AlloCiné
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Dommage pas d'actions les journalistes pas motivés pas de scoop pas de réaction dans ce film quel dommage
Le film nous place en Immersion complète dans une équipe de journalistes tv .....on voit donc le mode opérationnel d’une rédaction, avec ses conflits internes, mais surtout avec les dangers auxquels s’exposent les journalistes, quand il doivent se rendre en Afrique ou sur des zones de guerre. Le film a un casting qui provoque l’intérêt et la crédibilité du contenu...Je cite Vincent Elbaz,
mais surtout Roschdy Zem et la touchante Alice Isaaz vue et reconnue par des films comme mademoiselle de Joncquières ou Une belle course...... Le film fonctionne bien, aves des reportages et des scènes de bureaux, des dialogues réalistes, et une mise en scène exhaustive je trouve sur le métier de journaliste tv.....Un univers tout à fait intéressant mais fatiguant sans nul doute...C’est un beau point de vue sur ce métier, qui montre aussi subtilement, que partout où l’on soit rien ne se fait sans sentiments ni amour.....Je conseille
mais surtout Roschdy Zem et la touchante Alice Isaaz vue et reconnue par des films comme mademoiselle de Joncquières ou Une belle course...... Le film fonctionne bien, aves des reportages et des scènes de bureaux, des dialogues réalistes, et une mise en scène exhaustive je trouve sur le métier de journaliste tv.....Un univers tout à fait intéressant mais fatiguant sans nul doute...C’est un beau point de vue sur ce métier, qui montre aussi subtilement, que partout où l’on soit rien ne se fait sans sentiments ni amour.....Je conseille
🎬 RENGER 📼
Gabrielle, 30 ans, intègre en tant que stagiaire, une célèbre émission de reportage. Elle doit rapidement trouver sa place au sein d’une équipe soudée de grands reporters. Ces derniers sont confrontés au quotidien d’un métier qui change, entre les nouveaux canaux de l’information et les baisses de budget… difficile pour eux de s’y retrouver.
Alix Delaporte réalise ici un film choral sur le milieu du journalisme d'investigation. Si le sujet s’avère intéressant, c’est la forme qui pose problème, elle s’intéresse aux coulisses d’une profession sans jamais vraiment nous le montrer. En dehors de filmer les bureaux en bordel (comme on en voit dans toutes agences de reportage ou de journalisme), finalement, le coeur du métier, on ne le verra jamais.
Pire, l’ensemble de la distribution semble être engoncée dans leurs personnages caricaturés à la truelle, entre la stagiaire qui cumule les gaffes de débutante (Alice Isaaz), le rédac’ chef au calme olympien qui cache ses fêlures (Roschdy Zem), la grande gueule sympathique (Pascale Arbillot), le névrosé accroc aux opiacés (Jean-Charles Clichet), l’indépendant révolté (Vincent Elbaz) et le chien-fou (Pierre Lottin).
Vivants (2024) peine réellement à nous tenir captif, on ne se sent jamais concerné par l'histoire, on est constamment laissé sur le bas côté, voyant les acteurs s’évertuer à faire mille choses à la fois comme pour se donner une contenance. On pensait avoir tout vu, tout entendu mais finalement, c’est la dernière scène qui viendra nous achever en nous confirmant à quel point ce film est totalement lunaire, pour ne pas dire… ridicule.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Alix Delaporte réalise ici un film choral sur le milieu du journalisme d'investigation. Si le sujet s’avère intéressant, c’est la forme qui pose problème, elle s’intéresse aux coulisses d’une profession sans jamais vraiment nous le montrer. En dehors de filmer les bureaux en bordel (comme on en voit dans toutes agences de reportage ou de journalisme), finalement, le coeur du métier, on ne le verra jamais.
Pire, l’ensemble de la distribution semble être engoncée dans leurs personnages caricaturés à la truelle, entre la stagiaire qui cumule les gaffes de débutante (Alice Isaaz), le rédac’ chef au calme olympien qui cache ses fêlures (Roschdy Zem), la grande gueule sympathique (Pascale Arbillot), le névrosé accroc aux opiacés (Jean-Charles Clichet), l’indépendant révolté (Vincent Elbaz) et le chien-fou (Pierre Lottin).
Vivants (2024) peine réellement à nous tenir captif, on ne se sent jamais concerné par l'histoire, on est constamment laissé sur le bas côté, voyant les acteurs s’évertuer à faire mille choses à la fois comme pour se donner une contenance. On pensait avoir tout vu, tout entendu mais finalement, c’est la dernière scène qui viendra nous achever en nous confirmant à quel point ce film est totalement lunaire, pour ne pas dire… ridicule.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Une équipe d'excellents acteurs pour déboucher sur un film très moyen que l'in va vite oublier. Une suite de situations jamais vraiment creusées. C'est sympa et un peu ennuyeux
Je n’ai jamais réussi à entrer dans le film. Mise en scène Brouillonne, assez caricaturale, très bobo, très déçue.
