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Les années passent et le cinéma d'animation de Jean-François Laguionie n'a rien perdu de sa délicatesse, ni de l'écriture de sa mélancolie. En témoigne ce film autobiographique dont le récit intime se voit sublimé par des traits poétiques, quasi organiques.
Le vétéran du cinéma d’animation signe un film émouvant où il évoque sa jeunesse dans les années 1950 et le projet délirant de son père : construire un bateau dans le jardin de son pavillon. Une des meilleures raisons de foncer dans les salles obscures en ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
De ce jardin tranquille s’élève une épopée : un hommage à l’imagination, au lien familial, au courage discret de ceux qui rêvent et construisent. Au bout du rêve, il y a toujours un horizon.
Ce dernier long métrage du vétéran de l’animation française Jean-François Laguionie est une évocation poétique de la relation avec son père, qui rêvait de construire la réplique d’un bateau mythique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Slocum et moi est un récit d'apprentissage dont on devine la dimension autobiographique, sobre comme l'est le trait de crayon, mais qui fait souffler quand il le faut le vent de l'aventure. À découvrir dès l'âge de 10 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Fin récit de passage à l'âge adulte, utilisant le chantier du bateau comme une parabole d’un jeune homme qui grandit en même temps, le film nous rend attachants deux personnages en manque de connexion, qui utilisent cet objet comme élément de collaboration, aidant aussi au dénouement de certains non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le dessin en 2D, minimaliste et lumineux, est idéal pour raconter l’après-guerre avec nostalgie, le désir d’évasion et de partir à l’aventure, avec une approche pleine de tendresse et de poésie.
Laguionie croque des silhouettes des années 1950, l’urbanisme d’après-guerre ou une guinguette avec des danseurs, s’inspirant de photos de Robert Doisneau (1912-1994), de films de Marcel Carné (1906-1996), de Julien Duvivier (1896-1967)…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La précision de son trait, la délicatesse de son dessin sont pour beaucoup dans le charme du film, qui rappelle un peu l’univers des photographies de Robert Doisneau ou les dessins de Sempé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Jean-François Laguionie met brillamment fin à sa carrière de réalisateur avec cet hommage animé à son père.
Le Figaro
Un magnifique récit autobiographique.
Les Echos
Délicat et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Les années passent et le cinéma d'animation de Jean-François Laguionie n'a rien perdu de sa délicatesse, ni de l'écriture de sa mélancolie. En témoigne ce film autobiographique dont le récit intime se voit sublimé par des traits poétiques, quasi organiques.
Marianne
Le vétéran du cinéma d’animation signe un film émouvant où il évoque sa jeunesse dans les années 1950 et le projet délirant de son père : construire un bateau dans le jardin de son pavillon. Une des meilleures raisons de foncer dans les salles obscures en ce début d’année.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De ce jardin tranquille s’élève une épopée : un hommage à l’imagination, au lien familial, au courage discret de ceux qui rêvent et construisent. Au bout du rêve, il y a toujours un horizon.
L'Obs
La magnifique composition graphique fait écho à la douce mélancolie de cette histoire.
La Croix
Ce dernier long métrage du vétéran de l’animation française Jean-François Laguionie est une évocation poétique de la relation avec son père, qui rêvait de construire la réplique d’un bateau mythique.
La Septième Obsession
Fragiles contrastes cristallisant par leur fugacité toute la poésie et l’émotion de cette quête utopique.
Le Parisien
Du point de vue graphique, c’est du pur Laguionie : des dessins crayonnés en 2D, des tons très doux, des paysages pastel… Merveilleux.
Le Point
Slocum et moi est un récit d'apprentissage dont on devine la dimension autobiographique, sobre comme l'est le trait de crayon, mais qui fait souffler quand il le faut le vent de l'aventure. À découvrir dès l'âge de 10 ans.
Ouest France
Une émouvante chronique familiale.
Première
A 85 ans, Laguionie reste au sommet.
Télérama
Un film d’animation autobiographique touchant, où Jean-François Laguionie “dessine” les rêves de son père avec une infinie délicatesse.
aVoir-aLire.com
Un bijou du cinéma d’animation, qui confirme la vitalité artisanale et artistique du vétéran Jean-François Laguionie.
Abus de Ciné
Fin récit de passage à l'âge adulte, utilisant le chantier du bateau comme une parabole d’un jeune homme qui grandit en même temps, le film nous rend attachants deux personnages en manque de connexion, qui utilisent cet objet comme élément de collaboration, aidant aussi au dénouement de certains non-dits.
Konbini
Techniquement impressionnant et très joli, narrativement un peu moins touchant qu'escompté.
Le Journal du Dimanche
Le dessin en 2D, minimaliste et lumineux, est idéal pour raconter l’après-guerre avec nostalgie, le désir d’évasion et de partir à l’aventure, avec une approche pleine de tendresse et de poésie.
Le Monde
Laguionie croque des silhouettes des années 1950, l’urbanisme d’après-guerre ou une guinguette avec des danseurs, s’inspirant de photos de Robert Doisneau (1912-1994), de films de Marcel Carné (1906-1996), de Julien Duvivier (1896-1967)…
Paris Match
La précision de son trait, la délicatesse de son dessin sont pour beaucoup dans le charme du film, qui rappelle un peu l’univers des photographies de Robert Doisneau ou les dessins de Sempé.