Opération Portugal 2: la vie de château : Critique presse
Opération Portugal 2: la vie de château
Note moyenne
1,7
3 titres de presse
Le Parisien
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
On sourit parfois de l’abattage de D’Jal et de son faux accent portugais, qui transforme « accueil » en « accouille » et « queue-leu-leu » en « couloulou ». On s’amuse même quand Abou Dabi devient « Abou Dabite »… Moins quand Frisbee se dit « Frisbite ». Car c’est le problème de cet « Opération Portugal 2 » : les gags sont tellement martelés qu’ils en deviennent indigestes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Nicolas Didier
Dans cette logorrhée comique, du lourd et du vulgaire. Mais aussi quelques moments drôles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
D’Jal revient au cinéma dans "Opération Portugal 2". Si l’humoriste transpose une nouvelle fois l’univers de ses sketchs sur grand écran, il le fait ici de manière brute, sans aucune vision cinématographique. Du pur divertissement de consommation !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Parisien
On sourit parfois de l’abattage de D’Jal et de son faux accent portugais, qui transforme « accueil » en « accouille » et « queue-leu-leu » en « couloulou ». On s’amuse même quand Abou Dabi devient « Abou Dabite »… Moins quand Frisbee se dit « Frisbite ». Car c’est le problème de cet « Opération Portugal 2 » : les gags sont tellement martelés qu’ils en deviennent indigestes.
Télérama
Dans cette logorrhée comique, du lourd et du vulgaire. Mais aussi quelques moments drôles.
Les Fiches du Cinéma
D’Jal revient au cinéma dans "Opération Portugal 2". Si l’humoriste transpose une nouvelle fois l’univers de ses sketchs sur grand écran, il le fait ici de manière brute, sans aucune vision cinématographique. Du pur divertissement de consommation !