Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une ode bienfaisante à la solidarité et à l’espérance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le film, pas plus qu’il n’a su commencer, ne sait comment finir et ce n’est pas grave. Puisqu’il se passe quelque chose entre les deux, qui dure, qui marche, qui court et sourit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Des questions déconcertantes de rapports de classes, d’ethnies et de sexualités se nouent alors, au-delà de tout jugement moral. Ces moments parviennent à provoquer un réel trouble et à dépasser le sociologisme.
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec des airs de documentaire tant il est ultra-réaliste, ce long-métrage brosse le portrait d’un migrant écartelé entre deux mondes : celui qu’il a quitté et celui où il voudrait exister. Une fiction sensible, qui nous plonge parfois de manière très littéraire dans la tête de ce déraciné.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La rédaction
Solidement interprété, le film souffre cependant de la comparaison avec des œuvres récentes comme Ils sont vivants ou encore Quelques jours pas plus.
Télé 2 semaines
par S.O.
(...) Les meilleures intentions ne sauraient justifier l'absence quasi totale de mise en scène.
Positif
par Eithne O'Neill
Individuels ou collectifs, les drames du coma, y compris ceux de l'emprisonnement, ne sont pas assez développés, le spectateur ne sait pas sur quel pied danser. Dommage.
Première
par Thierry Chèze
Remarquablement interprété, ce récit aux nobles intentions mais jamais mièvre peine cependant à faire entendre sa singularité face aux récents films (Ils sont vivants, Les Survivants, Quelques jours pas plus…) qui ont su trouver un angle plus affirmé pour aller au-delà de la tragédie des situations rencontrées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
De ce premier film fragile, on retient surtout la tendresse du réalisateur envers son personnage principal, Rohid, interprété par un acteur afghan dans son propre rôle ou presque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Une ode bienfaisante à la solidarité et à l’espérance.
Libération
Le film, pas plus qu’il n’a su commencer, ne sait comment finir et ce n’est pas grave. Puisqu’il se passe quelque chose entre les deux, qui dure, qui marche, qui court et sourit.
Cahiers du Cinéma
Des questions déconcertantes de rapports de classes, d’ethnies et de sexualités se nouent alors, au-delà de tout jugement moral. Ces moments parviennent à provoquer un réel trouble et à dépasser le sociologisme.
Le Parisien
Avec des airs de documentaire tant il est ultra-réaliste, ce long-métrage brosse le portrait d’un migrant écartelé entre deux mondes : celui qu’il a quitté et celui où il voudrait exister. Une fiction sensible, qui nous plonge parfois de manière très littéraire dans la tête de ce déraciné.
Ouest France
Solidement interprété, le film souffre cependant de la comparaison avec des œuvres récentes comme Ils sont vivants ou encore Quelques jours pas plus.
Télé 2 semaines
(...) Les meilleures intentions ne sauraient justifier l'absence quasi totale de mise en scène.
Positif
Individuels ou collectifs, les drames du coma, y compris ceux de l'emprisonnement, ne sont pas assez développés, le spectateur ne sait pas sur quel pied danser. Dommage.
Première
Remarquablement interprété, ce récit aux nobles intentions mais jamais mièvre peine cependant à faire entendre sa singularité face aux récents films (Ils sont vivants, Les Survivants, Quelques jours pas plus…) qui ont su trouver un angle plus affirmé pour aller au-delà de la tragédie des situations rencontrées.
Télérama
De ce premier film fragile, on retient surtout la tendresse du réalisateur envers son personnage principal, Rohid, interprété par un acteur afghan dans son propre rôle ou presque.