Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Visuellement somptueux, ce film envoûtant relate avec finesse le basculement tragique d’une communauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Circé Faure
Après un premier long métrage (Ma. Ama, 2018) fondé sur les histoires de son enfance au Meghalaya (nord-est de l’Inde, à la frontière du Bangladesh), Dominic Sangma aborde son village natal par une nouvelle métaphysique lumineuse en forme de sophisme : "Il fait toujours nuit, sinon nous n’aurions pas besoin de lumière", dit son exergue emprunté à Thelonious Monk.
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
Deuxième opus brillant d’une trilogie sur l’enfance du réalisateur Dominic Sangma, sous couvert d’un éblouissement contemplatif, Rapture propose une épopée intérieure nocturne, éclairée à la lanterne sur l’étroit sentier conduisant à une vérité collective conçue comme terrifiante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
En filmant ses souvenirs tels quels, Dominic Sangma fait de son film une superbe prise de conscience, aussi bien pour lui que pour nous.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par M. Jo.
Tout ici est précisément pris dans un mouvement vital qui orchestre la vie de cette communauté comme une grande et ample chorégraphie qui évoque autant la sociologie intime de Satyajit Ray que le vitalisme de Jean Renoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par F.C.
Repli sur soi, perte de repères, aveuglément collectif, Rapture mouline les obsessions de l'époque à sa propre sauce. Le film enchaîne les plans sublimes à la cadence exponentielle, pour s'achever sur un ultime changement de perspective déroutant.
Première
par Nicolas Moreno
Depuis quand n’avait-on vu pareille nuit filmée au cinéma ? Dès son plan séquence introductif, stupéfiant de maîtrise, Rapture fait de l’obscurité son terrain de jeu, et la questionne sous toutes ses coutures.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le réalisateur, dont c’est le second long métrage, court deux lièvres à la fois : la beauté des images offertes à la contemplation, la volonté d’organiser un discours critique. Trop de densité finit par priver de vitalité Rapture, qui n’en demeure pas moins un film intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Visuellement somptueux, ce film envoûtant relate avec finesse le basculement tragique d’une communauté.
Cahiers du Cinéma
Après un premier long métrage (Ma. Ama, 2018) fondé sur les histoires de son enfance au Meghalaya (nord-est de l’Inde, à la frontière du Bangladesh), Dominic Sangma aborde son village natal par une nouvelle métaphysique lumineuse en forme de sophisme : "Il fait toujours nuit, sinon nous n’aurions pas besoin de lumière", dit son exergue emprunté à Thelonious Monk.
Culturopoing.com
Deuxième opus brillant d’une trilogie sur l’enfance du réalisateur Dominic Sangma, sous couvert d’un éblouissement contemplatif, Rapture propose une épopée intérieure nocturne, éclairée à la lanterne sur l’étroit sentier conduisant à une vérité collective conçue comme terrifiante.
Ecran Large
En filmant ses souvenirs tels quels, Dominic Sangma fait de son film une superbe prise de conscience, aussi bien pour lui que pour nous.
Le Monde
Tout ici est précisément pris dans un mouvement vital qui orchestre la vie de cette communauté comme une grande et ample chorégraphie qui évoque autant la sociologie intime de Satyajit Ray que le vitalisme de Jean Renoir.
Mad Movies
Repli sur soi, perte de repères, aveuglément collectif, Rapture mouline les obsessions de l'époque à sa propre sauce. Le film enchaîne les plans sublimes à la cadence exponentielle, pour s'achever sur un ultime changement de perspective déroutant.
Première
Depuis quand n’avait-on vu pareille nuit filmée au cinéma ? Dès son plan séquence introductif, stupéfiant de maîtrise, Rapture fait de l’obscurité son terrain de jeu, et la questionne sous toutes ses coutures.
Télérama
Le réalisateur, dont c’est le second long métrage, court deux lièvres à la fois : la beauté des images offertes à la contemplation, la volonté d’organiser un discours critique. Trop de densité finit par priver de vitalité Rapture, qui n’en demeure pas moins un film intéressant.