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FaRem
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2,0
Publiée le 6 décembre 2024
L'Agent John Lawlor est confronté à son passé alors qu'il tente de mettre derrière les barreaux Kwang, le chef d'un cartel de drogue taïwanais impitoyable. Une mission difficile, car personne ne veut parler jusqu'à ce qu'une personne trouve le courage... "Weekend in Taipei" est un film d'action peu créatif, ce qui n'est pas vraiment un problème, mais surtout peu spectaculaire, ce qui est plus problématique. Un film avare en action avec peu de courses-poursuites, de fusillades et de bagarres. Une intrigue tellement fine que les scénaristes ont été forcés d'ajouter un long flashback sans intérêt et une dimension familiale à l'histoire qui s'éternise beaucoup trop dans la deuxième partie. Sans ça et avec juste un rythme plus soutenu et plus d'action peut-être que ça aurait été une série B regardable, mais là, c'est trop plat, générique et jamais divertissant.
Avec Week-end à Taipei, Luc Besson nous offre un séjour explosif sur l'île de Taïwan. Côté scénario, l'histoire n'est effectivement pas très originale, celle d'un agent américain luttant contre le trafic de drogue et qui se retrouve dans la ville de Taipei pour une mission où il va retrouver son ancienne amour, ayant des relations avec un baron de la drogue. Oui, la recette a déjà été exploitée de nombreuses fois dans le registre, certains personnages sont caricaturaux et on se pose la légitimité de cette sortie en salles, plutôt que sur une plate-forme de streaming. N'en déplaisent à certains mais, pour ma part, l'intrigue reste captivante, survitaminée avec un rythme soutenu. Les scènes d'action sont nombreuses, les quelques flash-backs sont utiles et bien amenés, et enfin la petite touche d'émotion (la relation familiale dans l'histoire) trouve sa place au sein de ce thriller. Dans l'ensemble, ce n'est certes pas révolutionnaire dans le registre mais cela reste tout de même un bon film d'action efficace et cohérent avec une note d'humour justement dosé.
L'avis complet de MediaShow (sans spoilers) : https://mediashowbydk.com/
Un film entre action et comédie au scénario un peu original (pas du tout réaliste mais normal pour un film de ce genre), bien joué par les acteurs, avec des scènes d'action bien chorégraphiées (n'essayez pas de faire la même chose à la maison :)), une réalisation rythmée et bien cadrée, ... Pas extraordinaire mais divertissant, donc objectif atteint.
Encore une histoire d'agent de la DEA à la recherche de preuves pour faire "tomber" un roi de la pègre à Taipei. Ce qui change par rapport aux films sur la mafia: c'est le décor de la capitale de Taïwan. Avec ses restaurants de street foods qui cotoient des immeubles de grand standing. Le charme de l'Asie "moderne".
Il y a bien entendu son lot de combat de kun fu et de poursuites en voitures, comme on peut s'endouter. A noter la présence, en chair et en os, d'Alain Figlarz ( celui qui réalise "Insider", une série avec les meilleures forces spéciales du Monde). Bon heu, au passage, il a pris un peu de bide...
Mais le scénario est un poil tiré par les cheveux, avec une recherche de "preuves" contenues dans une clef USB...On en dira pas plus, car l'intrigue ne tient pas la route. A noter l'existence d'un petit village de pêcheurs traditionnels, un peu comme dans "Equalizer 3". Film à voir pour le changement de décor...
