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laurent gay
106 abonnés
157 critiques
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2,5
Publiée le 2 novembre 2024
Lucas Bravo suinte le gros bourgeois suffisant du 16ieme, on sens qu'il est né gosse de riche! A l'opposé du rôle de voyou, d'anarchiste qu'il est sensé jouer dans ce film, par contre je le verrais bien jouer de la télénova... Cela qui met tout le film par terre, et c'est dommage, car Attal en vieux flic des années 80 c'est un régal, bande son, scénario, images, tout est bon, mais grosse erreur de casting sur le rôle principal.
Comment faire d'un homme hors du commun un film insipide ? Et bien c'est fait avec ce film, gachis total, une mise en scène fade, sans intérêt, des acteurs actrices qui s'enfoncent dans ce sable mouvant de mièvrerie, même Yvan Attal n'a pas pu se sortir de ce tourbillon de médiocrité. Préférez le génial livre de Philippe Jeanada, qui lui a su captiver ses lecteurs et mettre en relief cette histoire extraordinaire.
Complètement raté! On s’ennuie à mourir et ce dès les premiers minutes du film… La réalisatrice pense trop que le public va être séduit par la relation de couple de Lucas dès le début alors qu’on ne s’attache à aucun moment à eux. Ce qui pour une histoire d’amour est problématique vous en conviendrez. Lucas bravo est insipide et n’a clairement pas les épaules pour endosser un tel rôle Il est plus que fade; désolé la Beauté ne fait pas tout, il manque cruellement de charme et de charisme. Pas mieux pour l’actrice qui incarne sa compagne
Aucun respect de l’histoire de ce gangster. Les acteurs interprètent mal les personnages réels. Mélanie Laurent n’a visiblement pas compris l’essence de ce personnage iconique pour en faire un pseudo film de gangster romantique. Aucun parti pris quand au décès mystérieux de Bruno. Aucune vision artistique à part une séquence où la caméra tourne sur elle même pendant de longues secondes pour montrer toutes les richesses qu’amassent Bruno. Ce biopic traite mal de la vie de ce braqueur au grand cœur. Les événements sont survolés. Le caractère anti conformiste du personnage n’est qu’amorcé lors de dialogue et Lucas Bravo joue plutôt un fanfaron insolent qu’un homme aussi passionné que Bruno Sulak. À l’avenir respectez les familles plutôt que de sortir des daubes pareilles.
Mélanie Laurent a un véritable talent pour la mise en scène et livre le parcours de Bruno Sulak, soit un braqueur charmeur, abhorrant la violence et sévissant avec classe pour des casses ou pour se faire la malle. Le film est traversé par un souffle romanesque, épicurien et poétique. Ode a l'amour et à la liberté, hissée par un casting plein de charme et de complicité, d'abord avec le sémillant Lucas Bravo (à la croisée entre Thomas Dutronc et Gérard Butler), le charme fou de Léa Luce Busato (aux airs de Béatrice Dalle), et Yvan Attal dans un rôle de flic touchant et canaille. Une très belle surprise.
Opportuniste et prétentieux, comme tout ce qu'elle fait. C'est pénible à la longue de claquer des budgets pour ce genre de navet alors qu'il y a des jeunes réalisateurs doués plein d'audace et de promesses. Avoir autant d'argent (12 millions!) pour faire d'un personnage riche et profond, un film aussi creux est une véritable prouesse. Bravo Mélanie Laurent.
Très bon biopic sur la vie de Sulak ou les acteurs jouent avec justesse , c'est une ode à la liberté , une sorte d'insouciance folle avec une forte empreinte de poésie sauvage , de fraternité , de respect , de codes d'honneur , d'une très belle histoire d'amour aussi , ce film possède une âme forte . Une réussite.
"Libre", c'est l'histoire d'un homme devenu cambrioleur, non pas pour être riche ou puissant, mais pour le goût de la liberté, de l'adrénaline. Mais, ce genre de liberté est toute relative, comme le montrent les lettres d'amour, la scène dans le train, ou encore la dernière altercation de Bruno avec les forces de l'ordre. La mise en scène de Mélanie Laurent est à la fois très romanesque, dynamique et vertigineuse, parfois. Mais, ce Bruno Sulak est-il un exemple à suivre pour les jeunes? Ok, il est poli, charmeur, audacieux. Mais, être libre, comme le revendique Bruno Sulak, assure une mort certaine, dans des conditions atroces, et Pablo Escobar, le Clyde de Bonnie, Mesrine sont des célèbres exemples. Bref, être libre est un vaste sujet, dont la définition change et évolue avec le temps. C'est à nous d'écrire la définition, sachant que la liberté a ses limites.
Ce nouveau film de Mélanie Laurent , c’est sur l’ascension et la chute d’un homme en quête de liberté, une sorte de vie où rébellion et amour s’entremêlent, avec une attention particulière axée sur le sentimental. Lucas Bravo et Yvan Attal sont très bons , je trouve ce casting très judicieux.
Le scenario est vide malgré une mise en scène et des visuels intéressants. Le film avait un potentiel énorme mais malheureusement ne prend jamais son envol. Je me suis ennuyé.
Très bon film sur la vie de ce braqueur plutôt méconnu. Évidemment il ne raconte qu'une partie de sa vie, se concentrant sur la relation avec le flic qui le pourchassait et en parallèle une relation amoureuse où les acteurs sont tous les 2 merveilleux.
C'est très léger et superficiel, mais plutôt pas mal. Ecrit avec charme et malice. Rondement mené sans jamais bousculer le spectateur. De la pure mise en scène pour enivrer les sens. Jamais de sur-explicatif, beaucoup de non dit et d'illustratif. Une ode quasi musicale à une vie pleine et entière, celle qui brûle la chandelle par les deux bouts. Un hommage certain au polard français d'antan, et aux films tragique de voyous qui avaient du panache et de l'éthique. C'est beau, stylisé, romanesque et absolument romantique. ça ne tient jamais en place au même endroit plus de 3 minutes. Pas mal de plan laissent sans voix par leur poésie ou leur virtuosité, genre le panoramique à 360 du tribunal par exemple. Et j'ai beaucoup aimé l'ost très 60s/70s référencé Morricone, Legrand et De Roubaix. C'est de la belle ouvrage de série B qui ne veut pas trop que ça se voit. Dommage que le rendu final fasse quand même très lisse, propret et plateforme. 3/5 du travail honnête et sympathique
Tout est volontairement vintage, mais cela tourne au vieillot à cause des musiques, de la photographie et des mouvements de caméra. Exemple d'idée cinématographique vieillotte : la caméra rotationne pendant de longues minutes sur "Les moulins de mon coeur" version Petula Clark. ATTAL est excellent avec sa coiffure bouclée, son air désinvolte et nonchalant : un "Colombo" sans le trench coat beige. La relation entretenue entre ces 2 hommes est étonnante : admiration, respect et ténacité mutuelle. Pour avoir étudié Wikipedia, le déroulé est assez fidèle à l'histoire de cet Arsène Lupin, jusqu'à l'épilogue. Je me suis tout de même terriblement ennuyé, tant le choix de cette histoire m'a laissé de marbre.