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Thriller quasiment en huis clos entre un camionneur et une auto-stoppeuse, 37 : l’ombre et la proie est suffisamment malin pour créer un suspense prenant.
"37 : l'ombre et la proie" nous mène par le bout du nez du début à la fin, avec une intrigue intelligente où les protagonistes, interprétés par des acteurs quasiment inconnus du grand public, parviennent à transmettre de belles émotions.
Aux commandes du film, qu’on peut situer au croisement de « Hitcher » et du « Duel » de Spielberg, un jeune réalisateur français, Arthur Môlard, qui gère parfaitement l’affrontement à huis clos dans la cabine du camion de Vincent, tout autant que les scènes d’action qui parsèment l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
“Sur la route, personne ne vous entend crier” pourrait être le sous-titre de ce premier film qui parvient à installer une ambiance tendue grâce à son rythme effréné, et où percent la culpabilité et les remords d’un routier confronté à ses actes.
Pour son premier long, Arthur Môlard s'adonne avec efficacité au thriller sur bitume [...]. Mais le plus sidérant réside dans le portrait de la tueuse.
Spirale de violence suggérée, manipulation et mensonges, suspense au cordeau, voilà un scénario très futé, qui esquive la facilité inhérente au genre et révèle un metteur en scène solide et inspiré qu’il faudra suivre.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Voici un bon « petit » thriller, petit dans ses moyens mais pas dans ses ambitions. Si 37 : l’ombre et la proie pâtit des défauts d’un premier film et de quelques approximations, il surprend très agréablement par l’habileté de son scénario et de sa caméra. Voyez-le tant qu’il est temps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L’écriture amalgame avec soin détails qui tuent, sursauts d’action et sous-texte politique dosé au poil, qui articule la rencontre (explosive) entre une classe laborieuse au bord de la précarité et le sous-prolétariat des migrants. Deux archétypes d’ordinaire circonscrits à la chronique sociale que le nouveau venu Arthur Môlard érige sans les dénaturer en héros de fiction : vraiment, ça n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
C’est un premier long-métrage, un thriller à concept qui possède bien des fêlures de jeunesse (n’est-ce pas aussi parce que l’on sait que c’est un premier film qu’on se permet ce genre de phrase ?), mais dont le charme finit par opérer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le premier film d'Arthur Môlard démontre chez lui une parfaite maîtrise de la tension et du suspense, d'autant que son actrice manie l'ambiguïté avec talent.
Alimenté par la rage sociale (sur le sort des migrants), le film cède parfois à des clichés mais reste efficace avec peu de moyens, réinventant une forme de série B, avec de jeunes acteurs inconnus et talentueux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Très malin et bien écrit, ce thriller social joue sur l’ambivalence du bien et du mal en la personne d’une charmante maman enceinte et un gentil chauffeur routier, qui brouillent avec ravissement les limites entre le bien et le mal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Parti comme un thriller psycho-routier, ce premier long-métrage se révèle vite un laborieux exercice de suspense à l’écriture scolaire tout droit sortie d’un manuel de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La douleur des migrants ne devient qu’un prétexte pour faire un film de genre. Une maladresse qui plombe ce « 37, l’ombre et la proie » également entaché d’un jeu d’acteurs plus qu’approximatif et de dialogues peu inspirés.
20 Minutes
Un scénario malin et riche en péripéties.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Thriller quasiment en huis clos entre un camionneur et une auto-stoppeuse, 37 : l’ombre et la proie est suffisamment malin pour créer un suspense prenant.
L'Ecran Fantastique
"37 : l'ombre et la proie" nous mène par le bout du nez du début à la fin, avec une intrigue intelligente où les protagonistes, interprétés par des acteurs quasiment inconnus du grand public, parviennent à transmettre de belles émotions.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller prenant.
Le Parisien
Aux commandes du film, qu’on peut situer au croisement de « Hitcher » et du « Duel » de Spielberg, un jeune réalisateur français, Arthur Môlard, qui gère parfaitement l’affrontement à huis clos dans la cabine du camion de Vincent, tout autant que les scènes d’action qui parsèment l’histoire.
Les Fiches du Cinéma
“Sur la route, personne ne vous entend crier” pourrait être le sous-titre de ce premier film qui parvient à installer une ambiance tendue grâce à son rythme effréné, et où percent la culpabilité et les remords d’un routier confronté à ses actes.
Mad Movies
Pour son premier long, Arthur Môlard s'adonne avec efficacité au thriller sur bitume [...]. Mais le plus sidérant réside dans le portrait de la tueuse.
CinemaTeaser
Solide et rondement mené, 37 pâtit simplement d’une caméra qui ne filme pas exactement ce qu’elle voudrait dire.
Diverto
Spirale de violence suggérée, manipulation et mensonges, suspense au cordeau, voilà un scénario très futé, qui esquive la facilité inhérente au genre et révèle un metteur en scène solide et inspiré qu’il faudra suivre.
Ecran Large
Voici un bon « petit » thriller, petit dans ses moyens mais pas dans ses ambitions. Si 37 : l’ombre et la proie pâtit des défauts d’un premier film et de quelques approximations, il surprend très agréablement par l’habileté de son scénario et de sa caméra. Voyez-le tant qu’il est temps.
L'Obs
L’écriture amalgame avec soin détails qui tuent, sursauts d’action et sous-texte politique dosé au poil, qui articule la rencontre (explosive) entre une classe laborieuse au bord de la précarité et le sous-prolétariat des migrants. Deux archétypes d’ordinaire circonscrits à la chronique sociale que le nouveau venu Arthur Môlard érige sans les dénaturer en héros de fiction : vraiment, ça n’est pas rien.
Le Journal du Dimanche
Le thriller, jalonné de flashbacks, repose sur un dispositif minimaliste mais redoutablement efficace, à la radicalité et au nihilisme assumés [...].
Libération
Après une première moitié suffocante et efficace, le thriller, où un camionneur paumé se trouve coincé avec une passagère, perd le rythme.
Première
C’est un premier long-métrage, un thriller à concept qui possède bien des fêlures de jeunesse (n’est-ce pas aussi parce que l’on sait que c’est un premier film qu’on se permet ce genre de phrase ?), mais dont le charme finit par opérer.
Télé 2 semaines
Le premier film d'Arthur Môlard démontre chez lui une parfaite maîtrise de la tension et du suspense, d'autant que son actrice manie l'ambiguïté avec talent.
Télérama
Alimenté par la rage sociale (sur le sort des migrants), le film cède parfois à des clichés mais reste efficace avec peu de moyens, réinventant une forme de série B, avec de jeunes acteurs inconnus et talentueux.
aVoir-aLire.com
Très malin et bien écrit, ce thriller social joue sur l’ambivalence du bien et du mal en la personne d’une charmante maman enceinte et un gentil chauffeur routier, qui brouillent avec ravissement les limites entre le bien et le mal.
Le Monde
Parti comme un thriller psycho-routier, ce premier long-métrage se révèle vite un laborieux exercice de suspense à l’écriture scolaire tout droit sortie d’un manuel de scénario.
Nice-Matin
La douleur des migrants ne devient qu’un prétexte pour faire un film de genre. Une maladresse qui plombe ce « 37, l’ombre et la proie » également entaché d’un jeu d’acteurs plus qu’approximatif et de dialogues peu inspirés.