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PASCAL C
8 abonnés
165 critiques
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3,5
Publiée le 11 juillet 2024
Film de boucherie le scénario est suffisamment bien ficelé, bien filmé pour nous garder éveillé durant le récit de cette histoire très très classique. Les décors sont somptueux, peut être un Elyas 2 ?
Une réalisation intéressante, une intrigue assez séduisante sans trop de longueur mais le tout est bien entaché par des dialogues clichés à mooooooort…
Roschdy Zem est bien seul au monde, les acteurs principaux qui l’entourent sont pas convaincant du tout.
Elyas (Roschdy Zem) était chuteur opérationnel dans les forces spéciales. Revenu à la vie civile après une mission éprouvante en Afghanistan, il n’a pas récupéré des traumatismes qu’il y a subis et souffre désormais d’une sévère paranoïa. Un ancien compagnon d’armes (Dimitri Storoge) lui propose un contrat a priori sans risques : servir de garde du corps à un riche prince moyen-oriental, accompagné de sa femme et de sa fille. Mais cette mission va se révéler plus périlleuse que prévu.
Depuis "Nid de guêpes" (2001), on connaît le cinéma testostéroné de Florent-Emilio Siri. Il louche du côté des films d’action américains. Il met en scène des héros charismatiques et raconte des histoires hyper-violentes de braquages qui tournent mal ou de sanglantes prises d’otage. On ne pourra pas reprocher au distributeur de nous avoir menti sur la marchandise. "Elyas" nous donne ce qu’il nous promet : du sang, de la sueur et des larmes. Ici l’histoire improbable spoiler: d’une gamine de treize ans, a priori effrontée et mal élevée mais au final si attachante, que son père, un riche émir a décidé de marier contre son gré à un vieux barbon et qu’une bête de guerre va prendre sous sa coupe façon Léon.
Roschdy Zem chausse le costume cravate du rôle titre, sans oublier les Ray Ban et le PAMAS G1. Il est peut-être l’un des acteurs les plus populaires et les plus respectés du cinéma français. Je n’ai jamais ni lu ni entendu la moindre critique négative à son sujet. Pourtant, on se demande ce qu’il vient faire dans cette série B. Sans doute avait-il, lui aussi, des impôts à payer. À près de soixante ans, même s’il conserve une forme impeccable, il a une bonne dizaine d’années de trop pour le rôle. On dirait Liam Neeson dans "Taken" 1, 2 ou 3. Et ce n’est pas un compliment !
Quelques invraisemblances,sinon encore un rôle sur mesure pour l'exellent Roschy Zem, mais bon tout lui va il peu tout jouer ,ça castagne à tout va mention aux cascadeurs pour le reste chacun se fera sa propre idée
Si le début du film est poussif, ce dernier prend son élan à compter de la sortie du château. Les scènes d’action s’enchaînent, le scénario se dessine, les différents personnages et oppositions apparaissent. Rochdy Zem convaincant en ancien soldat traumatisé, son rôle ressemblant à celui de « Léon » et sa protection d’une jeune adolescente. Le rythme est soutenu et on ne s’ennuie pas. Toutefois beaucoup d’invraisemblances, de scènes exagérées, d’une histoire assez basique. Divertissant et c’est déjà pas mal….
Dans la lignée de Braqueurs ou Balle perdue, ce film aurait fait un carton sur une plate-forme. Malgré la présence de Roschdy Zem, rien de nouveau dans le genre.
Elyas est en très grande partie un film d'action. Mais ça n'empêche pas d'être surpris par quelques scènes d'émotion.
J'avais adoré le travail du réalisateur/ scénariste, Florent Emilio Siri dans Cloclo. Ici, on retrouve des efforts sur les courses poursuites et certains plans séquences qui essayent de mettre le spectateur en immersion totale. C'est sans doute ce point très louable qui fait qu'il n'y ait aucun temps mort à mon sens. Encore une preuve que le cinéma français tient aussi la route.
Qui de mieux que Roschdy Zem pour incarner cette sorte de Transporteur à la Française ? Il arrive toujours aussi brillement à faire ressortir la personnalité de son personnage. Quitte à en faire douter le spectateur parfois comme le veut le scénario. Bon ok, c'est parce que je l'apprécie beaucoup mais sur une scène j'ai eu vraiment mal pour lui 😞🤣. La complicité avec la fille qu'il doit protéger est évidente. Jeanne Michel n'en fait pas des tonnes malgré son âge.
A noter aussi la musique signée d'Alexandre Desplat.
En revanche, le - de 12 ans est justifié pour les âmes sensibles.
Et pour ceux qui iront le voir, conseil d'amis : ne partez pas trop vite au générique (j'en connais qui se lèvent avant que les lumières ne se rallument, d'où mon conseil mais 🤫)
Elyas revient de combattre en Afghanistan et souffre d'un syndrome post-traumatique. On lui propose un boulot de vigile chez une famille en provenance du Moyen-Orient. Seulement, les choses vont vite dégénérer et le plonger dans un tourbillon de violence. Les amateurs seront ravis de voir Roschdy Zem en pleine forme, maniant les armes et les voitures avec dextérité. Pour ma part, j'ai trouvé ce film sans réel fil conducteur, s'apparentant plus à une série B avec un air dérangeant de déjà-vu. Heureusement que Roschdy Zem, en tueur mutique, fait le job. Pas trop ma came ce genre de thriller à l'américaine.
Ça commence comme un honnête thriller d'action avec des idées intéressantes et un Roschdy Zem plutôt solide dans sa prestation, mais ça finit en ersatz ridicule de film d'action, mix entre John Wick et John Rambo... La mise en scène n'impressionne pas, le scénario improbable et l'interprétation amateure, la Palme revient à la gamine insupportable, achève l'ensemble.
Une série B d'action convaincante grâce à des scènes sèches et brutales qui donnent une atmosphère tendue réussie au film. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/07/elyas-de-florent-emilio-siri.html
Un mini Tekken made in France qui n'est pas dénué d'intérêt. Cela change des rôles que Roschdy Zem à habituellement et faut pas le mettre en colère sinon cela castagne dur. J'ai bien aimé le fait qu'ayant des troubles mentaux, on ne sait pas s'il invente ce qu'il voit ou si c'est réel au départ et des scènes nous mettent le doute. Après on peut trouver des choses à redire sur certains passages mais bon dans l'ensemble c'est pas mal. NOTE : 6/10
Ah le mauvais film ! Ni fait, ni à faire! Alors bon il y a de la castagne à tous les étages, des situations improbables, le héros supérieur à Superman, oui mais c’est quoi cet imbroglio de méchants , de barbouzes , sans compter ce poinçon que le héros fait cliqueter à chaque seconde dans la main. Il paraît que c’est un un ancien militaire traumatisé en Afghanistan qui se refait la cerise en étant vigile chez un prince arabe pas vraiment clair. Alors il protège une gamine du prince et sulfate à tire larigo style Buce Willis en plus tarte. Au bout d’un moment comme on est paume on attend la baston en se disant au moins on va rigoler. Mais même la castagne est usante.
Roschdy fait son Liam Neeson en défonçant les tronches de tout ce qui bouge autour de lui et en zigouillant à tout va. Et ça passe plutôt bien! Excessif et ultra violent comme le veut désormais le genre castagne à gogo, "Elyas" se fraye un chemin honorable grâce à une histoire relativement bien menée et un casting plutôt réussi, mention spéciale à la révélation Jeanne Michel.