Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Télé 2 semaines
par Thomas Destouches
Adapté d'un roman de Franz-Olivier Giesbert et porté par une remarquable comédienne, ce téléfilm installe d'emblée une atmosphère particulière, laissant infuser peu à peu la tragédie à venir.
Télé 7 Jours
par Hacène Chouchaoui
Un thriller au scénario bien ficelé qui aborde avec intelligence la question de la cohabitation du loup avec les éleveurs. Un beau rôle pour Anny Duperey, bouleversante en mater dolorosa.
Téléstar
par Romain Nigita
Une histoire de vengeance qui tient la route.
Télé Loisirs
par Thomas Destouches
Malheureusement ce sensible château de cartes s'effondre dans sa conclusion. Souffrant de dommageables facilités scénaristiques et trop vite expédiée, la fin est bâclée et laisse un goût de frustration en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Marion Michel
Le voilà, le coupable ! Sauf que nous sommes bien loin de l’épilogue, mais seulement à la quinzième minute du téléfilm… Sur une heure trente, c’est un peu tôt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 2 semaines
Adapté d'un roman de Franz-Olivier Giesbert et porté par une remarquable comédienne, ce téléfilm installe d'emblée une atmosphère particulière, laissant infuser peu à peu la tragédie à venir.
Télé 7 Jours
Un thriller au scénario bien ficelé qui aborde avec intelligence la question de la cohabitation du loup avec les éleveurs. Un beau rôle pour Anny Duperey, bouleversante en mater dolorosa.
Téléstar
Une histoire de vengeance qui tient la route.
Télé Loisirs
Malheureusement ce sensible château de cartes s'effondre dans sa conclusion. Souffrant de dommageables facilités scénaristiques et trop vite expédiée, la fin est bâclée et laisse un goût de frustration en bouche.
Télérama
Le voilà, le coupable ! Sauf que nous sommes bien loin de l’épilogue, mais seulement à la quinzième minute du téléfilm… Sur une heure trente, c’est un peu tôt.