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Ce trouble, Steven Soderbergh l’accentue au fil du récit, à mesure que l’intrigue, centrée sur des thématiques très actuelles, déploie violence, cruauté et suspense malsain. Tout comme la présence s’insinue dans la perception de Chloe, Presence s’immisce en nous, redoutable machine à images et à sensations.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Soderbergh est un génie de l’image suggérée. Talent qu’il applique à merveille dans son nouveau film, relecture formellement brillante du film de fantôme et du mythe de la maison hantée.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Presence est une machine à sensations foudroyante. En choisissant de filmer du point de vue du fantôme en caméra subjective, Steven Soderbergh signe un film à la mélancolie poignante. Une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Dans ce huis clos – on ne sortira jamais de la maison – Steven Soderbergh fait peu à peu monter la tension jusqu'à l'épouvante, avec un scénario plein de surprises servi par une réalisation inventive.
Soderbergh prouve qu’on peut avoir 35 ans de carrière, plus grand chose à prouver, mais continuer à innover et expérimenter son médium. Un tour de force, encore un, du maître, ni plus ni moins.
(...) une intrigue au départ obscure, mais qui prend ensuite une tournure insoupçonnée, devient subitement raccord avec l’actualité, avant de finir sur une conclusion aussi brutale que logique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Deux personnages discutent dans une pièce. Qui est ce troisième terme, également “présent”, et qui nous permet miraculeusement de les regarder ? Le processus d’enregistrement a-t-il un pouls ?
"Presence" ne bascule jamais dans l'hyper-démonstration genresque et parvient malgré sa retenue à ménager de vrais moments de malaise en s'attachant, simplement, à l'auscultation des traumatismes et culpabilités d'un foyer en pleine implosion.
Concis - 1h25 -, exploitant à merveille son concept - un film de fantôme en caméra subjective -, « Presence » est un petit bijou de cinéma fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Avec ses faux airs de petit film laboratoire, "Presence" est un grand film sur les fissures intimes d'aujourd'hui et une réflexion ouverte sur la façon dont on pourra ces prochaines années les raconter afin de mieux les rendre visibles.
Il fallait un grand cinéaste comme Steven Soderbergh pour faire de cette histoire de maison hantée par une présence ésotérique mainte fois montrée au cinéma, un petit bijou d’ingéniosité et d’habileté. Une vraie réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sans grand effet, le dispositif permet d’installer un petit malaise, donnant la sensation d’un intrus qui observe par la fenêtre les arrivées, se cache dans un placard derrière une porte ajourée, ou s’approche de certains membres de la famille en restant debout, donnant ainsi d’étranges plans en plongée alors que par exemple la mère et son fils discutent sur un canapé.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
"Presence" se révèle passionnant lorsqu’il observe une famille américaine de la classe moyenne supérieure à la dérobée, ou par ses plans séquences dont la volonté est de susciter des réactions viscérales chez le spectateur, impuissant en lieu et place du fantôme [...] Toutefois, la dernière partie ne parvient plus à en masquer les effets.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
En voilà un sacré cas d’école de film tiraillé entre ce qu’il montre (la mise en scène de Steven Soderbergh, et cette belle idée de valse fantomatique) et ce qu’il raconte (le scénario bête et bateau de David Koepp). Résultat : déception et frustration.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le bât blesse, peut-être, lorsqu’au creux de la concordance parfaite des expérimentations visuelles et narratives, le scénario de Koepp doit raccrocher les wagons de son récit (prolongement de ses réflexions sur le quotidien du surnaturel – ni bien ni mal, mais simple autre monde ou après-monde) avec un twist sans grand intérêt. On est quand même emporté par cette proposition géniale, et par l’impression joyeuse de voir un auteur s’accomplir enfin pleinement (trois semaines de tournage dans son système direct de peinture-cinéma) dans le cadre qu’il a mis tant d’années à mettre au monde.
La caméra spectrale ne renouvelle pas grand-chose, mais applique un vernis moderniste sur une histoire bien essorée. La peur en est absente, car décentrée, et Soderbergh contraint d’appuyer sur les effets sonores comme sur les coupes arbitraires, pour instiller un peu d’incertitude. Une maison hantée a plus besoin d’ombre et de brume que de ce regard clinique et fouineur pour lequel rien ne demeure caché.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Une famille emménage dans une maison hantée... Filmé intégralement du point de vue de la “présence”, le nouveau Soderbergh peine à orchestrer le mariage de la carpe et du lapin : un scénario très (trop ?) classique et un dispositif (relativement) expérimental.
La vive tension découle également du scénario de David Koepp (auteur de L’Impasse, Snake Eyes ou Panic Room), qui multiplie les pistes thématiques et déploie un malicieux labyrinthe d’insécurités contemporaines. Au-delà du coup de maître esthétique, Presence tend au final un éprouvant et fascinant miroir à l’Amérique de 2025.
