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zafkiel
54 abonnés
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1,5
Publiée le 28 avril 2016
Fan de Sam Neill je m'attendais à du génie dans ce 3ème opus de Damien, pourtant le film est vide, malgré une ambiance sympa par moments, le seigneur du mal est peu et mal exploité. Ça n'aboutit nulle part et tout comme le second opus, la fin abrupte sans saveur n'arrange pas les choses. On est loin, mais alors très loin d'un film d'horreur.
Ce troisième opus de la franchise "La Malédiction" sorti en 1981 et réalisé cette fois-ci par Graham Baker n'est pas terrible. Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas replongé dans cette saga et puis comme, ce film m'intriguant de plus en plus, j'ai finis par le voir et j'en suis assez déçu. Le film est une suite logique et chronologique aux deux premiers car après avoir eu Damien enfant dans le premier film puis Damien adolescent dans le second, nous avons ici un Damien adulte et surtout plus maléfique que jamais. Car oui, il est ici en pleine conscience de ses pouvoirs (ce qu'il commençait déjà bien à avoir dans le deuxième film) et ne se prive pas pour s'en servir à des fins personnelles comme notamment monter dans la hiérarchie ou s'en servir afin de retrouver un nouvel ennemi redoutable. Le scénario, sur le papier, n'est pas franchement mauvais, c'est clairement une suite qui veut continuer d'explorer le filon des deux précédents films à succès mais l'idée est là. Malheureusement, à l'écran, cela rend beaucoup moins bien et nous n'avons plus cette tension ni cette surprise qui faisaient le charme des deux premiers films. Effectivement, le film s'égare ici dans des choses pas vraiment indispensables et clichés que les deux premiers films avaient soigneusement évités. Nous pouvons notamment citer la secte dont Damien en est le leader qui n'a clairement pas sa place dans une saga comme celle-ci. Ce que je veux dire par là, c'est que le film tombe trop facilement dans la facilité avec ce genre de cliché alors que les deux premiers essayaient d'être assez novateurs sur ce point. Le film souffre également d'un rythme trop lent avec des scènes bien souvent longues et assez inintéressantes, ce qui provoque quelques fois l'ennuie. En dehors de ça, Damien exerce toujours ses pouvoirs de la même façon, ce qui est une bonne chose car c'est assez original. Du côté des acteurs, ils sont bons et nous avons, entres autres, Sam Neill qui n'étais alors pas très connu qui joue honnêtement très bien, de plus son physique correspond très bien au personnage. "La Malédiction finale" n'est donc pas terrible et constitue la fameuse suite de trop.
La trilogie s’achève avec LA MALEDICTION FINALE qui voit Damien monter les échelons et obtenir une place dans le gouvernement. Mais il va devoir faire face à la naissance du sauveur, et à une armée de prêtres, prêts à tout pour voir périr le fils du diable. Le maillon pouvait faiblir mais, contre toute attente, ce dernier film d’un triptyque religieux/sataniste se révèle surprenant dans sa démarche. Avec un scénario un brin simpliste, toutefois bien construit avec son lot de rebondissements, LA MALEDICTION FINALE voit un Sam Neill investi et des dialogues très bien écrits (le monologue de Damien envers Jésus est à faire frémir). Une trilogie guère connue, mais qui mérite un franc coup d’œil tant ces trois films parlent de la montée en puissance du fils du diable. Ils sont indissociables (à savourer dans une bonne soirée)
S’il s’avère bien plus réussi que le deuxième volet, c’est que The Final Conflict recouvre l’atmosphère démoniaque de l’œuvre originale ainsi que son cinéaste, Richard Donner, cette fois en qualité de producteur. Le chien, le monastère reclus dans une campagne effrayante, une réalisation maîtrisée qui sait prendre le temps pour mieux nous tenir en haleine lors de retournements mémorables – la séquence de chasse à courre, l’interview télévisée, le suicide de l’ambassadeur dans son bureau – que porte un sens tout particulier du gore, l’ancrage mystique d’un récit gorgé de symboles religieux, les envolées chorales d’un Jerry Goldsmith à son meilleur… La recette fonctionne une fois encore, le spectacle nous emporte du début à la fin en dépit d’une clausule vite expédiée et facile qui choisit le happy end au lieu d’imposer la noirceur attendue. Dans le rôle principal, Sam Neill convainc et parvient à donner à son personnage une ambiguïté véritable oscillant entre l’éclat d’un esprit cultivé et fin, les séductions d’un malin et la détermination froide de l’Antéchrist. Voilà un long métrage injustement mésestimé qu’il convient de réévaluer sans plus tarder.
