Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
Court, vif, enlevé, ce premier long métrage fait souffler un vent de fraîcheur sur un sujet pourtant rebattu.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Ce premier film, un très court long métrage, cède à quelques facilités – en évoquant, entre autres, un amour fusionnel devenu impossible pour, on ne sait quelle raison – mais séduit par sa justesse et son alliage de simplicité et de sophistication.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le mélange de scènes très écrites et de séquences improvisées insuffle poésie et énergie à cette chronique touchante de vérité sur le temps qui passe. Quand la fin arrive, un peu trop abrupte, il ne reste plus qu’à imaginer le devenir de chacun des membres de cette tribu à laquelle on s’est attachée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans cette version amère et mélancolique des Copains d’abord, le cinéaste débutant fait preuve d’un bel élan de mise en scène. Survoltée et tendue, celle-ci respire les émotions et les retranscrit à l’écran avec une belle énergie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par M.G.
Malgré quelques déséquilibres, le film impose, entre naturalisme rohmérien et esthétique de vidéoclip, le regard mélancolique d’un réalisateur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le débutant Léo Fontaine signe un premier film en forme de méditation impressionniste. Un film inégal et (souvent) longuet, malgré sa brièveté.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé Loisirs
par C.B.
Malgré une trame bien trop classique, ce premier long métrage parvient à toucher grâce à ces jeunes comédiens charismatiques (...) et des séquences joliment mises en scène.
Le Monde
par V. Cau.
Le scénario demeure, en revanche, trop en surface pour que l’on se passionne pour ces petites histoires personnelles sans grande portée. Jeunesse, mon amour ressemble finalement à un film de fin d’études qui, pour obtenir plus de corps, aurait mérité un plus long temps de maturation
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Gaël Golhen
Sur ce sujet rebattu, Léo Fontaine échoue à faire entendre son originalité dans ce premier long métrage au scénario aussi peu inspiré que sa direction d'acteurs.
Première
par Thierry Chèze
Pour son premier long métrage, Léo Fontaine a choisi d’arpenter un terrain tellement arpenté par le cinéma qu’il se révèle incapable de faire entendre une petite musique singulière, la faute à des personnages, des situations et des échanges trop enfermés dans des archétypes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
Court, vif, enlevé, ce premier long métrage fait souffler un vent de fraîcheur sur un sujet pourtant rebattu.
Télérama
Ce premier film, un très court long métrage, cède à quelques facilités – en évoquant, entre autres, un amour fusionnel devenu impossible pour, on ne sait quelle raison – mais séduit par sa justesse et son alliage de simplicité et de sophistication.
aVoir-aLire.com
Le mélange de scènes très écrites et de séquences improvisées insuffle poésie et énergie à cette chronique touchante de vérité sur le temps qui passe. Quand la fin arrive, un peu trop abrupte, il ne reste plus qu’à imaginer le devenir de chacun des membres de cette tribu à laquelle on s’est attachée.
L'Obs
Dans cette version amère et mélancolique des Copains d’abord, le cinéaste débutant fait preuve d’un bel élan de mise en scène. Survoltée et tendue, celle-ci respire les émotions et les retranscrit à l’écran avec une belle énergie.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques déséquilibres, le film impose, entre naturalisme rohmérien et esthétique de vidéoclip, le regard mélancolique d’un réalisateur à suivre.
Marianne
Le débutant Léo Fontaine signe un premier film en forme de méditation impressionniste. Un film inégal et (souvent) longuet, malgré sa brièveté.
Télé Loisirs
Malgré une trame bien trop classique, ce premier long métrage parvient à toucher grâce à ces jeunes comédiens charismatiques (...) et des séquences joliment mises en scène.
Le Monde
Le scénario demeure, en revanche, trop en surface pour que l’on se passionne pour ces petites histoires personnelles sans grande portée. Jeunesse, mon amour ressemble finalement à un film de fin d’études qui, pour obtenir plus de corps, aurait mérité un plus long temps de maturation
Ouest France
Sur ce sujet rebattu, Léo Fontaine échoue à faire entendre son originalité dans ce premier long métrage au scénario aussi peu inspiré que sa direction d'acteurs.
Première
Pour son premier long métrage, Léo Fontaine a choisi d’arpenter un terrain tellement arpenté par le cinéma qu’il se révèle incapable de faire entendre une petite musique singulière, la faute à des personnages, des situations et des échanges trop enfermés dans des archétypes.