Ce film nous plonge dans le quotidien d'une réaction journalistes de la télévision. Avec leurs hauts et leurs bas.
Ce fut bien de voir l'envers du décors. Un très casting qui est la force de se film. J'ai beaucoup aimé le rôle de Alice Isaaz dans rôle de stagiaire.
Ce fut bien de voir l'envers du décors. Un très casting qui est la force de se film. J'ai beaucoup aimé le rôle de Alice Isaaz dans rôle de stagiaire.
pas mal mais pas inoubliable.Le quotidien d’une agence De journalistes.Scenario assez court où pas grand chose ne se passe. Quasi aucune action sur le terrain hormis un reportage sur un défilé de mode ! Le film ne d ailleurs qu 1h23….
Vincent Elbaz et Rosch Dizem portent le film.
Vincent Elbaz et Rosch Dizem portent le film.
Tout simplement génial !
Je tiens à exprimer mon admiration pour ce film. Dès les premières minutes, il a su captiver mon attention de manière remarquable. Nous suivons une équipe de journalistes dans leur quotidien au sein de leur organisation, et la façon dont cela est représenté est d'une grande authenticité. Le film bénéficie de la présence d'excellents acteurs et actrices, chacun apportant une dimension spécifique à l'histoire par le biais de leur personnalité. Leur performance est si convaincante qu'ils parviennent à donner vie de manière majestueuse à leurs rôles.
Pour ma part, j'ai véritablement plongé dans cet univers journalistique. Chaque aspect est minutieusement orchestré pour nous immerger totalement. Ce film aborde de nombreux sujets, et nous les vivons à travers les yeux du personnage de Gabrielle, interprété brillamment par Alice Isaaz. Elle semble incarner certains aspects de la vie de la réalisatrice lorsqu'elle-même évoluait dans le monde du journalisme.
À mes yeux, ce film est le meilleur de la semaine. Il réunit tout ce que j'apprécie : des personnages attachants, quelques notes d'humour pour relâcher la pression, des dialogues profonds, ainsi qu'un univers inconnu exploré avec des plans magnifiques pour nous immerger totalement dans l'histoire. Pour un film dramatique, il est une véritable réussite.
Je tiens à exprimer mon admiration pour ce film. Dès les premières minutes, il a su captiver mon attention de manière remarquable. Nous suivons une équipe de journalistes dans leur quotidien au sein de leur organisation, et la façon dont cela est représenté est d'une grande authenticité. Le film bénéficie de la présence d'excellents acteurs et actrices, chacun apportant une dimension spécifique à l'histoire par le biais de leur personnalité. Leur performance est si convaincante qu'ils parviennent à donner vie de manière majestueuse à leurs rôles.
Pour ma part, j'ai véritablement plongé dans cet univers journalistique. Chaque aspect est minutieusement orchestré pour nous immerger totalement. Ce film aborde de nombreux sujets, et nous les vivons à travers les yeux du personnage de Gabrielle, interprété brillamment par Alice Isaaz. Elle semble incarner certains aspects de la vie de la réalisatrice lorsqu'elle-même évoluait dans le monde du journalisme.
À mes yeux, ce film est le meilleur de la semaine. Il réunit tout ce que j'apprécie : des personnages attachants, quelques notes d'humour pour relâcher la pression, des dialogues profonds, ainsi qu'un univers inconnu exploré avec des plans magnifiques pour nous immerger totalement dans l'histoire. Pour un film dramatique, il est une véritable réussite.
Un bon sujet, mais pas assez exploité. Manque de contenues, de faits... on reste insatisfait.
Une dernière scène inutile et complètement décalée/dérangeante. Comment peut-on encore aujourd'hui faire jouer un chimpanzé vêtu d'une doudoune en pleine ville... (espèce aujourd'hui menacée d'extinction).
Une dernière scène inutile et complètement décalée/dérangeante. Comment peut-on encore aujourd'hui faire jouer un chimpanzé vêtu d'une doudoune en pleine ville... (espèce aujourd'hui menacée d'extinction).
excellent film qui rend compte à travers les yeux d'une stagiaire de la vie d'un groupe de reporter d'images .les acteurs sont très justes avec une mention spéciale pour Alice Isaac géniale. les situations sont évoquées avec subtilité plus que lourdement appuyées. un excellent moment.
Le film nous plonge dsns les "coulisses" d'un groupe de reporters qui peuvent aller jusqu'à risquer leur vie pour être au plus près de l actualité.et une réalité où on leur demande de faire de l audimat et de faire "rêver"..
