Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Cette envie de nous proposer un blockbuster intelligent qui a autant le charme du savoir-faire maison niveau action que de composer avec une galerie de personnages humains. Définitivement rien de Minus ici.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers le terrifiant reptile, Takashi Yamazaki signe un conte pacifiste, aussi spectaculaire que monstrueusement humain. Il signe là un hommage à tous ceux qui souffrent des guerres et des catastrophes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Un retour mérité pour ce film aussi impressionnant qu’introspectif sur le Japon après la Seconde Guerre mondiale.
GQ
par Adam Sanchez
En insufflant cette humanité inespérée à ce grand spectacle qui pourrait mollement se limiter à n'être qu'un joyeux plaisir régressif, "Godzilla Minus One" trouve ce que beaucoup de blockbusters ont abandonné en chemin à l'heure des plateformes de streaming et du cynisme des franchises interminables : une étonnante noblesse d'âme qui, malgré la modestie de sa production, lui permet de surpasser la concurrence en la matière.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
C’est bien grâce à son immense et sincère sensibilité que ce conte moral subvertit l’ordre établi du film de monstre tel qu’on le connaît.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
S’il n’est pas exempt de défauts (notamment une abondance de deus ex machina à sa toute fin), Godzilla Minus One réussit à être un grand film de monstre en mettant en avant l’humanité de ses personnages.
Le Parisien
par Michel Valentin
Contre toute attente, ce volet se hisse parmi les meilleurs de la franchise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Véritable tour de force, le film de Takashi Yamazaki redéfinit le prototype même du kaiju eiga (le film de monstre japonais) avec un savoir-faire impressionnant et une ligne claire opportune, à l’heure où le genre (côté américain) a plutôt tendance à se tuméfier en crossovers et autres spin-off indigents.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un spectacle superlatif qui, s’il est n’est pas exempt de défauts (personnage du kamikaze affreusement terne, rebondissements artificiels et happy end chargée en sucre) est clairement l’un des blockbusters les plus ahurissants vu sur grand écran ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
"Godzilla Minus One" traite ses thématiques chafouines avec audace et justesse, dans un équilibre idéal avec le caractère spectaculaire de la saga.
Paris Match
par Yannick Vely
Du vrai cinéma à l’ancienne, quand il était un spectacle forain à sensations fortes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Le blockbuster américain est dans un coma dépassé, et la dernière réussite incontestable en date était Nope de Jordan Peele, tout autant un film à énigmes tordu et obsédant, qu’une chasse au monstre spectaculaire en IMAX. Godzilla Minus One -qui ne sortira que deux jours seulement en France, dans les salles IMAX notamment- est son cousin japonais : aussi clair et précis que Nope était tordu, mais tout aussi obsédant, et tout aussi spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Ce film d’époque, malin et impressionnant, met à l’amende le blockbuster américain moyen.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
À cette échelle humaine, l’empathie est d’autant plus grande : Minus One ose tirer vers le mélo, voire ,basculer dans une naïveté de nanar léger, çà et là.
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Un spectacle délicieusement régressif…
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Mitterrand Munch
Si l’on s’en tient aux seules apparitions de la créature, le pari se révèle plutôt gagnant. Mais malgré de belles scènes spectaculaires, le retour aux sources proposé par Godzilla Minus One n’est pas sans cultiver une petite musique rétrograde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Geek
Cette envie de nous proposer un blockbuster intelligent qui a autant le charme du savoir-faire maison niveau action que de composer avec une galerie de personnages humains. Définitivement rien de Minus ici.
Les Echos
A travers le terrifiant reptile, Takashi Yamazaki signe un conte pacifiste, aussi spectaculaire que monstrueusement humain. Il signe là un hommage à tous ceux qui souffrent des guerres et des catastrophes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un retour mérité pour ce film aussi impressionnant qu’introspectif sur le Japon après la Seconde Guerre mondiale.
GQ
En insufflant cette humanité inespérée à ce grand spectacle qui pourrait mollement se limiter à n'être qu'un joyeux plaisir régressif, "Godzilla Minus One" trouve ce que beaucoup de blockbusters ont abandonné en chemin à l'heure des plateformes de streaming et du cynisme des franchises interminables : une étonnante noblesse d'âme qui, malgré la modestie de sa production, lui permet de surpasser la concurrence en la matière.
L'Ecran Fantastique
C’est bien grâce à son immense et sincère sensibilité que ce conte moral subvertit l’ordre établi du film de monstre tel qu’on le connaît.
Le Dauphiné Libéré
S’il n’est pas exempt de défauts (notamment une abondance de deus ex machina à sa toute fin), Godzilla Minus One réussit à être un grand film de monstre en mettant en avant l’humanité de ses personnages.
Le Parisien
Contre toute attente, ce volet se hisse parmi les meilleurs de la franchise.
Les Inrockuptibles
Véritable tour de force, le film de Takashi Yamazaki redéfinit le prototype même du kaiju eiga (le film de monstre japonais) avec un savoir-faire impressionnant et une ligne claire opportune, à l’heure où le genre (côté américain) a plutôt tendance à se tuméfier en crossovers et autres spin-off indigents.
Libération
Un spectacle superlatif qui, s’il est n’est pas exempt de défauts (personnage du kamikaze affreusement terne, rebondissements artificiels et happy end chargée en sucre) est clairement l’un des blockbusters les plus ahurissants vu sur grand écran ces dernières années.
Mad Movies
"Godzilla Minus One" traite ses thématiques chafouines avec audace et justesse, dans un équilibre idéal avec le caractère spectaculaire de la saga.
Paris Match
Du vrai cinéma à l’ancienne, quand il était un spectacle forain à sensations fortes.
Première
Le blockbuster américain est dans un coma dépassé, et la dernière réussite incontestable en date était Nope de Jordan Peele, tout autant un film à énigmes tordu et obsédant, qu’une chasse au monstre spectaculaire en IMAX. Godzilla Minus One -qui ne sortira que deux jours seulement en France, dans les salles IMAX notamment- est son cousin japonais : aussi clair et précis que Nope était tordu, mais tout aussi obsédant, et tout aussi spectaculaire.
Télérama
Ce film d’époque, malin et impressionnant, met à l’amende le blockbuster américain moyen.
Cahiers du Cinéma
À cette échelle humaine, l’empathie est d’autant plus grande : Minus One ose tirer vers le mélo, voire ,basculer dans une naïveté de nanar léger, çà et là.
aVoir-aLire.com
Un spectacle délicieusement régressif…
Critikat.com
Si l’on s’en tient aux seules apparitions de la créature, le pari se révèle plutôt gagnant. Mais malgré de belles scènes spectaculaires, le retour aux sources proposé par Godzilla Minus One n’est pas sans cultiver une petite musique rétrograde.