Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Femme Actuelle
par La rédaction
Puissant et maîtrisé.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ce drame coréen doté d’un uppercut final nous dit finalement que la société qui ne se préoccupe pas de ses anciens menace aussi l’avenir de sa jeunesse. Implacable démonstration.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une tragédie envoûtante dans un quotidien chancelant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Greenhouse évoque avec subtilité les oubliés de la société coréenne.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans la pure tradition du film noir coréen, Greenhouse est une petite merveille de cruauté et d’absurde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce premier long-métrage à la réalisation basique reste un film d’écriture. La mise en place scrupuleuse, bien que manipulatrice, du puzzle narratif, s’accompagne d’un certain goût pour la psychologie fouillée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans le cinéma sud-coréen, il faudra désormais ajouter une réalisatrice de 30 ans, Lee Sol-hui, aux maîtres Lee Chang-dong, Bong Joon-ho et Park Chan-wook.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Isabelle Danel
Lumière et images superbes pour ce premier long-métrage au féminin qui charge trop la mule côté scénario.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un drame trouble sur la fin de vie et la rédemption.
Le Parisien
par Renaud Baronian
À la charnière du drame, du thriller psychologique et du film d’horreur, cet ovni coréen, au suspense angoissant, surprend par son jusqu’au-boutisme sans concession et la manière dont le film pousse sans cesse son antihéroïne vers les ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Entre mélo et thriller, Greenhouse propose deux films en un. La réalisatrice coréenne Lee Sol-hui signe un premier long-métrage un peu hésitant, mais prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Clément Colliaux
Dans un film à la mécanique trop bien huilée, Lee Sol-hui dépeint le portrait d’une aide à domicile au quotidien morne jusqu’à ce qu’elle tue sa patiente par accident.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
La débutante coréenne Sol-hui Lee admire de toute évidence son glorieux aîné Lee Chang-dong (...), mais, pour l’heure, elle ne parvient pas tout à fait à échapper aux pièges de l’imitation.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par François Léger
Un premier film pas exempt de défauts (la conclusion un peu décevante et certaines scènes à la limite du crédible), mais dont le rythme lent et la pudeur de la mise en scène parviennent à refléter la cruauté du piège dans lequel s’est mis elle-même sa protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean Marie Samocki
Plutôt que du thriller, la logique ici à l’œuvre tient d’un burlesque distancié et dérangeant, amplifié par l’usage du montage alterné [...] La cinéaste reste trop attachée aux accents sardoniques de son récit pour atteindre une violence lyrique où la forme elle-même parviendrait à s’autodétruire.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La mise en scène trop en demi-teinte donne une impression de grand écart intenable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par J.-F. R.
Greenhouse, premier long-métrage d’une jeune réalisatrice, Lee Sol-hui, décrit une étonnante évolution fatale des événements qui renvoie, au-delà de la satire politique, à une vision sombre et désespérée du monde et de la condition humaine. Une telle noirceur rend évidemment hommage à une certaine tradition du cinéma sud-coréen, tout en prenant le risque de devenir l’objet d’une mécanique attendue et facilement nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par M.L.
Accumulation de péripéties, le film se perd dans un misérabilisme crasse et ne provoque jamais l'émotion escomptée. Reste les comédiens, excellents, qui donnent un peu de substance à ce mélo.
Télérama
par Marie Sauvion
Misère sociale, grand âge, passé douloureux : la barque, chargée, prend bien un peu l’eau sous le poids de la fatalité, mais il y a, aux commandes, une jeune cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Puissant et maîtrisé.
La Voix du Nord
Ce drame coréen doté d’un uppercut final nous dit finalement que la société qui ne se préoccupe pas de ses anciens menace aussi l’avenir de sa jeunesse. Implacable démonstration.
Les Fiches du Cinéma
Une tragédie envoûtante dans un quotidien chancelant.
Voici
Greenhouse évoque avec subtilité les oubliés de la société coréenne.
aVoir-aLire.com
Dans la pure tradition du film noir coréen, Greenhouse est une petite merveille de cruauté et d’absurde.
CinemaTeaser
Ce premier long-métrage à la réalisation basique reste un film d’écriture. La mise en place scrupuleuse, bien que manipulatrice, du puzzle narratif, s’accompagne d’un certain goût pour la psychologie fouillée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans le cinéma sud-coréen, il faudra désormais ajouter une réalisatrice de 30 ans, Lee Sol-hui, aux maîtres Lee Chang-dong, Bong Joon-ho et Park Chan-wook.
L'Obs
Lumière et images superbes pour ce premier long-métrage au féminin qui charge trop la mule côté scénario.
Le Dauphiné Libéré
Un drame trouble sur la fin de vie et la rédemption.
Le Parisien
À la charnière du drame, du thriller psychologique et du film d’horreur, cet ovni coréen, au suspense angoissant, surprend par son jusqu’au-boutisme sans concession et la manière dont le film pousse sans cesse son antihéroïne vers les ténèbres.
Les Echos
Entre mélo et thriller, Greenhouse propose deux films en un. La réalisatrice coréenne Lee Sol-hui signe un premier long-métrage un peu hésitant, mais prometteur.
Libération
Dans un film à la mécanique trop bien huilée, Lee Sol-hui dépeint le portrait d’une aide à domicile au quotidien morne jusqu’à ce qu’elle tue sa patiente par accident.
Marianne
La débutante coréenne Sol-hui Lee admire de toute évidence son glorieux aîné Lee Chang-dong (...), mais, pour l’heure, elle ne parvient pas tout à fait à échapper aux pièges de l’imitation.
Première
Un premier film pas exempt de défauts (la conclusion un peu décevante et certaines scènes à la limite du crédible), mais dont le rythme lent et la pudeur de la mise en scène parviennent à refléter la cruauté du piège dans lequel s’est mis elle-même sa protagoniste.
Cahiers du Cinéma
Plutôt que du thriller, la logique ici à l’œuvre tient d’un burlesque distancié et dérangeant, amplifié par l’usage du montage alterné [...] La cinéaste reste trop attachée aux accents sardoniques de son récit pour atteindre une violence lyrique où la forme elle-même parviendrait à s’autodétruire.
L'Humanité
La mise en scène trop en demi-teinte donne une impression de grand écart intenable.
Le Monde
Greenhouse, premier long-métrage d’une jeune réalisatrice, Lee Sol-hui, décrit une étonnante évolution fatale des événements qui renvoie, au-delà de la satire politique, à une vision sombre et désespérée du monde et de la condition humaine. Une telle noirceur rend évidemment hommage à une certaine tradition du cinéma sud-coréen, tout en prenant le risque de devenir l’objet d’une mécanique attendue et facilement nihiliste.
Télé Loisirs
Accumulation de péripéties, le film se perd dans un misérabilisme crasse et ne provoque jamais l'émotion escomptée. Reste les comédiens, excellents, qui donnent un peu de substance à ce mélo.
Télérama
Misère sociale, grand âge, passé douloureux : la barque, chargée, prend bien un peu l’eau sous le poids de la fatalité, mais il y a, aux commandes, une jeune cinéaste à suivre.