Super ambiance et esprit de camaraderie et cette image du journalisme d’investigation à l’heure d’un service public bien aseptisé. Dommage que l’heure et quart de film n’aille vraiment pas plus loin que ce que la bande-annonce nous a promis. Frustrant, on aurait aimé en voir plus.
Un bon moment, excellent casting. Intéressant de découvrir l'intérieur d'une rédaction, quelques remarques pertinentes sur ce qu'est devenu le journalisme, et de l'humour. Mais, ça cause beaucoup, il m'a manqué davantage de scènes de travail. Certains passages sans intérêt sont un peu longs et d'autres auraient mérité du développement. On passe à côté d'un bon film, c'est "pas mal" et plaisant.
Le film d’Alix Delaporte, étrangement nommé « Vivants » fait invariablement penser à tous ces films français qui vous immerge dans le quotidien d’une profession et vous le montre sous l’angle d’un néophyte. Ici, c’est donc de journalisme dont il va être question, et pour bien enfoncer le clou, on copie l’affiche sur celle de « Spotlight ». Mais à la différence de ce grand film oscarisé, ici pas de réelle intrigue. Alix Delaporte nous offre un film choral sur une profession en crise, une profession en pleine mutation, le journalisme. C’est de journalisme télévisé dont il est question, mais le film aurait pu être construit sur le sujet du journalisme de presse écrite, la problématique aurait été la même. Son film est bien mis en scène, bien mis en image (avec quelques jolis plans lors de la fashion week) et le rythme ne baisse pas d’intensité. Humour potache, un peu de poésie
spoiler:
(avec la girafe en ballade dans Paris),
mais aussi une certaine gravité spoiler: lorsque l’un des journalistes envoyé en Centrafrique revient blessé avec dans sa caméra des images quasi insoutenables
. Alix Delaporte choisit souvent de filmer les journalistes visionnant les images plutôt que de montrer les images elles-mêmes, elle laisse les regards se détourner devant l’horreur, les larmes venir aux cils devant l’angoisse, c’est un parti-pris intéressant et plein de pudeur. Si on peut trouver certaines scènes étranges, parfois incongrues spoiler: (le post générique de fin par exemple, totalement improbable),
et même parfois inutiles, force est de constater qu’elle est parvenue en 90 minutes à créer une vraie empathie avec ses personnages hauts en couleurs. A tel point que l’on trouve son film trop court, à la fin trop abrupte, et qu’on est un peu frustré lorsque la lumière se rallume. Ce n’est pas souvent en sortant d’une salle de cinéma qu’on se dit que tout le film qu’on vient de voir aurait été une bonne base pour une série (comme « Hippocrate » l’a été pour l’hôpital public par exemple). C’est aussi parce que les personnages sont bien écrits qu’on ressent cette petite frustration. Roschdy Zem est un directeur de rédaction tiraillé entre son passé de grand reporter et son quotidien de journaliste « moderne », il est très bien mais on a un peu trop l’habitude de le voir dans ce genre de rôle de « sage » un peu taiseux. Alice Isaaz incarne jeune stagiaire volontaire et débrouillarde, Pascale Arbillot une reporter surmenée, Vincent Elbaz un reporter tout terrain revenu de tout mais indéniablement courageux. Jean-Charles Clichet hérite sans doute du rôle le plus décalé, un journaliste en proie à ses addictions, un type hyper pointu spoiler: capable de fulgurances géniales mais très plombé par un mode de vie qui va probablement lui coûter cher à long terme.
Cette rédaction ressemble à un îlot de résistance au milieu d’un océan de journalisme « moderne », une sorte de mélange entre « Compléments d’enquête » et d’ « Envoyés Spécial ». Leur moyens diminuent, les pressions du diffuseur sur le choix des sujets sont de plus en plus fortes, les concessions de plus en plus nombreuses. Sous le couvert du film choral et d’une certaine bonne humeur potache, c’est un film très pessimiste sur le métier de journaliste, et cela devrait nous alerter sur un modèle en voie de disparition, l’investigation. Le scénario part un peu dans tous les sens en multipliant les sujets : spoiler: la Centrafrique, les vegans, la mode, l’hôpital public,
ça tire tout azimut et forcément, on est frustré car ces sujets sont effleurés puis chassé par un autre. Je trouve que le film est inabouti sur certains aspects, notamment sur la déontologie, sur les conflits d’intérêt avec le diffuseur, la concurrence des réseaux sociaux, la question des « fake news ». Le film ne dure que 90 minutes il n’y avait donc pas de place pour évoquer tout ceci avec acuité. En revanche, spoiler: le film se perd un peu avec une ébauche de romance un peu inutile et sans grand intérêt.
