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Lecter_H
195 abonnés
848 critiques
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3,0
Publiée le 23 janvier 2024
Le film nous décrit une société dans un futur technologique proche où la fracture sociale est devenue très importante. The kitchen est un immeuble désaffecté à Londres que les défavorisés déshumanisés de cette société se sont réapproprié pour s’y installer. Régulièrement, la police vient les déloger. Dans ce contexte chaotique, le film raconte l’histoire d’un jeune garçon qui vient de perdre sa mère. Il tente de reconquérir celui qu’il pense être son père. En résumé, il n’y a rien d’autre à dire à propos du contenu de ce film. Il n’y a pas vraiment d’action. Le film décrit le quotidien des gens d’une société déchirée en quête de survie au cœur d’un monde dystopique. J’ai trouvé un réel intérêt dans l’atmosphère créée dans cet univers particulier. La vie décrite dans la rue semble rationnelle et l’ambiance qui y règne est assez prenante. A ce titre, je recommande le film. Mais beaucoup de téléspectateurs risquent de trouver le film long et ennuyeux. Il est vrai que dans l’absolu, il ne s’y passe pas grand-chose à part un père et un fils qui se cherchent et une réflexion sur les inégalités d’accès au logement à la suite de dérives immobilières.
Oh mon dieu, mais que c'est leeeeeent ! Ça n'en finit pas d'être lent. Les acteurs sont bons, mais c'est vraiment tout ce qu'on peut trouver au film...
Le meilleur film de l’année pour tous les amateurs de sieste. Dur mais juste comme disent les Lillois
On remercie @netflix et Daniel (star de Get Out et réalisateur), d’avoir ré-interprété, un genre de film encore peu connu au cinéma : la dystopie.
Dans un monde néofuturistique imaginé par les architectes de la prestigieuse URSS, durant la purge rouge, nous suivons l’épopée d’Izi, notre Jean Valjean Londonien, qui cherche à économiser suffisamment de cacahuètes pour s'acheter son propre coin de paradis. Intervient alors Cosette… pardon Benji, un môme d’une candeur et bonhomie totalement ordinaire, qui fait douter notre pauvre héros.
Dans ce futur ni proche ni lointain, « Londres » a décidé de faire du ménage en balayant tous les logements sociaux pour les remplacer par des nids douillets réservés à la jet 27 contemporaine.
Alors que Valjean tente de protéger Cosette, et de défier l'ordre établi, l'éclat d'une révolution émerge, confrontant les Partisans (1984), les Renégats (Maze Runner), les Organes (Snowpiercer) , les Maquisards (V for Vandetta) ou encore les Rebelles (Hunger Games) contre l’Empire (Star Wars). L’originalité saute directement au yeux.
Nous applaudissons le All-in sur la forme mais le fond n’aura cas aller se balader.
Parlons des dialogues, qui manifestement n’étaient pas essentiel au processus créatif de cette œuvre. Des loooooooongs silence pour des looooooongues siestes… Oui au pluriel…
On dit souvent que le silence et dort… maintenant nous connaissons la provenance de cet aphorisme…
Franchement ridicule,y'a rien d'exaltant y'a rien de réaliste,il n'y a aucunes profondeur,le côté SF c'est des p'tits bouts de plans wish Nintendo 64 on dirait vraiment un film de Luc Besson mais en plus nul ,aucunes surprises,le démarrage n'a aucuns intérêt,ils filme des trucs qui n'ont aucuns intérêt,y'a pas d'ambiance les couleurs sont moches la musique n'est pas adapté, toujours les mêmes rengaine sociaux économiques déjà vue mille fois,bref c'est tout a fait le cinéma actuel,vide sans saveurs avec des acteurs qui on le talent d'un omard cuit
Sa aurait pu être un bon film la bande-annonce, donner envie ,un peu futuriste...mais au final c'est une mauvaise réalisation, un mauvais scénario et un très mauvais jeu d'acteurs... tout cela pourrait être négligé si le film final était engageant...
Comme dans Top Boy, Kane Robinson aka Kano joue à la perfection le rôle d'un solitaire, froid, qui s'en fout de tout, mais dont les sentiments se révèlent petit à petit. Au détour de tous les silences du film. Ajoutons à cela un contexte où 2 sociétés s'opposent complètement, et où la police s'illustre encore par sa violence. Pas si SF que ça ce 1er film de Daniel Kaluuya...
La vie dans une cité dystopique qui ressemble à "Kowloon City Wall", une cité construite de manière totalement anarchique mais où pourtant régnait une certaine cohérence et humanité.
