Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Peinture d’un réel à la fois brut et chorégraphié, au plus près des corps et des sensations, L’Île est une œuvre bouleversante sur la fugacité tragique du présent, dans laquelle il s’agit de retenir ce qui l’instant d’après aura déjà disparu.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Entre fiction et documentaire, Damien Manivel saisit une bande de jeunes gens à l’aube d’une séparation et poursuit son dialogue avec la danse. Les moyens du bord ont souvent des vertus créatrices.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
« L’Ile » pourrait virer à l’exercice théorique, mais cette circulation entre l’œuvre à composer et celle à finaliser offre un regard passionnant sur cette simple histoire d’adieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
L’ensemble forme un beau récit sensoriel et mélancolique qui s’intéresse à la fois au mouvement (Manivel est aussi danseur) à l’instant joliment ordinaire, voué à s’élever au rang de précieux souvenir, vécu par les protagonistes et au processus de fabrication de ce film conçu avec la complicité de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
C’est en revoyant les rushes que le producteur Martin Bertier a convaincu Damien Manivel qu’il y avait la possibilité d’un film. Le cinéaste a pris ses ciseaux pour tailler un récit fragmenté, enivrant, la voix off de Rosa guidant le spectateur dans les méandres de cette soirée arrosée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
De la trame minimaliste d’une scène pivot du coming of age, qui saisit les derniers feux de l’adolescence à l’orée de l’âge adulte, Damien Manivel tire une matière profuse où l’hésitation se noue à la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Rosa et ses copains composent des adieux déchirants qui se regardent faire, ce que le film prend à bras le corps, sans réserve : en somme, tout le petit monde de L’Île (personnages et équipe du film) croit à l’émotion qu’il se raconte, restant un peu clos sur lui-même.
Libération
par Camille Nevers
La ténuité est partout, et il y a une part irritante et fascinante à la fois dans ce «ténu poétique» que Manivel (le Parc, les Enfants d’Isadora…) maintient à tout prix. S’il tire sur la corde d’un dispositif qui se tue à se répéter, le dépit qu’on sent poindre est aussi consigné dans le film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Un film de tournage très original, qui suit les répétitions de jeunes acteurs, puis leur passage derrière la caméra, le temps d’un été.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
En 2022, Damien Manivel a réuni en Bretagne sept ados pour répéter un film traitant du basculement à l’âge adulte, le temps d’une dernière soirée d’été avant que la vie ne les éloigne. Ce projet prévu sous la forme d’un plan séquence n’a jamais vu le jour. Mais il a eu la belle idée de transformer ces répétitions en film qui épouse, plus qu’une pure fiction, le bouillonnement de cet âge combiné à celui de ses jeunes comédiens avides de création.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette fiction trop légère, et trop grisée par la force et la fragilité des liens adolescents, se révèle un ovni attachant, où la danse et la chorégraphie des corps prennent une belle place.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Entre fiction et documentaire, le film de Manivel exerce un réel charme. Ce portrait instantané d’une jeunesse évoque les univers de Renoir ou Rozier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
Peinture d’un réel à la fois brut et chorégraphié, au plus près des corps et des sensations, L’Île est une œuvre bouleversante sur la fugacité tragique du présent, dans laquelle il s’agit de retenir ce qui l’instant d’après aura déjà disparu.
L'Humanité
Entre fiction et documentaire, Damien Manivel saisit une bande de jeunes gens à l’aube d’une séparation et poursuit son dialogue avec la danse. Les moyens du bord ont souvent des vertus créatrices.
L'Obs
« L’Ile » pourrait virer à l’exercice théorique, mais cette circulation entre l’œuvre à composer et celle à finaliser offre un regard passionnant sur cette simple histoire d’adieux.
Le Journal du Dimanche
L’ensemble forme un beau récit sensoriel et mélancolique qui s’intéresse à la fois au mouvement (Manivel est aussi danseur) à l’instant joliment ordinaire, voué à s’élever au rang de précieux souvenir, vécu par les protagonistes et au processus de fabrication de ce film conçu avec la complicité de ses interprètes.
Le Monde
C’est en revoyant les rushes que le producteur Martin Bertier a convaincu Damien Manivel qu’il y avait la possibilité d’un film. Le cinéaste a pris ses ciseaux pour tailler un récit fragmenté, enivrant, la voix off de Rosa guidant le spectateur dans les méandres de cette soirée arrosée.
Les Inrockuptibles
De la trame minimaliste d’une scène pivot du coming of age, qui saisit les derniers feux de l’adolescence à l’orée de l’âge adulte, Damien Manivel tire une matière profuse où l’hésitation se noue à la grâce.
Cahiers du Cinéma
Rosa et ses copains composent des adieux déchirants qui se regardent faire, ce que le film prend à bras le corps, sans réserve : en somme, tout le petit monde de L’Île (personnages et équipe du film) croit à l’émotion qu’il se raconte, restant un peu clos sur lui-même.
Libération
La ténuité est partout, et il y a une part irritante et fascinante à la fois dans ce «ténu poétique» que Manivel (le Parc, les Enfants d’Isadora…) maintient à tout prix. S’il tire sur la corde d’un dispositif qui se tue à se répéter, le dépit qu’on sent poindre est aussi consigné dans le film.
Paris Match
Un film de tournage très original, qui suit les répétitions de jeunes acteurs, puis leur passage derrière la caméra, le temps d’un été.
Première
En 2022, Damien Manivel a réuni en Bretagne sept ados pour répéter un film traitant du basculement à l’âge adulte, le temps d’une dernière soirée d’été avant que la vie ne les éloigne. Ce projet prévu sous la forme d’un plan séquence n’a jamais vu le jour. Mais il a eu la belle idée de transformer ces répétitions en film qui épouse, plus qu’une pure fiction, le bouillonnement de cet âge combiné à celui de ses jeunes comédiens avides de création.
Télérama
Cette fiction trop légère, et trop grisée par la force et la fragilité des liens adolescents, se révèle un ovni attachant, où la danse et la chorégraphie des corps prennent une belle place.
aVoir-aLire.com
Entre fiction et documentaire, le film de Manivel exerce un réel charme. Ce portrait instantané d’une jeunesse évoque les univers de Renoir ou Rozier.