Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Par sa manière tranquille de faire entendre la colère et la désillusion sans jamais céder au catastrophisme, et sa troublante attention aux signes d’un désastre ici presque invisible, La Rivière est autrement plus convaincant.
Libération
par Luc Chessel
Dominique Marchais (après "le Temps des grâces", "la Ligne de partage des eaux" et "Nul homme n’est une île") invente des façons de regarder son insaisissable sujet, par l’intermédiaire du regard de ceux qui, à leurs façons précises, l’observent et s’en occupent. Elles correspondent aux formes potentielles, successives, d’un cinéma radicalement écologique [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Valentine Guégan
La richesse de La Rivière tient à sa manière de parcourir librement un territoire tout en témoignant d’une rigueur dans son observation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Avec ces explorations sur le terrain, entrecoupées de majestueux et généreux panoramiques sur ces cours d’eau encore un peu sauvages, Dominique Marchais s’affirme comme le chef de file du documentaire écologique en France.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par X. L.
En donnant la parole aux pêcheurs, scientifiques, militants écologistes, Dominique Marchais souligne la gravité du sujet tout en ouvrant quelques brèches d’optimisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans un documentaire sensible, Dominique Marchais traque derrière la beauté d’une nature originelle les changements invisibles qui menacent son écosystème.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
Dominique Marchais part à la recherche de l’invisible, filme les gestes d’experts prélevant des indices sous la surface (de l’eau, des sols), et c’est dans l’infrapaysage qu’opère cette œuvre en eau douce et radicale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Dans les gaves du Béarn, Dominique Marchais filme ceux qui œuvrent pour la préservation d’un écosystème menacé. Ce nouveau documentaire de l’auteur du Temps des grâces dresse un constat terrible - mais porte un regard amoureux - sur ces cours d’eau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Grâce à la parole des êtres humains qui vivent et travaillent sur ou dans ces rivières, il décrit la destruction d’un paysage, sans jamais juger ni condamner personne – même si la puissance de certains lobbys est dénoncée, comme celui de l’hydro-électricité, de la pêche intensive ou de l’agriculture du maïs dans l’estuaire de l’Adour. “La Rivière” est un très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Serge Kaganski
"La Rivière" ne sauvera pas le monde du réchauffement climatique mais nourrit le débat en cours de la meilleure des manières possibles pour un cinéaste : par l'écoute des gens et l'observation attentive et modeste du monde plutôt que par les mots d'ordre.
Télérama
par Jérémie Couston
Le documentariste Dominique Marchais suit avec sensibilité des Béarnais qui luttent, souvent seuls, pour contenir l’assèchement de leurs torrents et protéger la biodiversité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La Rédaction
Un film engagé mais desservi par sa forme trop scolaire.
Première
par Thomas Baurez
Récompensé d’un bien généreux Prix Jean Vigo tant la mise en scène apparaît bien trop sage, La Rivière enchaîne le témoignage d’esprits éclairés et éclairants, pas franchement optimistes sur notre avenir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Par sa manière tranquille de faire entendre la colère et la désillusion sans jamais céder au catastrophisme, et sa troublante attention aux signes d’un désastre ici presque invisible, La Rivière est autrement plus convaincant.
Libération
Dominique Marchais (après "le Temps des grâces", "la Ligne de partage des eaux" et "Nul homme n’est une île") invente des façons de regarder son insaisissable sujet, par l’intermédiaire du regard de ceux qui, à leurs façons précises, l’observent et s’en occupent. Elles correspondent aux formes potentielles, successives, d’un cinéma radicalement écologique [...].
Critikat.com
La richesse de La Rivière tient à sa manière de parcourir librement un territoire tout en témoignant d’une rigueur dans son observation.
L'Humanité
Avec ces explorations sur le terrain, entrecoupées de majestueux et généreux panoramiques sur ces cours d’eau encore un peu sauvages, Dominique Marchais s’affirme comme le chef de file du documentaire écologique en France.
L'Obs
En donnant la parole aux pêcheurs, scientifiques, militants écologistes, Dominique Marchais souligne la gravité du sujet tout en ouvrant quelques brèches d’optimisme.
La Croix
Dans un documentaire sensible, Dominique Marchais traque derrière la beauté d’une nature originelle les changements invisibles qui menacent son écosystème.
Le Monde
Dominique Marchais part à la recherche de l’invisible, filme les gestes d’experts prélevant des indices sous la surface (de l’eau, des sols), et c’est dans l’infrapaysage qu’opère cette œuvre en eau douce et radicale.
Les Fiches du Cinéma
Dans les gaves du Béarn, Dominique Marchais filme ceux qui œuvrent pour la préservation d’un écosystème menacé. Ce nouveau documentaire de l’auteur du Temps des grâces dresse un constat terrible - mais porte un regard amoureux - sur ces cours d’eau.
Les Inrockuptibles
Grâce à la parole des êtres humains qui vivent et travaillent sur ou dans ces rivières, il décrit la destruction d’un paysage, sans jamais juger ni condamner personne – même si la puissance de certains lobbys est dénoncée, comme celui de l’hydro-électricité, de la pêche intensive ou de l’agriculture du maïs dans l’estuaire de l’Adour. “La Rivière” est un très beau film.
Transfuge
"La Rivière" ne sauvera pas le monde du réchauffement climatique mais nourrit le débat en cours de la meilleure des manières possibles pour un cinéaste : par l'écoute des gens et l'observation attentive et modeste du monde plutôt que par les mots d'ordre.
Télérama
Le documentariste Dominique Marchais suit avec sensibilité des Béarnais qui luttent, souvent seuls, pour contenir l’assèchement de leurs torrents et protéger la biodiversité.
Ouest France
Un film engagé mais desservi par sa forme trop scolaire.
Première
Récompensé d’un bien généreux Prix Jean Vigo tant la mise en scène apparaît bien trop sage, La Rivière enchaîne le témoignage d’esprits éclairés et éclairants, pas franchement optimistes sur notre avenir.