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velocio
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3,0
Publiée le 3 juillet 2024
Si, il y a quelques années, vous avez vu "The human surge", le premier long métrage d’Eduardo Williams, ancien élève du réalisateur portugais Miguel Gomes, vous avez dû remarquer le côté totalement atypique de ce réalisateur argentin : ce n’est pas tous les jours qu’on est confronté à un véritable documentaire animalier sur de jeunes êtres humains localisés sur 3 continents différents, en Argentine, au Mozambique et aux Philippines. Peut-être avez vous aimé ; peut-être avez vous détesté. Si vous avez déjà pris connaissance de son synopsis, vous avez déjà compris que "The human surge 3", deuxième long métrage de Eduardo Williams, ne rentre pas non plus dans les cases du cinéma conventionnel (dénommé ainsi si on est de bonne humeur), formaté (dénommé ainsi si on est de mauvais poil) et, selon votre ressenti du moment présent et selon vos goûts en matière de cinéma, vous allez, là aussi, aimer ou détester. Lire la suite sur https://www.critique-film.fr/critique-express-the-human-surge-3/
Ce documentaire est assez atypique dans sa réalisation et oscille parfois entre le reel et le fantastique. Le réalisateur argentin suit le parcours d’un groupe de jeunes qui se cherchent dans trois pays différents et dans des lieux où la nature est très présente. Le film, bien qu’un peu trop long, nous livre cependant sur le plan cinématographique quelques séquences très réussies. La manière de filmer un peu singulière peut effectivement dérouter mais n’est pas dénouée de talent.
Bernard CORIC
(film visionné en projection de presse le 20/06/2024 au Studio de l'Etoile à PARIS)
A quoi sert de genre de film pseudo expérimental ? Documentaire bâclé, filmé avec un casque 360 degrés ? Et alors, cela sert à quoi de filmer des gens qui n’ont rien à dire. On s’ennuie pendant ces deux heures qui sont deux heures de perdues.