Un quartier historique de Hong Kon entouré par des constructions modernes qui a résisté jusqu'en 1989 et où une communauté arrivait pourtant à survivre et à s'émanciper.
Le film est lent; très lent; mais qui finit par vous toucher. Il m'a touché, mais je comprends que ça ne plaise pas à tout le monde.
franchement pas terrible. Dommage car j´adore Kane Robinson dans la série Top Boy, mais là le est trop plat, sans relief dans l´histoire. De bonnes idées mais pas creusées plus que ça. on s´ennuie !
Je ne dis pas que c'est mauvais, je dis juste pour ma part, je n'ai pas aimé et que j'ai mis un petit pouce vers le bas lorsque Netflix m'a demandé mon avis. Après avoir vu la Bande Annonce, je m'attendais à un film de SF avec un peu d'action, mais que nenni : La kitchen (pourquoi d'ailleurs ce nom, on ne l'explique pas ?) c'est un film d'anticipation sombre, pessimiste, glauque, avec une vision d'un Londres futuriste à la mode "Hunger Games" avec ses districts hermétiques, ses ghettos, ses injustices sociales, le tout gouverné par un régime à peine esquissé mais que l'on devine dictatorial et répressif. Bref, moult autres films d'anticipation ont déjà traité le sujet précédemment sous toutes les coutures avec plus de brio et moins d'ennui car lorsque le générique de fin apparaît enfin à l'écran on se dit que c'était long, trop, et que finalement non, pas pour moi, aussitôt oublié que visionné, à moins de vouloir faire de son week-end un moment dépressif à souhait !
L'histoire est belle et le message aussi c'est pour ça que je mets 2. Mais finalement le film est beaucoup, beaucoup, beaucoup trop long et soporifique. Les échanges entre personnages sont d'une longueur énorme, à un moment je me suis amusé à compter les secondes entre un mot et un autre tellement j'en pouvais plus 🤣
Est-ce que vous avez déjà été tenté d'arrêter un film après 20 minutes ? Si on ne le fait pas, c'est parce qu'on trouve quelques raisons d'être fan, non ? Et qu'on se dit qu'à la fin, on pensera que ça valait quand même le coup, non ? Est-ce que vous connaissez l'acteur Daniel Kaluuya ? Êtes-vous fan ? Ce film est de lui. Est-ce que vous connaissez le rappeur Kano (Kane Robinson) ? Êtes-vous fan ? Il joue le premier rôle dans ce film. Est-ce que vous connaissez Ian Wright, ancien football d’Arsenal ? Êtes-vous fan ? Il joue dans ce film. Est-ce que vous connaissez les films de sciences-fictions ? Êtes-vous fan ? Ce film en est presque un. Est-ce que vous connaissez les films qui présentent un futur dystopique ? Êtes-vous fans ? Ce film pourrait en être un. Est-ce que vous connaissez Londres ? Êtes-vous fan ? Ce film se passe à Londres. J'essaie de trouver des raisons pour que vous n'arrêtiez pas ce film avant la fin, moi, j'en ai cherché tout le long. J'en ai trouvé. Mais, je n'ai pas vraiment trouvé de raisons d'être fan à la fin. Il faut le regarder pour avoir un moment de cinéma qui montre une belle allégorie spoiler: entre un orphelin et un célibataire qui pourrait être le père. On ne saura d'ailleurs jamais vraiment s'il est le père ou pas, enfin sauf si j'ai manqué un truc. Sur ce point, par moments cela le fait, mais quand même pas totalement. On aurait pu croire, à voir la bande-annonce, qu'il faut le regarder pour avoir un moment de cinéma qui est une belle allégorie de l'affrontement entre les pauvres et la police. Sur ce point, ça ne marche pas trop. On a vu mieux dans le genre, bien mieux. Trois points qui ont sauvé ce film à mes yeux : 1/ les décors qui sont pas mal, 2/ le jeune garçon qui joue parfaitement, sûrement une révélation. 3/ la mise en scène du dilemme qu'affronte le personnage principal spoiler: en le mettant en face d'une machine à la voix électronique.
Donc, j'ai tenu, je suis allé à la fin, mais je n'ai pas vraiment trouvé de raison d'être fan, J’ai mis "pas terrible" au lieu de mettre "mauvais". Je ne le recommande pas vraiment.
Une dystopie dans un Londres où les inégalités se traduisent par des ghettoïsations de quartier dont The kitchen, sur ce fond une simpliste histoire d un père et son fils qui se retrouvent. D un rythme anémique cette critique sociale une fois le cadre pose perd sérieusement d intérêt, on ne peut pas dire que les interprétations relèvent sérieusement le niveau. Ennuyeux et très banal pour un film d anticipation.