AlloCiné
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Votre avis sur The Kitchen ?
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Magnifique mise en scène et formidables acteurs font un très bon film, malgré un scénario qui tient sur une demi feuille A4. La SF, ce n'est pas obligatoirement des effets spéciaux, n'en déplaise aux nombreuses critiques négatives.
Contentez vous de lire le synopsis celui-ci vous tiendra davantage en haleine que ce navet soporiphique.
Dites-vous que couper des oignons vous procurera plus d’émotion et de sensation que passer 2h devant.
Dites-vous que couper des oignons vous procurera plus d’émotion et de sensation que passer 2h devant.
Un film très très nul. J'ai gaché 1h30 de ma vie pour un film long et chiant. J'espérai au moins que la fin nous donne quelque chose de bien mais rien, c'est plat, banal, ennuyant. À la limite la bande son et les visuels sont sympas mais ça ne vaut clairement pas le coup.
Je suis surpris par la note aussi basse. Je suppose que la majorité des gens ont noté après avoir vu la bande annonce et devait s'attendre à un film de SF et d'action.
Pour ma part j'ai regardé en lisant un bref synopsis et j'ai été agréablement surpris et touché. La lenteur, volontaire, du film, les jeux d'acteurs, la musique très sombre, tout cela nous plonge dans un univers captivant, le tout subliment filmé dans un environnement noir et futuriste de la ville de Londres.
A chacun de se faire son avis mais ce film mérite qu'on s'y attarde.
Pour ma part j'ai regardé en lisant un bref synopsis et j'ai été agréablement surpris et touché. La lenteur, volontaire, du film, les jeux d'acteurs, la musique très sombre, tout cela nous plonge dans un univers captivant, le tout subliment filmé dans un environnement noir et futuriste de la ville de Londres.
A chacun de se faire son avis mais ce film mérite qu'on s'y attarde.
Que se passe t'il dans ce film absolument rien d'un ennui totale vraiment rien à dire, à mettre en fond et vous pouvez rester sur vos tel sans souci
Je trouve les critiques précédentes assez dures. J’aime les films de science fiction alors pour moi ça n’en ai pas vraiment un donc si vous êtes fan de The Expanse par exemple passez votre chemin pas assez futuriste. Ce que j’ai apprécié: des acteurs que je n’ai jamais vu à l’écran (le petit garçon est sûrement une révélation); oui les répliques ne sont pas longues et diversifiées mais je crois qu’il faut le recadrer dans le contexte du milieu social où les personnes d’origine africaine en général sont les moins émotifs (venant d’un milieu afro je sais de quoi je parle) et ce sont des hommes qui font les durs (sûrement un préjugé) donc toute la beauté du film est dans les non dit (SPOILER: l’acteur principal essaie d’éviter au maximum de parler au petit garçon parce qu’il aimerait rester libre et ne pas avoir à endosser cette nouvelle responsabilité de père mais il finit par tout lâcher y compris ses ambitions pour retourner chez eux…et ce n’est pas dans son nouvel appart chicos mais dans le ghetto). Il y a une tension mélodramatique tout au long du film: le personnage principal ne sait pas ce qu’il veut c’est très déroutant, le petit garçon grandit au fur et à mesure des scènes sa maturité tient de la science-fiction c’est sur mais c’est juste un film pas une série. Le film traite aussi d’un sujet émouvant et absolument pas bateau: combien d’enfants peuvent retrouver un parent qu’ils n’ont jamais connu à la mort de l’autre? Et cette histoire de « life after life » qui démontre que même face à la mort où on est tous supposés redevenir égaux les inégalités subsistent et finalement que tout n’est qu’une affaire de business. A la fin du film je me suis réellement posé les questions de où va le monde où les plus démunis sont marginalisés et ne peuvent pas avoir accès aux besoins le plus basique (l’eau, la nourriture, un toit au-dessus de sa tête). Que faire pour empêcher cela? C’est rare que je sois déroutée à la fin d’un film (je suis très bonne pour deviner les fins habituellement). J’aurais aimé plus de détails le bon format aurait été une série. Je suis restée sur ma faim mais vous encourage à vous faire votre propre avis.
C'est long, c'est chiant, il n'y a aucune explication géo politique du contexte, pourquoi avoir réalisé un fiml de science fiction si c'est pour raconter une histoire plutôt bateau au final...
Ce film n'a rien pour lui , le scénario est nul , il ne se passe absolument rien pendant 2h.
Passez votre chemin , meme les plans , jeux d'acteur , tout est mauvais.
Passez votre chemin , meme les plans , jeux d'acteur , tout est mauvais.
Mon dieu, qu'est ce que c'est lent
et pénible... C'est interminable et on ne rentre jamais dans l'histoire
et pénible... C'est interminable et on ne rentre jamais dans l'histoire
Manque de profondeur , d’explications et de connections.
La fin est nulle.
