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Oscillant entre interrogation intime et véritable suspense, "Mexico 86" tient la note de l'émotion et de l'empathie à l'égard de ce personnage de mère écartelée.
Avec "Mexico 86", César Díaz poursuit le travail de mémoire amorcé dans "Nuestras madres". Porté par une Bérénice Bejo remarquable de retenue, ce second long métrage déploie avec justesse un récit pudique mais traversé d’émotions puissantes.
César Diaz aborde la lutte des combattants de l'ombre et le dépassement de soi, par le prisme de la famille, à hauteur de femme et d'enfant. C'est ce qui fait l'originalité et la réussite de ce thriller, à la fois sensible et intense, soutenu par des scènes d'action très réalistes.
Autour de fausses identités, de traques, et d’enjeux de maintien d’un lien intime, le scénario se construit habilement, alors que la mise en scène se met au diapason de l’épuisement progressif de ces fuyards obligés, avec notamment une ambiance de plus en plus sombre. De quoi générer un beau suspense, assorti de quelques pointes d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le réalisateur César Diaz puise dans son enfance l’inspiration de ce film sur le choix impossible d’une activiste guatémaltèque superbement interprétée par Bérénice Bejo.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Malgré toutes ses qualités, "Mexico 86" semble ne jamais déployer tout son potentiel. Diaz tourne un film mesuré, bien tenu, mais presque trop modeste.
La force tranquille de la réalisation – qui ne s’agite jamais inutilement dans les scènes de course- poursuite - offre un écrin parfait à Bérénice Bejo qui livre une de ses belles compositions avec The Artist, Le Passé et L’Economie du couple dans le rôle le plus passionnant qu’elle ait eu à incarner.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sobre, direct, "Mexico 86" décortique avec subtilité, sans emphase romantique, l’engagement d’une activiste face à l’oppression. Son courage, son intégrité, mais aussi ses dilemmes, ses ambivalences, son extrême solitude.
En s’obstinant à faire de son héroïne une figure aussi malmenée qu’exemplaire, le film dilapide la complexité de son portrait au profit d’une simple mécanique scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Pour Bérénice Bejo, d’origine argentine, et pour le réalisateur, qui rend hommage à sa mère, ce portrait d’une résistante à la junte guatémaltèque, tiraillée entre son activisme et l’éducation de son fils, veut dire beaucoup. Pour le spectateur, hélas, c’est l’inverse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le récit dilue sa force politique initiale dans un mélodrame qui braque une empathie facile et décentre la gravité du film vers un sentimentalisme finalement peu engageant.
Sur un sujet aussi passionnant, on aurait aimé un film qui le soit autant. Las ! Tout est plat, sans surprises, jamais haletant dans « Mexico 1986 », le réalisateur se contentant de serrer de près ses comédiens, Bérénice Bejo en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On ne peut que constater l’incapacité du film à puiser dans l’immense matière (politique, dramaturgique et esthétique) qu’il avait entre les mains, jusqu’à sa restitution beaucoup trop scolaire des années 1980 à Mexico City qu’il laisse au stade de décorum figé.
Certes, le sujet abordé est fort, politique et possède des résonances modernes, en plus de ressasser des douleurs passées, mais le traitement, contrairement à ce que laisse penser la bande-annonce plutôt musclée, lasse plus qu’il ne happe le spectateur.
Cette relation difficile n’est pas, à l’écran, aussi émouvante qu’elle aurait pu l’être. Et si l’engagement politique nourrit des scènes plus fortes (une filature meurtrière dans la foule, notamment), il reste malgré tout au second plan et semble simplifié. Avec cette relation où l’équilibre fait défaut, le film ne trouve pas non plus le sien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Tourné comme un thriller d'espionnage, ce film distille avec élégance suspense et émotion.
Franceinfo Culture
"Mexico 86", un thriller politique dans lequel la petite histoire, le drame familial, rejoint la grande histoire. Sombre et lumineux. Indispensable.
La Tribune Dimanche
Oscillant entre interrogation intime et véritable suspense, "Mexico 86" tient la note de l'émotion et de l'empathie à l'égard de ce personnage de mère écartelée.
