus dans cette course incessante, instants de pause dans cette fuite en avant qu'est la vie, qui a filé si vite, constate Sylvie.
L'Humanité
Comme dans Adolescentes, les Invisibles ou Petite Fille, Sébastien Lifshitz ausculte le singulier et l’extraordinaire dans le quotidien des gens ordinaires, ceux dont l’histoire ne retient pas le nom. Le documentariste les mue en véritable héros de cinéma.
L'Obs
Au cœur du projet, il y a ce rapport de confiance unique que le réalisateur instaure avec les êtres qu’il regarde.
La Croix
Sébastien Lifshitz suit le quotidien d’une cadre infirmière de l’hôpital Nord à Marseille et dresse le portrait bouleversant et joyeux d’une femme exemplaire qui a dédié sa vie au service public.
Le Dauphiné Libéré
Spontanée, vive, en verve, Sylvie Hofmann ne joue pas devant la caméra.
Le Figaro
Sébastien Lifshitz filme le quotidien d’une infirmière à un an de sa retraite. Il a bien trouvé son personnage.
Le Monde
Certes, il n’est pas anodin que la situation de l’hôpital public soit ici ramenée aux seules dimensions d’un personnage sacrificiel, comme si la seule réponse à la crise de l’institution consistait en un dévouement sans borne, une résolution à ne pas compter ses heures. Cependant, Lifshitz regarde son personnage à un autre niveau.
Le Parisien
Sébastien Lifshitz brosse le portrait passionnant d’une soldate de l’hôpital public.
Les Echos
Dans ce documentaire émouvant, Sébastien Lifshitz rend compte du quotidien d'une infirmière qui, depuis des décennies, travaille dans un service de cancérologie. Une réussite.
Marianne
Témoignage implacable sur l’engagement d’une femme et sur le délabrement du système de soins, ce documentaire sensible et offensif mérite d’attirer en masse les spectateurs dans les salles.
Marie Claire
Sébastien Lifshitz continue de réenchanter le documentaire, avec un nouveau portrait poignant d'humanité.
Ouest France
Un portrait édifiant.
Télé 2 semaines
À travers le bouleversant portrait d'une femme admirable, "Madame Hofmann" dresse un état des lieux saisissant de l'hôpital public et témoigne d'une période qui paraît déjà lointaine, celle des premières vagues de l'épidémie de Covid.
Télérama
Le portrait émouvant d’une héroïne du quotidien.
aVoir-aLire.com
Comme à chacun de ses longs métrages, Sébastien Lifshitz transforme ses personnages anonymes en de véritables héros du quotidien, grâce à la magie de son regard et la puissance émotionnelle de sa caméra.
Cahiers du Cinéma
Sylvie a beau briller par son humanité fébrile, dire qu’elle n’a pas le pouvoir de décider qui vivra et mourra, craindre les mouches porteuses de mauvais présage, son dévouement à son travail […] est présenté comme un sacrifice. Talonnée par la caméra, parfois interrogée de face, c’est elle et son sacerdoce, plus que le dysfonctionnement de l’hôpital ou les soins prodigués, qui intéressent le réalisateur : chaque échange avec ses collègues ou ses proches ajoute à son mérite.
Libération
Sébastien Lifshitz, qui utilise, en toute innocence et bonne foi, le mot «casting» pour parler de sa longue recherche d’une infirmière à l’hôpital public après avoir eu l’idée du film, organise son matériau biographique comme un scénario bien ficelé, sous une couche épaisse de récit dont les trous, par moments, laisseraient filtrer vers nous quelques rayons de Sylvie.
Paris Match
Sébastien Lifshitz (« Les invisibles », « Les corps ouverts ») fait le portrait subtil d’une femme, cheffe infirmière au grand cœur, et livre une radiographie attentive et implacable des maux de l’hôpital public.
Critikat.com
Si le film réussit en partie à saisir la singularité du regard de Sylvie, la structure trop cadenassée du portrait finit par montrer ses limites.