La critique complète est disponible sur le site Première
C’est de Steven Soderbergh dont il est question ici, passé maître dans l’art de se jouer de la forme et du fond. Usant (abusant ?) du grand-angle, sa caméra-présence peut dès lors se muer en témoin privilégié des fêlures et craquelures au sein de cette famille comme de ceux qui vont s’y frotter, quand elle ne va pas les creuser ou les provoquer. Angoissant, mais pas forcément au sens où on l’entend…
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
À l’opposé de toute inquiétude métaphysique, la caméra fantôme n’est qu’un prétexte pour déployer un regard omniscient, bien plus satirique que fantastique, qui sonde les rapports de force au sein de la famille.
Huis clos conceptuel, donc, écrit par le scénariste David Koepp (« Panic Room »), dont on se demande ce que Soderbergh cherche à faire. Une satire familiale ? Amusante. Un thriller surnaturel ? Raté. Un drame de la soumission chimique ? Un peu court.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si la mise en scène fascine, le film s’essouffle dans son dispositif formel. L’absence d’un véritable enjeu narratif réduit le fantôme à un simple observateur, relégué au second plan au profit d’un drame familial.
Presence est un drame familial original et distingué avec une pointe de surnaturel, mais il n'est à aucun moment la proposition de renouvellement du genre épouvante que laissait envisager (sciemment) sa bande-annonce. De là à parler d'escroquerie…
La critique complète est disponible sur le site Le Point
La grande idée de Soderbergh est de tout filmer en caméra subjective, à travers le regard de la « présence », entité invisible et inodore nichée dans tous les recoins de la maison ou dans les placards, à la fois menaçante et protectrice. (...) Le dispositif lasse rapidement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Elle
Juste terrifiant.
CinemaTeaser
Ce trouble, Steven Soderbergh l’accentue au fil du récit, à mesure que l’intrigue, centrée sur des thématiques très actuelles, déploie violence, cruauté et suspense malsain. Tout comme la présence s’insinue dans la perception de Chloe, Presence s’immisce en nous, redoutable machine à images et à sensations.
Diverto
Soderbergh est un génie de l’image suggérée. Talent qu’il applique à merveille dans son nouveau film, relecture formellement brillante du film de fantôme et du mythe de la maison hantée.
Filmsactu
Presence est une machine à sensations foudroyante. En choisissant de filmer du point de vue du fantôme en caméra subjective, Steven Soderbergh signe un film à la mélancolie poignante. Une belle réussite.
Franceinfo Culture
Dans ce huis clos – on ne sortira jamais de la maison – Steven Soderbergh fait peu à peu monter la tension jusqu'à l'épouvante, avec un scénario plein de surprises servi par une réalisation inventive.
Konbini
Soderbergh prouve qu’on peut avoir 35 ans de carrière, plus grand chose à prouver, mais continuer à innover et expérimenter son médium. Un tour de force, encore un, du maître, ni plus ni moins.
Le Journal du Dimanche
Une réflexion sur le deuil aussi belle que poignante.
Le Parisien
(...) une intrigue au départ obscure, mais qui prend ensuite une tournure insoupçonnée, devient subitement raccord avec l’actualité, avant de finir sur une conclusion aussi brutale que logique.
Les Inrockuptibles
Deux personnages discutent dans une pièce. Qui est ce troisième terme, également “présent”, et qui nous permet miraculeusement de les regarder ? Le processus d’enregistrement a-t-il un pouls ?
Libération
La question même de la mise en scène de cinéma en général, la tension au cœur du médium, devient le sujet d’un film, sous la forme de l’épouvante.
Mad Movies
"Presence" ne bascule jamais dans l'hyper-démonstration genresque et parvient malgré sa retenue à ménager de vrais moments de malaise en s'attachant, simplement, à l'auscultation des traumatismes et culpabilités d'un foyer en pleine implosion.
Ouest France
Un film-concept ultra-maîtrisé et haletant.
Paris Match
Concis - 1h25 -, exploitant à merveille son concept - un film de fantôme en caméra subjective -, « Presence » est un petit bijou de cinéma fantastique.
Transfuge
Avec ses faux airs de petit film laboratoire, "Presence" est un grand film sur les fissures intimes d'aujourd'hui et une réflexion ouverte sur la façon dont on pourra ces prochaines années les raconter afin de mieux les rendre visibles.
Télé 2 semaines
D'abord contemplatif, "Presence" se fait ensuite thriller redoutable à la brutalité éthérée.
Télérama
Une prouesse de cinéma et un film captivant.
aVoir-aLire.com
Il fallait un grand cinéaste comme Steven Soderbergh pour faire de cette histoire de maison hantée par une présence ésotérique mainte fois montrée au cinéma, un petit bijou d’ingéniosité et d’habileté. Une vraie réussite.
