Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
D’autres moments de grâce viendront émailler ce Marcello Mio qui amuse autant qu’il émeut, trouble aussi, à l’image de sa remarquable actrice, livrant dans le vrai-faux rôle de son père une prestation inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un délicieux moment de cinéma.
20 Minutes
par Caroline Vié
On peut être réfractaire à son dispositif ou se laisser emporter par cette ballade douce-amère, déclaration d’amour au cinéma, aux acteurs, aux actrices et aux relations filiales.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
D’un postulat étonnant, Christophe Honoré tire une fantaisie sur le deuil et les fantômes d’une vie, drôle, libre, mais surtout d’une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Dans Marcello Mio, Chiara Mastroianni redonne vie à son père Marcello dans une fable touchante sur les traces du passé.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Odile Morain
Une comédie nostalgique et poétique, et un fabuleux hommage à Marcello Mastroianni et au 7ᵉ art en général.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Chiara Mastroianni joue son propre rôle dans une fantaisie tendre où elle se confronte à l’héritage laissé par ses illustres parents. Un émouvant hommage au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sensuelle et complice, la mise en scène accompagne ces corps bien-aimés dans ce dédale, hommage au septième art dans lequel il est si doux de se perdre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Obs
par Elisabeth Philippe et Nicolas Schaller
Une élégante fantaisie et un défi unique pour l’actrice.
La Croix
par Céline Rouden
Christophe Honoré a l’art de nous mener en une fraction de seconde des rires aux larmes. Et transforme ce qui pourrait apparaître de prime abord comme une gentille comédie, autocentrée et germanopratine, en une fable universelle à même de toucher chacun d’entre nous.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le film est tout sauf muséal. Il respire au contraire la beauté de la cinéphilie vivante et l’intelligence malicieuse de Christophe Honoré. Et célèbre pour leur huitième collaboration le talent inouï de Chiara Mastroianni, immense dans ce rôle fusionnel et dans cet hommage fétichiste autant que voluptueux à l’immortalité du septième art.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Dans Marcello Mio, Chiara Mastroianni redonne vie à son père Marcello dans une fable touchante sur les traces du passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par M.L.
Christophe Honoré sublime à nouveau son amie et muse Chiara Mastroianni.
Le Parisien
par Catherine Balle
Entre scènes comiques et chansons nostalgiques, Marcello Mio parle du deuil avec grâce, poésie et beaucoup d’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une jolie comédie portée avec beaucoup de charme et de fantaisie par Chiara Mastroianni qui enfile le costume de ce père omniprésent dans sa vie et ses rêves.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Se déployant entre une scène de fontaine et de plage (...), et parcouru par la Seine, Marcello Mio compose le récit d’une renaissance amniotique bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
Ce film est un petit bijou de tendresse et d'humour pour les amoureux de Marcello Mastroianni, et pas seulement, on l'espère.
Positif
par Adrien Gombeaud
Sous son allure de comédie très chic, voire gentiment snob, Marcello Mio cache un essai touchant sur l'impossible deuil de nos parents.
Première
par Thierry Chèze
Honoré déploie une comédie irrésistible, hymne au septième art, dans ce qu’il peut avoir de poétique et vertigineux dans sa manière de gommer les frontières entre fiction et réalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Cette rêverie charmante, vivante, mélancolique célèbre les acteurs et traite avec fantaisie de questions profondes. Les tâtonnements de l’identité, notre compagnonnage avec nos fantômes, et avec le temps qui passe
Transfuge
par Lucien d'Azay
Un film magnifique et troublant, parfois bien mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Louis Guichard
Christophe Honoré nous réchauffe le cœur et nous donne de l’élan avec cette fantaisie aussi drôle que poétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Avec Marcello Mio, Christophe Honoré joue la carte de l’illusionnisme et, à travers le visage de son actrice chérie, Chiara Mastroianni, convie le fantôme de son illustre père. En résulte une troublante réflexion sur le cinéma, l’éternité et le mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On sourit beaucoup au gré de séquences gentiment fantaisistes, même si cet incontestable entre-soi à moitié psychanalytique se fait de plus en plus mélancolique, voire poétique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Christophe Honoré nage sans doute ici dans un bassin de cinéma trop grand pour lui. Son film n'en reste pas moins amusant et souvent touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Malgré une inspiration certaine derrière son scénario, qui voit l’actrice en pleine crise d’identité réincarner son père disparu, le film du Français ne dépasse pas le vaudeville mondain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’hommage rendu aux deux monstres de cinéma que sont Deneuve et Mastroianni est une belle opportunité pour faire du cinéma, le film de Christophe Honoré se perd parfois dans un maniérisme hors sol.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Marcello Mio ressemble à une fausse autofiction où tout le monde fictionnaliserait sa propre vie, sauf l’auteur du scénario et de la mise en scène. Ou autrement dit : Honoré signe une autofiction à partir d’une histoire qui n’est pas la sienne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La matière documentaire, ici, investit une fiction dont on ne saisit pas l’enjeu, si ce n’est celui de survoler quelques grands motifs tels que le poids de la filiation, l’importance de l’héritage, le vide que laisse la disparition d’un père auquel, de surcroît, on ne cesse de vous renvoyer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Alors que la troupe de comédiens français, invités à se surjouer en transformant le mio en moi, est à la peine, c’est l’immensité de la tâche que s’assignent les deux Chiara qui sauve partiellement le film en parvenant, par instants, à faire surgir l’émotion du maquillage et le spectaculaire du spéculaire.
Le Journal du Dimanche
D’autres moments de grâce viendront émailler ce Marcello Mio qui amuse autant qu’il émeut, trouble aussi, à l’image de sa remarquable actrice, livrant dans le vrai-faux rôle de son père une prestation inoubliable.