Je n’ai pas été transporté par un film qui paraissait pourtant prometteur.
La fin est nulle.
Je n’ai pas été transporté par un film qui paraissait pourtant prometteur.
Fiction sociale décevante et redondante , entre le très réussi "Small Axe" et La série "Top Boy". Kano y trimballe sa grande carcasse de solitaire en souffrance, sans conviction, avec cette grosse impression de déjà vu .
C'est par curiosité de voir le décor de La Défense, quartier des dominos, mis en image, que j'ai regardé ce film. Il y a des trouvailles, des qualités, mais c'est un peu trop simpliste et très lent. Pas lent contemplatif, non, juste lent. Les dialogues ne sont pas très intéressants, la réalisation qui abuse du steadycam n'est pas maladroite, mais sans réelle intention. Globalement les ajouts en cgi sont assez bien réalisés, à la mesure des moyens et sans trop d'ostentation, juste ce qu'il faut pour alimenter l'imaginaire dystopique. Ce n'est pas inintéressant, mais les manques torpillent l'ensemble et laissent une sensation d'inachevé.
Franchement ce film est d’une lenteur, durant tout le film je me posais des questions comme par exemple le mystère qu’il y avait derrière ce qu’ils fesaient en réalité des corps si ils ne cachait pas quelque chose derrière ses « plantes » car le personnage principal ne disait jamais clairement ce qu’il se passait mais en vrai il ne savais juste rien par rapport à ça ou encore sur le monde qui les entouraient avec ses appartements spéciaux et j’espérais jusqu’à ce que je voie le générique de fin.
Il faut qu’on en parle de cette fin car elle n’a aucun sens elle viens juste confirmer que ce film était d’un ennui. Hyper plat les dialogues (enfin plutôt les silences) sont hyper long mais vraiment long.
Dommage car les acteurs sont bon mais une histoire qui ne tient que sur le jeu d’acteur n’a aucun sens. Je pensais voir un bon film (classé dans le top 10 de Netflix je pensais qu’il en valait la peine) mais si vous lisez ceci car vous voulez voir ce film passer votre chemin aller voir un film qui en vaut la peine. A oui et ce nom Kitchen ? Il n’y a aucune explication rien pourquoi ? Ils ont juste choisi un nom au bol et ce sont dit que ça passerais. Mais bon bref sur ce je vous laisse j’arrête d’y penser et ce film vas très vite être oublié pour ma part.
Bonne nuit chers lecteurs
Il faut qu’on en parle de cette fin car elle n’a aucun sens elle viens juste confirmer que ce film était d’un ennui. Hyper plat les dialogues (enfin plutôt les silences) sont hyper long mais vraiment long.
Dommage car les acteurs sont bon mais une histoire qui ne tient que sur le jeu d’acteur n’a aucun sens. Je pensais voir un bon film (classé dans le top 10 de Netflix je pensais qu’il en valait la peine) mais si vous lisez ceci car vous voulez voir ce film passer votre chemin aller voir un film qui en vaut la peine. A oui et ce nom Kitchen ? Il n’y a aucune explication rien pourquoi ? Ils ont juste choisi un nom au bol et ce sont dit que ça passerais. Mais bon bref sur ce je vous laisse j’arrête d’y penser et ce film vas très vite être oublié pour ma part.
Bonne nuit chers lecteurs
Que c’était prometteur! Un acteur plutôt bon et apprécié qui s’essaie à réaliser son premier long-métrage, en l’occurrence ici Daniel Kaluyaa de « Get Out » ou encore « Judah and the Black Messiah », c’est courant. Qu’il s’associe à un architecte de formation pour l’aider l’est déjà moins. Qu’ils embauchent comme acteur principal un rappeur qui a fait ses armes d’acteur dans la série « Top boys » ajoute au côté intrigant du projet. Et lorsqu’on apprend que le sujet prend place au sein d’un univers futuriste presque dystopique, cela termine de nous mettre l’eau à la bouche. Malheureusement pour nous, ce film britannique produit par Netflix est un véritable purgatoire tant il rate le coche sur presque tout et nous ennuie durant près de deux heures. Honnêtement, c’est le somnifère parfait tant on ne rentre jamais dans l’histoire et que tout ce qui est entrepris ici n’est pas convaincant.
Au début – c’est-à-dire pendant dix à quinze minutes tout au plus – on laisse à « The Kitchen » le bénéfice du doute mais on sent vite que tous nos espoirs vont être (vraiment) mis à mal. On voit le design d’un Londres de 2040, enfin de ces banlieues défavorisées, plutôt probant et assez agréables à l’œil et on reconnaît là les affinités du coréalisateur Kibwe Tavares qui doit en être à l’origine de par sa formation. Puis on nous présente le personnage principal, mutique au possible, et son hypothétique fils qui vient de perdre sa mère et ne sait pas qui est son père. Et bien cette sorte d’apprivoisement entre un père et un fils est au cœur du sujet mais tout se traîne, tout est long, tout est lent, tout est décousu et on en vient à se demander quel était l’intérêt de ce contexte d’anticipation qui n’est jamais exploité. Quel était le but? Comme ces scènes de vol ou de braquage qui n’apportent rien à l’histoire et semblent sorties d’un autre film...
