Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Tyler Taormina est sans doute de celles et ceux qui (se) prouvent en permanence l’existence de l’extraordinaire dans l’ordinaire, du sensationnel dans le quotidien.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
D'œuvre en œuvre, Taormina prolonge l'élan primitif de David Robert Mitchell et le transcende pour créer petit à petit une filmographie fascinante et d'une beauté assez folle, tout à la fois emplie de lumière mais non dépourvue de la part d'ombre que peuvent provoquer en nous toutes les incertitudes vers lesquelles les pas des personnages les guident.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Critikat.com
par Robin Vaz
Noël à Miller’s Point épouse la logique du souvenir : l’expérience passée s’imprime dans la mémoire sous forme d’une multitude de fragments plutôt que d’un récit continu et totalisant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Une savoureuse chronique fragmentée par sa multitude de personnages, et qui capte comme peu d’autres films la mélancolie des fêtes de fin d’année.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Etienne Sorin
Nostalgique et élégiaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Producteur, et réalisateur de Ham on Rye (2021), film de passage à l’âge adulte, le temps d’une longue fête à Long Island, et de Happer’s Comet (2022), Tyler Taormina s’y confirme en exquis peintre d’atmosphère. Transformant une intrigue tenant sur un timbre-poste (que va-t-on faire de l’ancêtre ?) en élégie du temps qui passe et en manière de discrète americana.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Robin Vaz
L’enchantement enfantin provoqué par les lumières multicolores ou les premiers baisers adolescents sous la neige apparaissent dans ce film comme les miroitements d’un fascinant kaléidoscope mémoriel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
"Noël à Miller’s Point" [...] évoque plutôt, dans sa narration éclatée et sa succession d’épiphanies, certaines nouvelles de James Joyce, où un objet se fait le vecteur d’une bombe à émotions qui n’explose jamais tout à fait [...] et où les non-dits hantent le chassé-croisé de relations auxquels seuls les spectateurs (ou lecteurs) pourront extraire tout le suc, depuis leur position d’observateurs totalement sous le charme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une comédie joyeuse et gentiment foutraque.
Télérama
par Jérémie Couston
Peu d’action dans cette œuvre chorale de Tyler Taormina, mais beaucoup d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un duo absurde de flics improbables, joués par Michael Cera et Gregg Turkington dans un numéro burlesque, met des épines de rire sous le sapin de Noël à Miller's Point.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le réveillon d’une famille turbulente, chronique de l'ennui d'où finit par s'échapper une fugue adolescente vivifiante dans la nuit froide de l'hiver.
Le Point
par La Rédaction
Autour de la matriarche Antonia (Mary Reistetter), qui donne des signes visibles de détérioration mentale et physique, il y a près de vingt personnes de tous âges dont nous suivons les histoires individuelles comme collectives. C'est la révélation d'un vrai talent du nouveau cinéma indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Fourre-tout vertigineux, le film de Tyler Taormina déroute, mais convainc aussi par moments, grâce à sa belle énergie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Ce n'est pas forcément un film pour tous les goûts, mais son émiettement narratif relève de saveurs variées : instants shoot sucré, sens du détail doux-amer, dialogues au gingembre ou acidulés.
Première
par Frédéric Foubert
Zappant à toute allure d’un personnage à l’autre, d’un détail loufoque à une micro-épiphanie poétique, le cinéaste travaille une sorte de pointillisme fiévreux, arrachant des bribes d’éternité au quotidien le plus prosaïque, pour réfléchir à la façon dont se composent et se sédimentent les souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Comme dans ce genre de célébration, le trop plein de bruit et de musique s'impose par moment avec poids à un spectateur passif, qui ne se sent pas réellement invité à la fête. De plus, si les sujets plus sérieux qui se déroulent en fond, leur développement reste minimal, interrompu par le rythme effréné de la soirée.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Konbini
par Manon Marcillat
Dans un quasi huis-clos de Noël très bruyant, qui navigue entre nostalgie kitch et amour familial dysfonctionnel, Tyler Taormina filme un trop plein mais surtout une coquille vide.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film choral sur la nuit de Noël dans une famille italo-américaine de la banlieue de New York ne tarde pas à distiller l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Renaud Baronian
Largué, le spectateur ne sait plus à quoi se raccrocher et a la sensation que Tyler Taormina aurait pu, avec ce troisième long-métrage, accoucher d’un grand film s’il s’en était tenu à son sujet de départ. La présence anecdotique au casting de Francesca Scorsese (fille de Martin) et Sawyer Spielberg (fils de Steven) n’y change rien. Dommage…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Nice-Matin
par Cédric Coppola
L’ennui est que l’on reste extérieur à ce qui se passe sur l’écran, en n'étant que trop rarement impliqué. Seule l’image, soignée, au look rétro, attire l’œil. Une curiosité donc, comme la présence au casting de Francesca Scorsese et Sawyer Spielberg, respectivement fille de Martin Scorsese et fils de Steven Spielberg.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un bon sujet de départ gâché par une multitude de sous-sujets et un trop plein de personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
N’en ressort pourtant aucune poésie, aucune mélancolie palpable, juste la vitrine d’une intention, car aucune scène n’a la possibilité de créer une chose ou d’amener vers une autre, chaque moment comme figé dans sa propre existence.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après plus d’une centaine de minutes agressives, hirsutes et assourdissantes, on reste pantois devant ce bordel nullement organisé : il semble asséner que, malgré ses dysfonctionnements, rien ne vaut le modèle traditionnel familial. Fort discutable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Tyler Taormina est sans doute de celles et ceux qui (se) prouvent en permanence l’existence de l’extraordinaire dans l’ordinaire, du sensationnel dans le quotidien.