« Vivants » est donc au final un film qui ne manque pas d’intérêt, bien incarné avec des rôles très écrits, mais qui ne fait qu’effleurer les problématiques lourdes et importantes d’une profession essentielle pour la démocratie : « Vivants » est un film frustrant.
mais aussi une certaine gravité spoiler: lorsque l’un des journalistes envoyé en Centrafrique revient blessé avec dans sa caméra des images quasi insoutenables
. Alix Delaporte choisit souvent de filmer les journalistes visionnant les images plutôt que de montrer les images elles-mêmes, elle laisse les regards se détourner devant l’horreur, les larmes venir aux cils devant l’angoisse, c’est un parti-pris intéressant et plein de pudeur. Si on peut trouver certaines scènes étranges, parfois incongrues spoiler: (le post générique de fin par exemple, totalement improbable),
et même parfois inutiles, force est de constater qu’elle est parvenue en 90 minutes à créer une vraie empathie avec ses personnages hauts en couleurs. A tel point que l’on trouve son film trop court, à la fin trop abrupte, et qu’on est un peu frustré lorsque la lumière se rallume. Ce n’est pas souvent en sortant d’une salle de cinéma qu’on se dit que tout le film qu’on vient de voir aurait été une bonne base pour une série (comme « Hippocrate » l’a été pour l’hôpital public par exemple). C’est aussi parce que les personnages sont bien écrits qu’on ressent cette petite frustration. Roschdy Zem est un directeur de rédaction tiraillé entre son passé de grand reporter et son quotidien de journaliste « moderne », il est très bien mais on a un peu trop l’habitude de le voir dans ce genre de rôle de « sage » un peu taiseux. Alice Isaaz incarne jeune stagiaire volontaire et débrouillarde, Pascale Arbillot une reporter surmenée, Vincent Elbaz un reporter tout terrain revenu de tout mais indéniablement courageux. Jean-Charles Clichet hérite sans doute du rôle le plus décalé, un journaliste en proie à ses addictions, un type hyper pointu spoiler: capable de fulgurances géniales mais très plombé par un mode de vie qui va probablement lui coûter cher à long terme.
Cette rédaction ressemble à un îlot de résistance au milieu d’un océan de journalisme « moderne », une sorte de mélange entre « Compléments d’enquête » et d’ « Envoyés Spécial ». Leur moyens diminuent, les pressions du diffuseur sur le choix des sujets sont de plus en plus fortes, les concessions de plus en plus nombreuses. Sous le couvert du film choral et d’une certaine bonne humeur potache, c’est un film très pessimiste sur le métier de journaliste, et cela devrait nous alerter sur un modèle en voie de disparition, l’investigation. Le scénario part un peu dans tous les sens en multipliant les sujets : spoiler: la Centrafrique, les vegans, la mode, l’hôpital public,
ça tire tout azimut et forcément, on est frustré car ces sujets sont effleurés puis chassé par un autre. Je trouve que le film est inabouti sur certains aspects, notamment sur la déontologie, sur les conflits d’intérêt avec le diffuseur, la concurrence des réseaux sociaux, la question des « fake news ». Le film ne dure que 90 minutes il n’y avait donc pas de place pour évoquer tout ceci avec acuité. En revanche, spoiler: le film se perd un peu avec une ébauche de romance un peu inutile et sans grand intérêt.
« Vivants » est donc au final un film qui ne manque pas d’intérêt, bien incarné avec des rôles très écrits, mais qui ne fait qu’effleurer les problématiques lourdes et importantes d’une profession essentielle pour la démocratie : « Vivants » est un film frustrant.
Alix Delaporte nous entraine dans le quotidien de la rédaction d’une agence de journalisme d’investigation audiovisuel. Si l’ambition est sincère sur le fond et veut nous alerter sur la politique financière des grands groupes, les dérives de la course à l’audimat, la fin d’une ligne éditoriale ambitieuse, le récit manque malheureusement de profondeur. On assite ainsi à une succession de mini-épisodes sans lien entre eux, sans jamais en suivre un seul qui aurait pu ancrer le propos. Ce dispositif scénaristique se limite à dresser à gros traits une brochette de personnages - incarnés il est vrai par un beau casting - un rédac chef ombrageux, un reporter beau gosse, une journaliste qui a sacrifié sa vie à son métier, un chroniqueur en proie à ses démons, une petite stagiaire débrouillarde,..). In fine le film reste plaisant, mais s’apparente davantage à un film de « potes », petit groupe de collègues confrontés aux affres du monde du travail…. Et cela aurait pu tout aussi bien s’appliquer à des architectes, des avocats ou des médecins….
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