Je partage tout à fait l'avis de Vélocio; "Quelle que soit son opinion sur ce qui se passe actuellement au Moyen-Orient, on se sent forcément attiré par un film israélien ayant pour titre "Le déserteur". Très vite, on est déçu en s'apercevant qu'on passe de scènes qui cherchent à être burlesques mais qui ne sont que grotesques à des scènes invraisemblables et, surtout, on comprend que Shlomi, le "soldat disparu" (traduction du titre original), n'a pas "déserté" pour des raisons éthiques mais tout bêtement pour revoir sa petite amie qui est sur le point de partir au Canada"
Super film, intrigue originale, sur un jeune israelien de 18 ans qui décide de quitter l'armée pour aller son amoureuse et faire coucou à ses parents. Hélas son départ est pris pour un enlèvement par Gaza et les conséquences sont terribles. Difficile pour lui de savoir comment faire marche arrière en ayant le moins d'impact possible sur les autres. Bien rythmé et bien filmé, pas de longueur. Foncez !
Le sujet du film était une bonne idée de base mais le film est vraiment mauvais Une vraie perte de temps , il ne se passe rien à part un soldat qui court, qui court… Et pour rendre les scènes intenses alors qu’il n’y aucune intensité, le réalisateur à la mauvaise idée d’ajouter de la musique à fond Franchement en règle générale les films israéliens (comme les séries) sont d’un autre niveau Très déçue par ce film
Shlomi est un jeune israélien mobilisé dans le cadre du conflit armé entre Israël et Palestine dans la bande de Gaza. Soudainement, il décide de fuir sa patrouille et la zone de guerre afin de rejoindre la femme qu’il aime à Tel aviv. Le jeune homme enchaîne les mauvais choix qui le placent dans une situation très délicate vis à vis de son pays, de l’armée et de sa propre famille. En salle le 24 avril.
spoiler: ”Le déserteur” est un film qui résonne puissamment avec l’actualité internationale en nous mettant dans la peau d’un jeune homme banal, qui n’a rien d’un héros ni d’un démon, et qui se retrouve confronté dans son quotidien à la guerre. J’ai aimé ce personnage attachant mais qui ne cesse de creuser son propre piège par ses choix égoïstes mais tellement humains. Le rythme de l’oeuvre est soutenu : les scènes s’enchainent à forte vitesse sans jamais perdre le spectateur qui se prend au jeu de cette course-poursuite face à un ennemi invisible. “Le déserteur” questionne la guerre, la relation entre juifs étrangers et israéliens ou encore la banalisation de la violence armée.
Un sujet a priori très intéressant, mais le personnage principal est si stupide et sa motivation semble si dérisoire que j'ai eu bien du mal à adhérer à ce film trop long et pas très crédible.
Il faut se renseigner avant d'aller voir ce film : il ne parle pas des événements les plus récents (ceux de 2023-2024), mais d'une intervention militaire israélienne datant de 2014. Il est fait aussi référence à des événements plus anciens (l'enlèvement de Gilad Shalit). Même si ce que l'on voit à l'écran n'est pas sans lien avec le présent, le propos est autre.
Contrairement à certains spectateurs, j'ai aimé le démarrage (les dix-quinze premières minutes). Le choix de la quasi-absence de dialogues m'a paru pertinent. Tout ne se transmet pas par des mots et l'acteur principal joue plutôt bien.
La suite est moins convaincante. Quand le jeune soldat (âgé de 18 ans) se met à parler, on a du mal à comprendre ses motivations (pour déserter). Le réalisateur ne semble avoir choisi entre le désir d'empêcher sa copine de partir au Canada, la peur des combats et l'acte militant, anti-guerre ou anti-gouvernemental (on entend à plusieurs reprises parler le premier ministre israélien, à la télévision).
Du coup, le personnage principal perd en consistance et en crédibilité. C'est particulièrement sensible dans sa relation à sa mère. Là encore, le réalisateur semble avoir hésité quant à la ligne à tenir : le héros est-il encore le fiston à sa maman ou bien la manipule-t-il pour tenter d'échapper aux sanctions ?
L'intérêt remonte sur la fin, mais cela ne suffit pas à en faire un bon film. Il n'est pas sans qualités, mais, pour moi, c'est trop inégal.
Film intéressant tourné avant les massacres du 7 octobre 2023 par le Hamas et la guerre des troupes Israéliennes à Gaza , c'est important de le préciser car cela n'en résonne que plus dans l'actualité . La caméra colle aux basques de son anti-héros où l'humour et l'absurde ne sont pas absents de cette fuite en avant ! Le jeune Ido Tako porte le film avec brillance !
Film sans intérêt, sans véritable intrigue. Un soldat qui déserte pour être avec sa petite amie. Film tourné avant le 7 octobre. Ce que j'ai apprécié, en revanche, c'est le jeu de la mère et des rapports qu'elle a envers son fils
Un récit palpitant sur le mal-être d'un jeune soldat, sans discours explicite psychologique ou militant. Sa fuite et ses errances urbaines sont filmées rigoureusement avec un sens aigu du montage.
c’est quoi ce film ? un déserteur pour retrouver sa vie d’avant : confort, maman, petite amie et pour ça vole des touristes pour « se déguiser » en civil et se fondre dans la foule et pour ça risque de faire faire une escalade dans la violence entre les 2 pays. le remord le perturbe. il prend conscience et essaye de se suicider en créant un accident. je peux comprendre qu’un gamin ait peur de la guerre et je n’admets pas la désertion surtout pour des mauvaises raisons
Collée au plus près des basques de ce jeune soldat israélien, un peu paumé il faut bien l'avouer, la caméra nous entraîne avec brio dans sa cavale trépidante et nous tient en haleine jusqu'à la fin. Tourné bien avant octobre dernier, cet excellent film a des accents d'autant plus tragiques qu'on s'aperçoit que la guerre était déjà totale bien avant. Une excellente surprise à voir sans attendre.
« Il court en espadrilles!» Un sujet passionnant, filmé avant le 7 octobre, d’un jeune soldat israélien désertant pour retrouver sa petite amie, avec des conséquences terribles. Malheureusement scénario et acteur ne sont pas à la hauteur.