À côté de cela, l’esthétique générale est en plus très moyenne (hormis quelques idées de décors de ce Londres des bas-fonds faisant penser à Tokyo ou à « Blade Runner »). D’ailleurs si ce n’est les plans de coupe sur The Kitchen et quelques scènes au sein de cette entreprise de pompes funèbres high tech (honteusement mal utilisée également), on ne verra rien de ce Londres du futur hors si ce n’est cette banlieue défavorisée. Les quelques idées intéressantes (comme les casseroles pour prévenir l’arrivée de la police et le nouvel appartement design) sont sous-développées, jamais approfondies, tandis que quasiment toutes les séquences s’étirent plus que de raison et surtout pour rien. Comme si le duo de réalisateurs tentait de donner un aspect contemplatif au film pour lui donner une sorte de légitimité qu’on ne lui demande absolument pas. Enfin, l’acteur principal est aussi expressif qu’un poulpe et ne fait passer aucune émotion dans le drame filial qui est finalement le cœur (mort) du sujet. Bref, « The Kitchen » est un beau pétard mouillé et une proposition artistique mensongère et galvaudée.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Au début – c’est-à-dire pendant dix à quinze minutes tout au plus – on laisse à « The Kitchen » le bénéfice du doute mais on sent vite que tous nos espoirs vont être (vraiment) mis à mal. On voit le design d’un Londres de 2040, enfin de ces banlieues défavorisées, plutôt probant et assez agréables à l’œil et on reconnaît là les affinités du coréalisateur Kibwe Tavares qui doit en être à l’origine de par sa formation. Puis on nous présente le personnage principal, mutique au possible, et son hypothétique fils qui vient de perdre sa mère et ne sait pas qui est son père. Et bien cette sorte d’apprivoisement entre un père et un fils est au cœur du sujet mais tout se traîne, tout est long, tout est lent, tout est décousu et on en vient à se demander quel était l’intérêt de ce contexte d’anticipation qui n’est jamais exploité. Quel était le but? Comme ces scènes de vol ou de braquage qui n’apportent rien à l’histoire et semblent sorties d’un autre film...
À côté de cela, l’esthétique générale est en plus très moyenne (hormis quelques idées de décors de ce Londres des bas-fonds faisant penser à Tokyo ou à « Blade Runner »). D’ailleurs si ce n’est les plans de coupe sur The Kitchen et quelques scènes au sein de cette entreprise de pompes funèbres high tech (honteusement mal utilisée également), on ne verra rien de ce Londres du futur hors si ce n’est cette banlieue défavorisée. Les quelques idées intéressantes (comme les casseroles pour prévenir l’arrivée de la police et le nouvel appartement design) sont sous-développées, jamais approfondies, tandis que quasiment toutes les séquences s’étirent plus que de raison et surtout pour rien. Comme si le duo de réalisateurs tentait de donner un aspect contemplatif au film pour lui donner une sorte de légitimité qu’on ne lui demande absolument pas. Enfin, l’acteur principal est aussi expressif qu’un poulpe et ne fait passer aucune émotion dans le drame filial qui est finalement le cœur (mort) du sujet. Bref, « The Kitchen » est un beau pétard mouillé et une proposition artistique mensongère et galvaudée.
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FaRem
"The Kitchen" prend place dans un futur proche, à Londres, où il ne reste plus qu'un "grand ensemble" appelé "The Kitchen". Il s'agit des derniers logements sociaux où sont entassés les travailleurs pauvres ou les chômeurs qui vivent sous la surveillance de la police. Izi, qui lui a un emploi stable dans les pompes funèbres du futur, vit aussi là-bas, mais rêve de quitter ce trou à rats comme il le qualifie. Un jour, dans le cadre de son travail, il fait la rencontre de Benji, un jeune garçon qu'il va essayer de prendre sous son aile pour lui éviter de mauvaises fréquentations. Malgré sa présentation en tant que thriller de science-fiction dystopique, "The Kitchen" est simplement un drame qui explore des thèmes tels que le deuil, les inégalités entre les classes sociales, les liens familiaux, les mauvaises fréquentations, la solidarité ou encore les violences policières. Pour sa première derrière la caméra, Daniel Kaluuya évoque plus qu'il ne raconte. J'ai trouvé son film terriblement plat et jamais engageant. Il ne se dégage aucune émotion, les personnages sont léthargiques et n'enchainent jamais plus de deux phrases et les enjeux sont inexistants. L'idée était peut-être de faire un film misérable et ennuyeux pour représenter le quotidien de ces gens, mais dans le cas contraire, c'est sans aucun intérêt.
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