Les Fiches du Cinéma
Avec "Mexico 86", César Díaz poursuit le travail de mémoire amorcé dans "Nuestras madres". Porté par une Bérénice Bejo remarquable de retenue, ce second long métrage déploie avec justesse un récit pudique mais traversé d’émotions puissantes.
Ouest France
Bérénice Béjo impressionne.
Télé 7 Jours
César Diaz aborde la lutte des combattants de l'ombre et le dépassement de soi, par le prisme de la famille, à hauteur de femme et d'enfant. C'est ce qui fait l'originalité et la réussite de ce thriller, à la fois sensible et intense, soutenu par des scènes d'action très réalistes.
Abus de Ciné
Autour de fausses identités, de traques, et d’enjeux de maintien d’un lien intime, le scénario se construit habilement, alors que la mise en scène se met au diapason de l’épuisement progressif de ces fuyards obligés, avec notamment une ambiance de plus en plus sombre. De quoi générer un beau suspense, assorti de quelques pointes d’émotion.
La Croix
Le réalisateur César Diaz puise dans son enfance l’inspiration de ce film sur le choix impossible d’une activiste guatémaltèque superbement interprétée par Bérénice Bejo.
Le Monde
De manière convaincante, la mise en scène mêle les codes du film d’espionnage paranoïaque à ceux d’un drame intimiste.
Les Echos
Bérénice Bejo porte ce film sincère et touchant, malgré une mise en scène timorée.
Positif
Malgré toutes ses qualités, "Mexico 86" semble ne jamais déployer tout son potentiel. Diaz tourne un film mesuré, bien tenu, mais presque trop modeste.
Première
La force tranquille de la réalisation – qui ne s’agite jamais inutilement dans les scènes de course- poursuite - offre un écrin parfait à Bérénice Bejo qui livre une de ses belles compositions avec The Artist, Le Passé et L’Economie du couple dans le rôle le plus passionnant qu’elle ait eu à incarner.
Sud Ouest
Sobre, direct, "Mexico 86" décortique avec subtilité, sans emphase romantique, l’engagement d’une activiste face à l’oppression. Son courage, son intégrité, mais aussi ses dilemmes, ses ambivalences, son extrême solitude.
Critikat.com
En s’obstinant à faire de son héroïne une figure aussi malmenée qu’exemplaire, le film dilapide la complexité de son portrait au profit d’une simple mécanique scénaristique.
L'Obs
Pour Bérénice Bejo, d’origine argentine, et pour le réalisateur, qui rend hommage à sa mère, ce portrait d’une résistante à la junte guatémaltèque, tiraillée entre son activisme et l’éducation de son fils, veut dire beaucoup. Pour le spectateur, hélas, c’est l’inverse.
Le Dauphiné Libéré
Le récit dilue sa force politique initiale dans un mélodrame qui braque une empathie facile et décentre la gravité du film vers un sentimentalisme finalement peu engageant.
Le Parisien
Sur un sujet aussi passionnant, on aurait aimé un film qui le soit autant. Las ! Tout est plat, sans surprises, jamais haletant dans « Mexico 1986 », le réalisateur se contentant de serrer de près ses comédiens, Bérénice Bejo en tête.
Les Inrockuptibles
On ne peut que constater l’incapacité du film à puiser dans l’immense matière (politique, dramaturgique et esthétique) qu’il avait entre les mains, jusqu’à sa restitution beaucoup trop scolaire des années 1980 à Mexico City qu’il laisse au stade de décorum figé.
Nice-Matin
Certes, le sujet abordé est fort, politique et possède des résonances modernes, en plus de ressasser des douleurs passées, mais le traitement, contrairement à ce que laisse penser la bande-annonce plutôt musclée, lasse plus qu’il ne happe le spectateur.
Télérama
Cette relation difficile n’est pas, à l’écran, aussi émouvante qu’elle aurait pu l’être. Et si l’engagement politique nourrit des scènes plus fortes (une filature meurtrière dans la foule, notamment), il reste malgré tout au second plan et semble simplifié. Avec cette relation où l’équilibre fait défaut, le film ne trouve pas non plus le sien.