Voilà un film qui n'a pas de temps mort. Le scénario n'est pas très compliqué mais le résultat est plaisant et les personnages principaux sympathiques. J'ai trouvé les combats bien chorégraphiés. J'ai passé un bon moment
La méthode Besson est archi éculé depuis bien des années et pourrait se résumer à de l'action simple, efficace et surtout simple. Les méchants sont des caricatures avec des soldats facile à tuer, un leader bodybuildé très très méchant, un magnat dos au mur, tandis qu'évidemment l'amour est plus fort que tout avec en prime le paramètre archi éculé de la paternité. Besson se repose sur ses lauriers et on le remarque tant il place l'action partout et ne s'applique pas du tout sur le reste créant ainsi des faux raccords dont certains assez grossiers, le pire étant de combler les trous du scénario avec des flash-backs inutiles ou plutôt superficiels et tournés vite fait (4-5 plans de baisers fougueux feront l'affaire !). Les scènes d'action sont plutôt efficaces dans l'ensemble, mais restent d'une moyenne commerciale sans surprise, on notera surtout la partie cuisine du début, ou les 20 secondes de corps à corps au couteau griffe (acteur impressionnant vu mille fois dans des productions du genre sous-exploité et même pas crédité au générique) ; a contrario fusillade dans hôtel sans aucune inspiration, duel final ennuyeux et mal monté. Besson signe un scénario convenu et formaté, mis en scène de façon tout aussi standardisé, ce qui comblera les amateurs pour une séance décérébré. Site : Selenie.fr
un film un peu a l'ancienne. un peu d humour, de l'action et un scénario simple qui aurai pu être un peu plus approfondi et développé sur la fin. on ne s ennuie pas un instant .bref j ai passé un bon petit moment
Une bonne série B d'action basique mais efficace, porté par un castin sympathique et une bonne dose d'énergie. Très divertissant, surtout avec du popcorn. La critique sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/10/week-end-taipei-de-george-huang-un-bon.html
Film distrayant mais c'est à peu près tout puisqu'il ne renouvelle en rien le Genre ! Film loin d'être inoubliable même s'il y a quelques fulgurances par instants !
Le premier quart d'heure jusqu’à la scene de combat dans la cuisine est correct. Après on peut quitter la salle , scenario simpliste et film sans intérêt.
Un film vite vu vite oublié. A part la scène de bagarre dans la cuisine qui est réussie, le reste ne respire pas l'originalité et manque de rythme. Dommage pour Luc Besson, j'aurais aimé qu'il renoue avec son succès d'antan.
John Lawlor, agent de la DEA, doit renouer avec son passé pour coincer un baron de la drogue à Taipei.
Je n’ai découvert le pot aux roses qu’une fois dans la salle, lorsque la projection à démarré et que le nom d’EuropaCorp est apparu à l’écran, sans quoi, il est évidemment que je me serai méfié avant même de m’aventurer dans cette galère et d’accorder 90 min de mon temps de cerveau disponible à ce film (pour ma défense, je n’avais pas prêté attention à l’affiche du film qui mentionne pourtant cet avertissement “Par les créateurs de Taken & Le Transporteur”, cela aurait dû me mettre la puce à l’oreille et m’avertir de ne surtout pas y accorder le moindre intérêt).
Bref, c’était trop tard pour faire machine arrière. La dernière chiure pondue par notre Luc Besson national n’a absolument rien d’original, c’est tellement navrant et pathétique qu’il est impossible de faire mine d’être surpris, connaissant l’historique de Besson (sa filmo déclenche des hauts le coeur rien qu’à l'énonciation des projets auxquels il a participé).
Week-end à Taipei (2024) est une accumulation de clichés déjà vus et revus, il n’y a que le décor de carte postale qui change, l’intrigue aurait pu se dérouler à Berlin, Londres ou Shanghaï que cela n’aurait absolument rien changé. Tout est prétexte à vous balancer ras la gueule des scènes d’action toutes plus ineptes les unes que les autres, entrecoupées d’insupportables flashbacks sur fond de romance parfaitement gnangnan.
Réalisé par l'inconnu George Huang, dont son seul et unique fait d'arme remonte à 30 ans en arrière avec Swimming with Sharks (1994) récompensé à Deauville, ce dernier semble suivre à la lettre le cahier des charges imposé par EuropaCorp et s’évertue à ne (surtout) pas faire le moindre effort pour faire preuve de la moindre originalité. Il ne faudra pas non plus compter sur Luke Evans pour sauver les meubles, ce dernier n’est rien d‘autre qu’un ersatz de Jason Statham. A noter enfin, la présence au casting parfaitement anecdotique d’Alain Figlarz (un habitué des prods de Luc Besson puisqu’il est son chorégraphe des cascades) qui incarne ici un type qui n’a qu’une seule et unique réplique “Je vais aux toilettes” (une anecdote aussi futile que le rôle qu’il incarne).