Télé 7 Jours
Un délicieux moment de cinéma.
20 Minutes
On peut être réfractaire à son dispositif ou se laisser emporter par cette ballade douce-amère, déclaration d’amour au cinéma, aux acteurs, aux actrices et aux relations filiales.
CinemaTeaser
D’un postulat étonnant, Christophe Honoré tire une fantaisie sur le deuil et les fantômes d’une vie, drôle, libre, mais surtout d’une infinie délicatesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans Marcello Mio, Chiara Mastroianni redonne vie à son père Marcello dans une fable touchante sur les traces du passé.
Franceinfo Culture
Une comédie nostalgique et poétique, et un fabuleux hommage à Marcello Mastroianni et au 7ᵉ art en général.
L'Humanité
Chiara Mastroianni joue son propre rôle dans une fantaisie tendre où elle se confronte à l’héritage laissé par ses illustres parents. Un émouvant hommage au cinéma.
L'Obs
Sensuelle et complice, la mise en scène accompagne ces corps bien-aimés dans ce dédale, hommage au septième art dans lequel il est si doux de se perdre.
L'Obs
Une élégante fantaisie et un défi unique pour l’actrice.
La Croix
Christophe Honoré a l’art de nous mener en une fraction de seconde des rires aux larmes. Et transforme ce qui pourrait apparaître de prime abord comme une gentille comédie, autocentrée et germanopratine, en une fable universelle à même de toucher chacun d’entre nous.
La Septième Obsession
Le film est tout sauf muséal. Il respire au contraire la beauté de la cinéphilie vivante et l’intelligence malicieuse de Christophe Honoré. Et célèbre pour leur huitième collaboration le talent inouï de Chiara Mastroianni, immense dans ce rôle fusionnel et dans cet hommage fétichiste autant que voluptueux à l’immortalité du septième art.
Le Dauphiné Libéré
Dans Marcello Mio, Chiara Mastroianni redonne vie à son père Marcello dans une fable touchante sur les traces du passé.
Le Figaro
Christophe Honoré sublime à nouveau son amie et muse Chiara Mastroianni.
Le Parisien
Entre scènes comiques et chansons nostalgiques, Marcello Mio parle du deuil avec grâce, poésie et beaucoup d’autodérision.
Le Point
Une jolie comédie portée avec beaucoup de charme et de fantaisie par Chiara Mastroianni qui enfile le costume de ce père omniprésent dans sa vie et ses rêves.
Les Inrockuptibles
Se déployant entre une scène de fontaine et de plage (...), et parcouru par la Seine, Marcello Mio compose le récit d’une renaissance amniotique bouleversante.
Ouest France
Ce film est un petit bijou de tendresse et d'humour pour les amoureux de Marcello Mastroianni, et pas seulement, on l'espère.
Positif
Sous son allure de comédie très chic, voire gentiment snob, Marcello Mio cache un essai touchant sur l'impossible deuil de nos parents.
Première
Honoré déploie une comédie irrésistible, hymne au septième art, dans ce qu’il peut avoir de poétique et vertigineux dans sa manière de gommer les frontières entre fiction et réalité.
Sud Ouest
Cette rêverie charmante, vivante, mélancolique célèbre les acteurs et traite avec fantaisie de questions profondes. Les tâtonnements de l’identité, notre compagnonnage avec nos fantômes, et avec le temps qui passe
Transfuge
Un film magnifique et troublant, parfois bien mélancolique.
Télérama
Christophe Honoré nous réchauffe le cœur et nous donne de l’élan avec cette fantaisie aussi drôle que poétique.
Bande à part
Avec Marcello Mio, Christophe Honoré joue la carte de l’illusionnisme et, à travers le visage de son actrice chérie, Chiara Mastroianni, convie le fantôme de son illustre père. En résulte une troublante réflexion sur le cinéma, l’éternité et le mouvement.
La Voix du Nord
On sourit beaucoup au gré de séquences gentiment fantaisistes, même si cet incontestable entre-soi à moitié psychanalytique se fait de plus en plus mélancolique, voire poétique.
Les Echos
Christophe Honoré nage sans doute ici dans un bassin de cinéma trop grand pour lui. Son film n'en reste pas moins amusant et souvent touchant.
Libération
Malgré une inspiration certaine derrière son scénario, qui voit l’actrice en pleine crise d’identité réincarner son père disparu, le film du Français ne dépasse pas le vaudeville mondain.
aVoir-aLire.com
Si l’hommage rendu aux deux monstres de cinéma que sont Deneuve et Mastroianni est une belle opportunité pour faire du cinéma, le film de Christophe Honoré se perd parfois dans un maniérisme hors sol.
Critikat.com
Marcello Mio ressemble à une fausse autofiction où tout le monde fictionnaliserait sa propre vie, sauf l’auteur du scénario et de la mise en scène. Ou autrement dit : Honoré signe une autofiction à partir d’une histoire qui n’est pas la sienne.
Le Monde
La matière documentaire, ici, investit une fiction dont on ne saisit pas l’enjeu, si ce n’est celui de survoler quelques grands motifs tels que le poids de la filiation, l’importance de l’héritage, le vide que laisse la disparition d’un père auquel, de surcroît, on ne cesse de vous renvoyer.
Cahiers du Cinéma
Alors que la troupe de comédiens français, invités à se surjouer en transformant le mio en moi, est à la peine, c’est l’immensité de la tâche que s’assignent les deux Chiara qui sauve partiellement le film en parvenant, par instants, à faire surgir l’émotion du maquillage et le spectaculaire du spéculaire.