Abus de Ciné
Sans grand effet, le dispositif permet d’installer un petit malaise, donnant la sensation d’un intrus qui observe par la fenêtre les arrivées, se cache dans un placard derrière une porte ajourée, ou s’approche de certains membres de la famille en restant debout, donnant ainsi d’étranges plans en plongée alors que par exemple la mère et son fils discutent sur un canapé.
Critikat.com
Si Presence échoue à tenir son concept formel prometteur, il contient en creux un assez beau film, étrangement austère, sur les névroses adolescentes.
Culturopoing.com
"Presence" se révèle passionnant lorsqu’il observe une famille américaine de la classe moyenne supérieure à la dérobée, ou par ses plans séquences dont la volonté est de susciter des réactions viscérales chez le spectateur, impuissant en lieu et place du fantôme [...] Toutefois, la dernière partie ne parvient plus à en masquer les effets.
Ecran Large
En voilà un sacré cas d’école de film tiraillé entre ce qu’il montre (la mise en scène de Steven Soderbergh, et cette belle idée de valse fantomatique) et ce qu’il raconte (le scénario bête et bateau de David Koepp). Résultat : déception et frustration.
La Croix
Le cinéaste américain poursuit ses expérimentations cinématographiques avec un film d’épouvante à la réalisation originale mais au scénario décevant.
La Septième Obsession
Le bât blesse, peut-être, lorsqu’au creux de la concordance parfaite des expérimentations visuelles et narratives, le scénario de Koepp doit raccrocher les wagons de son récit (prolongement de ses réflexions sur le quotidien du surnaturel – ni bien ni mal, mais simple autre monde ou après-monde) avec un twist sans grand intérêt. On est quand même emporté par cette proposition géniale, et par l’impression joyeuse de voir un auteur s’accomplir enfin pleinement (trois semaines de tournage dans son système direct de peinture-cinéma) dans le cadre qu’il a mis tant d’années à mettre au monde.
Le Monde
La caméra spectrale ne renouvelle pas grand-chose, mais applique un vernis moderniste sur une histoire bien essorée. La peur en est absente, car décentrée, et Soderbergh contraint d’appuyer sur les effets sonores comme sur les coupes arbitraires, pour instiller un peu d’incertitude. Une maison hantée a plus besoin d’ombre et de brume que de ce regard clinique et fouineur pour lequel rien ne demeure caché.
Les Fiches du Cinéma
Une famille emménage dans une maison hantée... Filmé intégralement du point de vue de la “présence”, le nouveau Soderbergh peine à orchestrer le mariage de la carpe et du lapin : un scénario très (trop ?) classique et un dispositif (relativement) expérimental.
Première
La vive tension découle également du scénario de David Koepp (auteur de L’Impasse, Snake Eyes ou Panic Room), qui multiplie les pistes thématiques et déploie un malicieux labyrinthe d’insécurités contemporaines. Au-delà du coup de maître esthétique, Presence tend au final un éprouvant et fascinant miroir à l’Amérique de 2025.
Rolling Stone
C’est de Steven Soderbergh dont il est question ici, passé maître dans l’art de se jouer de la forme et du fond. Usant (abusant ?) du grand-angle, sa caméra-présence peut dès lors se muer en témoin privilégié des fêlures et craquelures au sein de cette famille comme de ceux qui vont s’y frotter, quand elle ne va pas les creuser ou les provoquer. Angoissant, mais pas forcément au sens où on l’entend…
Cahiers du Cinéma
À l’opposé de toute inquiétude métaphysique, la caméra fantôme n’est qu’un prétexte pour déployer un regard omniscient, bien plus satirique que fantastique, qui sonde les rapports de force au sein de la famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un huis clos où la maison elle-même semble respirer, témoin muet de la désagrégation des liens familiaux.
L'Obs
Huis clos conceptuel, donc, écrit par le scénariste David Koepp (« Panic Room »), dont on se demande ce que Soderbergh cherche à faire. Une satire familiale ? Amusante. Un thriller surnaturel ? Raté. Un drame de la soumission chimique ? Un peu court.
Le Dauphiné Libéré
Si la mise en scène fascine, le film s’essouffle dans son dispositif formel. L’absence d’un véritable enjeu narratif réduit le fantôme à un simple observateur, relégué au second plan au profit d’un drame familial.
Le Point
Presence est un drame familial original et distingué avec une pointe de surnaturel, mais il n'est à aucun moment la proposition de renouvellement du genre épouvante que laissait envisager (sciemment) sa bande-annonce. De là à parler d'escroquerie…
Le Figaro
La grande idée de Soderbergh est de tout filmer en caméra subjective, à travers le regard de la « présence », entité invisible et inodore nichée dans tous les recoins de la maison ou dans les placards, à la fois menaçante et protectrice. (...) Le dispositif lasse rapidement.