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Complètement déconnecté du monde contemporain, comme une bulle en orbite des conflits et des mouvements qui secouent la planète, le dernier film du cinéaste italien offre une parenthèse de beauté et de réflexion quasi métaphysique, totalement épurée, sur la condition humaine.
"Parthenope" est jalonné d’une mélancolie aussi belle que tragique, hypnotisante, sublimée par une BO aérienne et jazzy, sûrement le vrai chef-d’œuvre de ce film bouleversant.
Un film d'une lumineuse beauté porté par des comédiens exceptionnels, avec, en tête, la belle Celeste Dalla Porta en héroïne désillusionnée, son double plus âgé, Stefania Sandrelli, icône du cinéma italien des années 1970, et Gary Oldman en écrivain américain à la dérive.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le cinéaste italien Paolo Sorrentino, inspiré par une figure de la mythologie grecque, dresse le portrait d'une héroïne à la beauté renversante et honore Naples, sa ville natale. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Accessoirement, le film comporte les deux plus belles scènes vues en ce début d’année : l’apparition du personnage principal (incarnée par Celeste Dalla Porta) et une séquence de suicide littéralement bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dense, ce nouveau long-métrage interroge particulièrement la beauté, une constante chez l’artiste, qui avait déjà abordé cette thématique dans l’oscarisé « La Grande Bellezza ».
En dépit d'une mise en scène qui tient le public à distance et le prive d'émotion, on retrouve la mélancolie du réalisateur italien, sa vision cruelle de ses contemporains, son sens du cadre exceptionnel et son rythme lent, qui invite à la contemplation.
Sorte de fresque immobile, "Parthenope" raconte la vie d’une femme qui a tout pour elle, mais qui prend la liberté de ne pas en faire grand-chose. Un peu de changement (le personnage principal, le rythme) mais aussi trop de continuité dans ce nouveau Sorrentino.
Si le cinéaste italien sublime l'amour qu'il porte à sa ville, son propos, ici, est un peu court. L'éclat de Celeste Dalla Porta, son héroïne, ne sufft pas à éblouir le spectateur, qui se demande parfois ce qu'on veut lui raconter. Dommage.
Malgré des fulgurances – un suicide sublimement suggéré – et la cinégénie folle de Celeste Dalla Porta, la fable baroque tourne à vide et le temps paraît long, très long.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De tous les plans ou presque, la jeune mannequin Celeste Dalla Costa endosse le rôle de Parthenope avec une patience infinie qui, chemin faisant, s’étire et s’assimile à celle du spectateur.
‘Prenez garde à toute entreprise qui réclame des habits neufs’ : la phrase du Walden de Thoreau pourrait servir à décourager de passer cent trente-sept minutes devant l’épuisant défilé d’objets de luxe qui entourent la petite Parthénope dès sa naissance dans la baie de Naples.
Boursoufflé et complaisant, Paolo Sorrentino passe à côté de sa sublime histoire et de son immense personnage pour lui préférer les circonvolutions d’une forme qui épuise et s’épuise.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Coproduits par la maison de production de la marque Saint Laurent, les costumes sont entièrement supervisés par le directeur artistique de la marque de luxe. C’est précisément ce qui gêne dans ce film trop bien habillé : le défilé de mode tient désormais lieu de fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Fort heureusement Sorrentino n’a pas créé la femme, et s’il pense faire preuve d’audace en poussant le male gaze à son paroxysme, il ne fait en fait que confirmer son manque de talent pour le fond et son incessant refuge dans la forme.
On est un peu au-delà de tout ce qu’il est possible d’imaginer comme synthèse ultime du male gaze et du delirium bourgeois. Sorrentino [...] déroule, entre nonchalance auto-satisfaite et sensualité de salle de bains en marbre, un ample tableau de séduisantes inepties complètement hors-sol.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Abus de Ciné
Une ode sublime à la beauté et la jeunesse perdues
Culturopoing.com
"Parthénope" est une splendeur de tous les instants, une œuvre drôle, mélancolique et surtout touchée par la grâce.
Le Figaro
Dans une Naples aussi somptueuse que vulgaire, Paolo Sorrentino suit une jeune femme qui fait tourner toutes les têtes. Un film parfait.
Le Parisien
À couper le souffle.
20 Minutes
Cette ode au féminin fait découvrir une grande comédienne, Celeste Dalla Porta.
Franceinfo Culture
Complètement déconnecté du monde contemporain, comme une bulle en orbite des conflits et des mouvements qui secouent la planète, le dernier film du cinéaste italien offre une parenthèse de beauté et de réflexion quasi métaphysique, totalement épurée, sur la condition humaine.
Konbini
"Parthenope" est jalonné d’une mélancolie aussi belle que tragique, hypnotisante, sublimée par une BO aérienne et jazzy, sûrement le vrai chef-d’œuvre de ce film bouleversant.
La Voix du Nord
Un essai filmique pas vraiment dans l’air du temps, mais puissant et d’une splendeur visuelle renversante.