Dernier opus de l ante christ Damien en devenir ... car désormais adulte, un scénario qui arrive à maintenir le spectateur jusqu'à la fin. Pas mal ... si on pardonne le caractère parfois désuet eu égard l âge du tournage...
un film interessant, étant donné le sujet, mais qui n'est qu'une vision publicitaire du satanisme, lorsqu'on le considere dans la réalité... 1/5. tapez "illuminati" sur google...
Cette suite est d'une lenteur ! Il y a deux ou trois scènes assez intéressantes mais c'est tellement long, et tout ça pour voir une fin tellement ridicule ! http://tempslibre.forumr.net
un scénario dense et plein de bons moments de frisson, une réalisation efficace, une musique grandiose et un sam neill en très grande forme...que du bonheur!
Film bidon pour un ensemble bidonnant, cette suite du cultissime The Omen s'enlise ici dans une psychologie des personnages hilarante de nullité. On ne vous cache pas donc que ce troisième épisode est foncièrement en dessus de l'original car ne nous le cachons pas, cette petite série B ne bénéficie en aucun cas d'un casting et de scènes gores digne de ce nom. A oublier.
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2,5
Publiée le 26 juin 2009
D'après le livre des Rèvèlations, l'arrivèe de l'Armaguedon se trouve programmèe depuis longtemps et l'ultime confrontation entre les forces du bien et du mal dèbutera lorsque l'antè-Christ, le fils de Satan, l'aura dècidè! Avant d'affronter les dinosaures de "Jurassic Park", Sam Neill campe l'antè-Christ devenu adulte dans cette suite aux aventures macabres de Damien! Un rèseau de disciples fidèles le soutient dans sa mission tandis que des moines courageux tentent de l'arrêter par tous les moyens! Les scènes sanglantes sont toujours à l'honneur pour cet affrontement sans pitié qui doit décider du sort de notre planète! Ce troisième opus reste le moins bon de la trilogie mais le film de Graham Baker reste honorable...
Il était évident que la saga de La malédiction devait se terminer sur un chapitre final, où l'on saurait enfin le sort de Damien l'Antéchrist. Mais la réalisation de ce troisième (mais pas ultime) opus n'est hélas pas à la hauteur du deuxième (réalisé par Don Taylor) et encore moins du film culte de Richard Donner. Ici, Graham Baker ne fait que filmer maladroitement des acteurs paumés, jouant dans une histoire abracadabrante, incongrue et mal écrite, au scénario lent, long, sans suspense ni aucun charme. Des dialogues répétitifs, une musique oubliable, des scènes de meurtres invisibles, une lenteur soporifique et un final ridicule rendent ce film définitivement irregardable. Mais le film est seulement raté, pas dispensable. C'est ce qui en fait le fait le plus grand regret...
Quel ennui ! Il ne se passe rien du tout dans ce film. Les deux précédents opus étaient prenant avec beaucoup de tension alors que ici il y a juste une réalisation correcte et un scénario insipide.
Ah, ben voilà ! Là, on s'y retrouve. Après un second opus plat hésitant à faire passer Damien pour une victime doué de surnaturel à la Carrie ou un méchant garçon, Damien joue enfin son rôle de méchant machiavélique. Le fantastique est mieux géré que dans l'opus précédent, et l'histoire est surtout plus ambitieuse. La dimension politique intéresse tout d'abord dans la première partie, et une réelle angoisse commence à naître à partir de la traque du Nazaréen, où tous les fidèles de Damien éradiquent les nouveaux nés sous forme d'accidents. Car on va loin dans les infanticides. Le film n'épargne personne. Relativement mouvementé, le final dans la ruine de cathédrale instille une certaine beauté, bien que le dénouement laisse perplexe. Interprétation assez bonne de tous les acteurs, Sam Neil se révélant plutôt à l'aise dans la peau de Damien. Suite très intéressante, et vraie successeur de l'original.
Affligeant et même pas drôle dans sa nullité. L'Antéchrist est devenu un chef d'entreprise boursicoteur, et il est parano. Il s'en va chercher des réponses dans des ruines et se fait planter au surin comme un pauvre type à qui l'on veut voler son portefeuille dans le métro. Le respect se perd, y'a pas à dire, à tel point que même Dieu et Diable sont pas à l'abri de la racaille.