Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Closer
par J.B.
Dans la veine des films de Judd Apatow, cette comédie offre un flot ininterrompu de gags osés et de bons mots.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette comédie de quiproquo habile cède parfois à l’outrance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce rôle pour le moins ingrat, le réalisateur l’a offert à Camille Lellouche, dont le talent de comédienne ne résiste pas longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Bastien Assié
Sur le papier, L’Heureuse élue avait tout de la comédie efficace de la rentrée. Pourtant, entre les gags attendus et une intrigue qui ne dépasse pas la caricature classiste, rien ne prend et la comédie se délite en quelque chose d’évident et impersonnel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par C.M.
Entre un humour embarrassant et une histoire sans intérêt, le cinéma français affiche son pire visage dans cette comédie.
Télérama
par Nicolas Didier
Vomi en avion, jet de nourriture, épilation du maillot… Comparé à cette comédie vulgaire à la française – par le réalisateur de Love Addict, avec Kev Adams –, n’importe quel gag de Mon beau-père et moi (Jay Roach, 2000), même le plus trash, paraîtrait sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Dans la veine des films de Judd Apatow, cette comédie offre un flot ininterrompu de gags osés et de bons mots.
L'Obs
Cette comédie de quiproquo habile cède parfois à l’outrance.
Le Parisien
Ce rôle pour le moins ingrat, le réalisateur l’a offert à Camille Lellouche, dont le talent de comédienne ne résiste pas longtemps.
Première
Sur le papier, L’Heureuse élue avait tout de la comédie efficace de la rentrée. Pourtant, entre les gags attendus et une intrigue qui ne dépasse pas la caricature classiste, rien ne prend et la comédie se délite en quelque chose d’évident et impersonnel.
Télé 2 semaines
Entre un humour embarrassant et une histoire sans intérêt, le cinéma français affiche son pire visage dans cette comédie.
Télérama
Vomi en avion, jet de nourriture, épilation du maillot… Comparé à cette comédie vulgaire à la française – par le réalisateur de Love Addict, avec Kev Adams –, n’importe quel gag de Mon beau-père et moi (Jay Roach, 2000), même le plus trash, paraîtrait sophistiqué.