Le Point
Un film d'une lumineuse beauté porté par des comédiens exceptionnels, avec, en tête, la belle Celeste Dalla Porta en héroïne désillusionnée, son double plus âgé, Stefania Sandrelli, icône du cinéma italien des années 1970, et Gary Oldman en écrivain américain à la dérive.
Les Echos
Le cinéaste italien Paolo Sorrentino, inspiré par une figure de la mythologie grecque, dresse le portrait d'une héroïne à la beauté renversante et honore Naples, sa ville natale. Une réussite.
Marianne
Paolo Sorrentino honore Naples.
Ouest France
Une réflexion baignée de lumière, parfois trop maniérée, sur le temps qui passe et la beauté des souvenirs.
Positif
Film de maturité, moins baroque et moins clinquant que ses premières réalisations, "Parthenope" n’en reste pas moins une œuvre poétique et intrigante.
Première
Accessoirement, le film comporte les deux plus belles scènes vues en ce début d’année : l’apparition du personnage principal (incarnée par Celeste Dalla Porta) et une séquence de suicide littéralement bouleversante.
Sud Ouest
Dense, ce nouveau long-métrage interroge particulièrement la beauté, une constante chez l’artiste, qui avait déjà abordé cette thématique dans l’oscarisé « La Grande Bellezza ».
Télérama
POUR : Exagérément baroque, criard sans aucun doute, mais qui frappe si fort et si juste par sa mélancolie.
Le Journal du Dimanche
En dépit d'une mise en scène qui tient le public à distance et le prive d'émotion, on retrouve la mélancolie du réalisateur italien, sa vision cruelle de ses contemporains, son sens du cadre exceptionnel et son rythme lent, qui invite à la contemplation.
Les Fiches du Cinéma
Sorte de fresque immobile, "Parthenope" raconte la vie d’une femme qui a tout pour elle, mais qui prend la liberté de ne pas en faire grand-chose. Un peu de changement (le personnage principal, le rythme) mais aussi trop de continuité dans ce nouveau Sorrentino.
Version Femina
Si le cinéaste italien sublime l'amour qu'il porte à sa ville, son propos, ici, est un peu court. L'éclat de Celeste Dalla Porta, son héroïne, ne sufft pas à éblouir le spectateur, qui se demande parfois ce qu'on veut lui raconter. Dommage.
aVoir-aLire.com
Un subtil portrait de femme où l’on retrouve des constantes du cinéma de Sorrentino, mais avec plus de retenue qu’à son habitude. Une réussite.
Critikat.com
À coups d’aphorismes et de tirades pompeuses, le film tente tant bien que mal de maquiller sa boursouflure en élégie.
Ecran Large
Sorrentino voudrait faire de cette personnification de Naples un fantasme total. Il en tire surtout une coquille vide empêtrée dans sa vacuité.
L'Obs
Malgré des fulgurances – un suicide sublimement suggéré – et la cinégénie folle de Celeste Dalla Porta, la fable baroque tourne à vide et le temps paraît long, très long.
La Tribune Dimanche
De tous les plans ou presque, la jeune mannequin Celeste Dalla Costa endosse le rôle de Parthenope avec une patience infinie qui, chemin faisant, s’étire et s’assimile à celle du spectateur.
Nice-Matin
Dans ce parcours initiatique où Parthenope est priée de "se laisser aller", on a eu du mal à en faire de même avec nos émotions.
Paris Match
L’esthétique est clinquante, les dialogues des aphorismes sur la vie, la beauté et l’anthropologie.
Cahiers du Cinéma
‘Prenez garde à toute entreprise qui réclame des habits neufs’ : la phrase du Walden de Thoreau pourrait servir à décourager de passer cent trente-sept minutes devant l’épuisant défilé d’objets de luxe qui entourent la petite Parthénope dès sa naissance dans la baie de Naples.
CinemaTeaser
Boursoufflé et complaisant, Paolo Sorrentino passe à côté de sa sublime histoire et de son immense personnage pour lui préférer les circonvolutions d’une forme qui épuise et s’épuise.
Le Monde
Coproduits par la maison de production de la marque Saint Laurent, les costumes sont entièrement supervisés par le directeur artistique de la marque de luxe. C’est précisément ce qui gêne dans ce film trop bien habillé : le défilé de mode tient désormais lieu de fiction.
Les Inrockuptibles
Fort heureusement Sorrentino n’a pas créé la femme, et s’il pense faire preuve d’audace en poussant le male gaze à son paroxysme, il ne fait en fait que confirmer son manque de talent pour le fond et son incessant refuge dans la forme.
Libération
On est un peu au-delà de tout ce qu’il est possible d’imaginer comme synthèse ultime du male gaze et du delirium bourgeois. Sorrentino [...] déroule, entre nonchalance auto-satisfaite et sensualité de salle de bains en marbre, un ample tableau de séduisantes inepties complètement hors-sol.
Télérama
CONTRE : Loin de Fellini Roma, ce « Sorrentino Napoli » n’est rien de plus qu’une somme de jolis clichés.