Culturopoing.com
D'œuvre en œuvre, Taormina prolonge l'élan primitif de David Robert Mitchell et le transcende pour créer petit à petit une filmographie fascinante et d'une beauté assez folle, tout à la fois emplie de lumière mais non dépourvue de la part d'ombre que peuvent provoquer en nous toutes les incertitudes vers lesquelles les pas des personnages les guident.
Critikat.com
Noël à Miller’s Point épouse la logique du souvenir : l’expérience passée s’imprime dans la mémoire sous forme d’une multitude de fragments plutôt que d’un récit continu et totalisant.
Ecran Large
Une savoureuse chronique fragmentée par sa multitude de personnages, et qui capte comme peu d’autres films la mélancolie des fêtes de fin d’année.
Le Figaro
Nostalgique et élégiaque.
Le Monde
Producteur, et réalisateur de Ham on Rye (2021), film de passage à l’âge adulte, le temps d’une longue fête à Long Island, et de Happer’s Comet (2022), Tyler Taormina s’y confirme en exquis peintre d’atmosphère. Transformant une intrigue tenant sur un timbre-poste (que va-t-on faire de l’ancêtre ?) en élégie du temps qui passe et en manière de discrète americana.
Les Inrockuptibles
L’enchantement enfantin provoqué par les lumières multicolores ou les premiers baisers adolescents sous la neige apparaissent dans ce film comme les miroitements d’un fascinant kaléidoscope mémoriel.
Libération
"Noël à Miller’s Point" [...] évoque plutôt, dans sa narration éclatée et sa succession d’épiphanies, certaines nouvelles de James Joyce, où un objet se fait le vecteur d’une bombe à émotions qui n’explose jamais tout à fait [...] et où les non-dits hantent le chassé-croisé de relations auxquels seuls les spectateurs (ou lecteurs) pourront extraire tout le suc, depuis leur position d’observateurs totalement sous le charme.
Ouest France
Une comédie joyeuse et gentiment foutraque.
Télérama
Peu d’action dans cette œuvre chorale de Tyler Taormina, mais beaucoup d’émotion.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un duo absurde de flics improbables, joués par Michael Cera et Gregg Turkington dans un numéro burlesque, met des épines de rire sous le sapin de Noël à Miller's Point.
Le Dauphiné Libéré
Le réveillon d’une famille turbulente, chronique de l'ennui d'où finit par s'échapper une fugue adolescente vivifiante dans la nuit froide de l'hiver.
Le Point
Autour de la matriarche Antonia (Mary Reistetter), qui donne des signes visibles de détérioration mentale et physique, il y a près de vingt personnes de tous âges dont nous suivons les histoires individuelles comme collectives. C'est la révélation d'un vrai talent du nouveau cinéma indépendant américain.
Les Fiches du Cinéma
Fourre-tout vertigineux, le film de Tyler Taormina déroute, mais convainc aussi par moments, grâce à sa belle énergie.
Positif
Ce n'est pas forcément un film pour tous les goûts, mais son émiettement narratif relève de saveurs variées : instants shoot sucré, sens du détail doux-amer, dialogues au gingembre ou acidulés.
Première
Zappant à toute allure d’un personnage à l’autre, d’un détail loufoque à une micro-épiphanie poétique, le cinéaste travaille une sorte de pointillisme fiévreux, arrachant des bribes d’éternité au quotidien le plus prosaïque, pour réfléchir à la façon dont se composent et se sédimentent les souvenirs.
Abus de Ciné
Comme dans ce genre de célébration, le trop plein de bruit et de musique s'impose par moment avec poids à un spectateur passif, qui ne se sent pas réellement invité à la fête. De plus, si les sujets plus sérieux qui se déroulent en fond, leur développement reste minimal, interrompu par le rythme effréné de la soirée.
Konbini
Dans un quasi huis-clos de Noël très bruyant, qui navigue entre nostalgie kitch et amour familial dysfonctionnel, Tyler Taormina filme un trop plein mais surtout une coquille vide.
La Croix
Ce film choral sur la nuit de Noël dans une famille italo-américaine de la banlieue de New York ne tarde pas à distiller l’ennui.
Le Parisien
Largué, le spectateur ne sait plus à quoi se raccrocher et a la sensation que Tyler Taormina aurait pu, avec ce troisième long-métrage, accoucher d’un grand film s’il s’en était tenu à son sujet de départ. La présence anecdotique au casting de Francesca Scorsese (fille de Martin) et Sawyer Spielberg (fils de Steven) n’y change rien. Dommage…
Nice-Matin
L’ennui est que l’on reste extérieur à ce qui se passe sur l’écran, en n'étant que trop rarement impliqué. Seule l’image, soignée, au look rétro, attire l’œil. Une curiosité donc, comme la présence au casting de Francesca Scorsese et Sawyer Spielberg, respectivement fille de Martin Scorsese et fils de Steven Spielberg.
aVoir-aLire.com
Un bon sujet de départ gâché par une multitude de sous-sujets et un trop plein de personnages.
CinemaTeaser
N’en ressort pourtant aucune poésie, aucune mélancolie palpable, juste la vitrine d’une intention, car aucune scène n’a la possibilité de créer une chose ou d’amener vers une autre, chaque moment comme figé dans sa propre existence.
L'Obs
Après plus d’une centaine de minutes agressives, hirsutes et assourdissantes, on reste pantois devant ce bordel nullement organisé : il semble asséner que, malgré ses dysfonctionnements, rien ne vaut le modèle traditionnel familial. Fort discutable.