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Inhabituel, le traitement graphique du "Grand Magasin" adapte à la perfection le trait de Tsuchika Nishimura, auteur de la bande dessinée originelle et mangaka hors des clous, adorateur de Tove Jansson et des Moomins. Un film sur l’expiation des crimes contre les animaux, contre la nature, mais qui semble tissé à partir du coton d’un gros cumulonimbus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le principal attrait du long-métrage reste sa façon de contrebalancer l'anthropomorphisme des personnages animaux (tous bipèdes) avec des attitudes et des gestes toujours plus irréalistes du côté des humains.
Le film se défend in extremis de toute morale matérialiste (« Bien au-delà du consumérisme, c’est le rêve… »), mais la pirouette ne se révèle pas vraiment convaincante. Bref, on passe avec Akino et sa ménagerie un moment agréable, mais vite oublié.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le scénario de ce Grand magasin tient dans un mouchoir de poche. Si le grand mystère du film - dans quel monde se situe-t-on ? - n’est exploité que dans les dernières minutes pour véhiculer un message écologiste, les personnages, eux, bouleversent à chaque seconde.
La critique complète est disponible sur le site Première
IGN France
Coloré en diable, rigolo, plein d'âme, un plaisir !
Le Journal du Dimanche
Une chronique rythmée, drôle et émouvante, débordant de charme et de magie.
Les Fiches du Cinéma
Un conte de Noël touchant et subtilement écolo.
Libération
Inhabituel, le traitement graphique du "Grand Magasin" adapte à la perfection le trait de Tsuchika Nishimura, auteur de la bande dessinée originelle et mangaka hors des clous, adorateur de Tove Jansson et des Moomins. Un film sur l’expiation des crimes contre les animaux, contre la nature, mais qui semble tissé à partir du coton d’un gros cumulonimbus.
Mad Movies
Le principal attrait du long-métrage reste sa façon de contrebalancer l'anthropomorphisme des personnages animaux (tous bipèdes) avec des attitudes et des gestes toujours plus irréalistes du côté des humains.
L'Obs
Le scénario manque parfois d’enjeu marquant. Mais il y a de l’humour et de la mélancolie dans ce récit initiatique à l’animation sagement classique.
Le Monde
On aimerait que les films pour enfants soient plus souvent de cette étoffe poétique.
Le Parisien
Le film se défend in extremis de toute morale matérialiste (« Bien au-delà du consumérisme, c’est le rêve… »), mais la pirouette ne se révèle pas vraiment convaincante. Bref, on passe avec Akino et sa ménagerie un moment agréable, mais vite oublié.
Première
Le scénario de ce Grand magasin tient dans un mouchoir de poche. Si le grand mystère du film - dans quel monde se situe-t-on ? - n’est exploité que dans les dernières minutes pour véhiculer un message écologiste, les personnages, eux, bouleversent à chaque seconde.
Télé Loisirs
Grâce à son univers original et à un trait joliment maîtrisé, cette animation s'avère pleine de charme.
Télérama
Avec Akino, trouver le bon cadeau est une quête, un art subtil où la psychologie et le système D priment encore sur la carte bancaire.
aVoir-aLire.com
Le grand magasin prouve sans cesse sa douceur et sa joliesse, malgré une forte ambiguïté dans son message.