Des acteurs jouant leur propre rôle dans ce film surprenant et dérangeant. Chiaria Mastroiani devenant passagèrement son père disparu ce qui perturbe l'entourage, à commencer par sa mère, Catherine Deneuve. Bien-sûr, on plonge dans le cinéma de légende mais on a du mal à adhérer à cette substitution d'identité.
Une actrice se mue dan la peau de son père disparu et entraîne dans sa transformation tout son entourage avec elle. Déambulations dans Paris et Rome. Les acteurs sont tous parfaits et dans leur rôle. Un plaisir de les retrouver.
Une superbe BO signée Alex Beaupain, de très jolis moments musicaux entre Etienne Daho et Benjamin Biolay, entre chansons italiennes et musique classique.
Un film sur les sentiments, le temps passé, qui file, la filiation et les êtres chers disparus. Un brin original, un film dans le film entre réalité et fiction, mélancolique et nostalgique, empreint d'une certaine sensibilité et tendresse. Superbe, à voir !
Film barbant et sans intérêt. On comprend la fascination pour l'acteur Mastroianni, mais le père est si mal évoqué et a si peu de présence que le film ne marche pas. On a l'impression que cette famille court après l'image du père et en fait des tonnes sans jamais émouvoir vraiment.
Ça démarre bien, les dialogues avec C. Deneuve et N. Garcia sont entraînants, les morceaux de musique Daho avec B. Biolay superbes, puis arrive F. Luchini qui est dans un registre qui en fait trop. Puis le film enchaîne sur Chiara seule, et là la partition et le jeu deviennent franchement mauvais, c’est poussif, pas intéressant. J’ai beau chercher au nième degré, je n’y vois pas d’attrait et je regarde ma montre en attendant la fin des 2 heures annoncées
Histoire de famille lente longue et ennuyante. Chiara indissociable de sa mère apparemment à 50 ans. Tente de ressembler à son père en atteignant juste le comble du ridicule Le pire film que j’ai vu depuis longtemps.
Bonne idée de départ, emportés entre rêve et réalité, le propos s’emmêle finalement et s’essouffle. Des longueurs s’installent, heureusement les musiques choisies et les acteurs soutiennent le film…
Fable émouvante , drôle et élégante, servie par des acteurs de talent qui jouent leur propre rôle. De nombreuses références cinématographiques qui poussent à se renseigner par la suite.
Film au ton juste. Chiara Mastroianni est touchante et tout le petit monde qui tourne autour aussi. Sans être exceptionnel, ce film marque par la sincérité de son approche.
L’histoire n’est pas passionnante, et on passe une bonne partie du film à s’ennuyer et se morfondre dans la vie de Chiara Mastroianni qui se remet dans la vie de son père Marcello. On se morfond tout le long du film avec quelques sourires parfois, mais surtout une histoire de famille bien peu intéressante, avec un scénario ou l’on ne comprend même pas où le réalisateur veut aller, je pense d’ailleurs nul part !
Pour ceux qui ont une affection inconditionnelle pour la carrière et la vie de Marcello - les autres n’y verront qu’un entre soi complaisant. Dommage .
Un film qui n'est pas sans défauts ni longueurs, mais là n'est pas l'important. Difficile de parler de ce film qui brasse de nombreux thèmes en procédant par ellipses, songes, évocations, souvenirs. Il en reste un moment agréable et délicat, de séduction le plus souvent, qui ressemble beaucoup à du Mastroianni.
Pathétique !! Mais comment la critique peut-elle encenser un tel navet ! Au départ une idée la fille de l’acteur disparu veut le faire revivre. Pourquoi pas ? Mais il faut un scénario or il n’y en a pas. Une juxtaposition de scènettes qui laissent de marbre. C’est mortellement ennuyeux. On meuble comme on peut avec un soldat anglais qui se demande ce qu’il fait la, des figurants, des lieux.Chiara Mastroianni promène sa tête à claques un peu partout et nous on en a marre. Mais que font Deneuve et Luchini dans ce foutoir ? Des ménages ? Et en plus ça dure plus de deux heures !Mastroianni doit s’en retourner dans sa tombe . Il me méritait pas cette pantalonnade ! On ne comprend pas que de bons acteurs se fourvoient à ce point sur un projet d’une abyssale vacuité.