Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Pascal Thomas filme avec cette douce mélancolie et ce brin d’ironie si caractéristiques de son cinéma. Il filme en roue libre, un peu comme son héros, qui a de qui tenir, et traverse cette histoire en sifflotant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette comédie hédoniste marque joliment son empreinte au sein d’une société dont Pascal Thomas scrute les évolutions avec une infinie tendresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un voyage frais et vif orchestré par Pascal Thomas très inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce marivaudage intemporel, presque onirique, se révèle plaisant et on y croise un défilé d’acteurs savoureux (Irène Jacob, Pierre Arditi, Anny Duperey, Barbara Schulz, Lolita Chammah…).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Le tout porté par une troupe au diapason (...). Avec eux, l'escapade a du charme.
Positif
par Philippe Rouyer
La fantaisie reste le maître mot de cette comédie qui mêle le vaudeville et le burlesque à un sens de l’absurde qui permet tout.
Télé Loisirs
par S.O.
On est heureux [...] de retrouver le cinéma hédoniste et délicieusement suranné du réalisateur de "La Dilettante".
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Cette fable légère et sympathique nous laisse, comme Victor passant dans la vie sans s'arrêter, une impression de courant d'air frais, sans plus.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Il s’en dégage cependant un charme suranné, notamment à travers l’écriture soignée des dialogues.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Servie par un casting impressionnant, la déambulation est plaisante. Mais aussi l’écho ronronnant d’un cinéma du temps passé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film de Pascal Thomas gravite autour d’un quarantenaire désinvolte jusqu’à en perdre consistance. La nuée de femmes qu’étrangement il attire à lui ne suffit pas à donner corps à ce récit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. Ma.
Reste une fantaisie rattrapée par la désuétude et la nostalgique douceur des paysages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jérémie Couston
Par nostalgie de l’âge d’or de Pascal Thomas, on a souvent été indulgent avec ses œuvres mineures et ultérieures, où subsistait malgré tout l’insouciant parfum des amours libres et la petite musique anachronique des utopies sous Giscard… Il en faudrait beaucoup, d’indulgence, cette fois-ci, pour avaler un conte d’été grossièrement dévergondé (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Joli, un tantinet libertin, mais hélas assez creux, le nouveau film de Pascal Thomas a perdu de sa gouaille fantaisiste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Camille Nevers
Un exercice de contentement de soi achevé, raté, leçon de choses monolithique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Si ce personnage semble regretter une époque où les relations hétérosexuelles étaient plus simples (un segment du film dévolu à la GPA laisse en cela hors- sol), rien n’est fait pour rendre ce mâle, interprété par Alexandre Lafaurie, véritablement attachant. Et ce voyage en pyjama de se révéler, plutôt que vivifiant, soporifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Pascal Thomas filme avec cette douce mélancolie et ce brin d’ironie si caractéristiques de son cinéma. Il filme en roue libre, un peu comme son héros, qui a de qui tenir, et traverse cette histoire en sifflotant.
L'Obs
Cette comédie hédoniste marque joliment son empreinte au sein d’une société dont Pascal Thomas scrute les évolutions avec une infinie tendresse.
Le Figaro
Un voyage frais et vif orchestré par Pascal Thomas très inspiré.
Le Parisien
Ce marivaudage intemporel, presque onirique, se révèle plaisant et on y croise un défilé d’acteurs savoureux (Irène Jacob, Pierre Arditi, Anny Duperey, Barbara Schulz, Lolita Chammah…).
Le Point
Le tout porté par une troupe au diapason (...). Avec eux, l'escapade a du charme.
Positif
La fantaisie reste le maître mot de cette comédie qui mêle le vaudeville et le burlesque à un sens de l’absurde qui permet tout.
Télé Loisirs
On est heureux [...] de retrouver le cinéma hédoniste et délicieusement suranné du réalisateur de "La Dilettante".
Franceinfo Culture
Cette fable légère et sympathique nous laisse, comme Victor passant dans la vie sans s'arrêter, une impression de courant d'air frais, sans plus.
Le Journal du Dimanche
Il s’en dégage cependant un charme suranné, notamment à travers l’écriture soignée des dialogues.
Les Fiches du Cinéma
Servie par un casting impressionnant, la déambulation est plaisante. Mais aussi l’écho ronronnant d’un cinéma du temps passé.
La Croix
Le film de Pascal Thomas gravite autour d’un quarantenaire désinvolte jusqu’à en perdre consistance. La nuée de femmes qu’étrangement il attire à lui ne suffit pas à donner corps à ce récit.
Le Monde
Reste une fantaisie rattrapée par la désuétude et la nostalgique douceur des paysages.
Télérama
Par nostalgie de l’âge d’or de Pascal Thomas, on a souvent été indulgent avec ses œuvres mineures et ultérieures, où subsistait malgré tout l’insouciant parfum des amours libres et la petite musique anachronique des utopies sous Giscard… Il en faudrait beaucoup, d’indulgence, cette fois-ci, pour avaler un conte d’été grossièrement dévergondé (...).
aVoir-aLire.com
Joli, un tantinet libertin, mais hélas assez creux, le nouveau film de Pascal Thomas a perdu de sa gouaille fantaisiste.
Libération
Un exercice de contentement de soi achevé, raté, leçon de choses monolithique.
Première
Si ce personnage semble regretter une époque où les relations hétérosexuelles étaient plus simples (un segment du film dévolu à la GPA laisse en cela hors- sol), rien n’est fait pour rendre ce mâle, interprété par Alexandre Lafaurie, véritablement attachant. Et ce voyage en pyjama de se révéler, plutôt que vivifiant, soporifique.