Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
The Human Surge 3 est un polyfilm, tourné à l’aide d’un œil polygonal, habité par un idéal polyamoureux, polyglotte, polysexuel et polyculturel. S’il y a un endroit où le cinéma se réinvente, c’est ici.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Corentin Lê
Par son dispositif hybride et unique, The Human Surge 3 nous immerge dans les plis du monde pour mieux s'en détacher, en embrassant un horizon fantastique, voire psychédélique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Luc Chessel
À travers le parcours de jeunes désœuvrés dans trois pays, le superbe premier long métrage d’Eduardo Williams dresse le portrait d’une génération désabusée à l’heure de la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Il n'y a pas de The Hurman Surge 2, par humour, et aussi parce que ce cinéma permet de divaguer. Invitant aussi à aller découvrir, sans prétendre tout en (sa)voir, de ces ailleurs que l'on ne montre pas souvent.
Première
par Nicolas Moreno
Dans ses envolées les plus expérimentales, en fin de film notamment, le film se lit alors comme un poème dont les rimes raconteraient l’expérience à la fois anodine et magnifique de vivre ici ou là sur Terre, tous ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Un ovni cinématographique déroutant et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Si The Human Surge 3 s’affirme comme immersif, il s’agit de noyer le spectateur dans les méandres de l’image, tant et si bien que l’intérêt envers les formes de l’Autre se pose vite comme un prétexte.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Malgré quelques belles saillies formalistes, The Human Surge 3, avec ses personnages erratiques aux formules creuses ou abstruses, son utilisation gadget des caméras de réalité virtuelle et son propos simpliste sur la métempsychose, déçoit — et ennuie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Ma.Mt
Trop amoureux de ses propres images, son filmage panoptique contribue à virtualiser le monde, à tordre l’espace, comme à diluer la figure humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
The Human Surge 3 est un polyfilm, tourné à l’aide d’un œil polygonal, habité par un idéal polyamoureux, polyglotte, polysexuel et polyculturel. S’il y a un endroit où le cinéma se réinvente, c’est ici.
Critikat.com
Par son dispositif hybride et unique, The Human Surge 3 nous immerge dans les plis du monde pour mieux s'en détacher, en embrassant un horizon fantastique, voire psychédélique.
Libération
À travers le parcours de jeunes désœuvrés dans trois pays, le superbe premier long métrage d’Eduardo Williams dresse le portrait d’une génération désabusée à l’heure de la mondialisation.
Positif
Il n'y a pas de The Hurman Surge 2, par humour, et aussi parce que ce cinéma permet de divaguer. Invitant aussi à aller découvrir, sans prétendre tout en (sa)voir, de ces ailleurs que l'on ne montre pas souvent.
Première
Dans ses envolées les plus expérimentales, en fin de film notamment, le film se lit alors comme un poème dont les rimes raconteraient l’expérience à la fois anodine et magnifique de vivre ici ou là sur Terre, tous ensemble.
Télérama
Un ovni cinématographique déroutant et passionnant.
Cahiers du Cinéma
Si The Human Surge 3 s’affirme comme immersif, il s’agit de noyer le spectateur dans les méandres de l’image, tant et si bien que l’intérêt envers les formes de l’Autre se pose vite comme un prétexte.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques belles saillies formalistes, The Human Surge 3, avec ses personnages erratiques aux formules creuses ou abstruses, son utilisation gadget des caméras de réalité virtuelle et son propos simpliste sur la métempsychose, déçoit — et ennuie.
Le Monde
Trop amoureux de ses propres images, son filmage panoptique contribue à virtualiser le monde, à tordre l’espace, comme à diluer la figure humaine.