Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CNews
par La rédaction
Film d’action absolument captivant de bout en bout, Elyas touche également à des thèmes plus large, comme la solitude, le syndrome post-traumatique et la rédemption. Roschdy Zem est magnétique dans le rôle principal.
La critique complète est disponible sur le site CNews
GQ
par Adam Sanchez
Avec ce film d'action hanté et sous influences, à mi-chemin entre le cinéma d'action des années 70 et les introspections tourmentées de l'œuvre de Paul Schrader, Roschdy Zem prouve qu'il peut encore être un acteur crédible dans l'action, prendre des coups et les rendre (il a d'ailleurs fait ses cascades pour l'occasion).
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par O.D.
Efficace et sans temps mort, Elyas s'impose comme un film de réactivation, celle d'un soldat en sommeil, une sorte de John Wick à la française, moins ironique et plus tendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Ce thriller ambitieux, qui évoque Man on Fire(2004), de Tony Scott, est un régal grâce à sa mise en scène nerveuse, brutale et à l’os qui remplit allègrement son cahier des charges avec ses courses-poursuites, ses fusillades, ses cascades et ses explosions.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Florent-Emilio Siri multiplie les séquences d’action, dont un plan séquence époustouflant dans une caravane, et un final pétaradant digne d’un Mission : Impossible, livrant un thriller aussi musclé que spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La rédaction
Un genre de Taken à la française avec anciens barbouzes et mitrailleurs en tous genres.
Paris Match
par Christophe Carrière
Elyas devrait plaire à tout le monde. On peut même parier qu’on assiste à la naissance d’une nouvelle licence de film d’action.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Y.J.
Ce thriller d'action français au scénario bien ficelé se pose en digne héritier de Taken. Convaincant, Roschdy Zem surprend dans ce registre physique.
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un thriller de haute volée, réalisé par un des patrons français du genre, porté par un Roschdy Zem exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Une série B d’action qui souffre de grosses lourdeurs, mais profite de dérapages bourrins remarquables. Espérons qu’il ouvre une brèche et que Roschdy Zem se précipite dedans.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Isabelle Danel
Ça pétarade à tout-va, et, oui, le spectacle est là. On regrette juste que le film ne vise pas plus haut qu’une copie bien menée de tout ce que le cinéma d’action asiatique et américain nous propose ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par La rédaction
Flingue en main, à la fois implacable malgré les fragilités qu'il porte en lui, il dynamite cette histoire menée à un train d'enfer, ponctuée de scènes d'action intenses et de suspense qui nous rappellent Taken avec Liam Neeson.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Gilles Esposito
En montrant un nouveau visage de Roschdy Zem, ce film impose un anti-héros toujours à la limite de partir en vrille, et aboutit ainsi à un cocktail à la fois anxiogène et détonnant dont on espère qu'il ravivera la flamme du cinéma d'action français.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Le scénario peine à nous convaincre, outré jusqu'à l'invraisemblance. On s'attache néanmoins au personnage d'Elyas, grâce à la prestation de Roschdy Zem, qui tire malgré tout son épingle du jeu en incarnant avec sensibilité ce rôle de super-héros invincible, mais brisé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Télé 7 Jours
par J.B.
Niveau crédibilité, avec son charisme béton, l'acteur n'a rien à envier aux cadors de genre : le Tranporteur, Rambo ou le héros d'Equalizer. Las, autour de lui, c'est beaucoup moins solide.
Première
par Sylvestre Picard
Il n'y a pas grand-chose à sauver (...) dans cet Elyas limite nanar qui ressemble plus à du Neeson en fin de deuxième carrière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Yohan Haddad
Calqué trop sagement sur la saga John Wick, cette production bas du front enchaîne les scènes de baston mal chorégraphiées pour masquer la pauvreté de son récit. Pour ne rien arranger, chaque personnage est associé à un cliché ambulant (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Film d’action absolument captivant de bout en bout, Elyas touche également à des thèmes plus large, comme la solitude, le syndrome post-traumatique et la rédemption. Roschdy Zem est magnétique dans le rôle principal.
GQ
Avec ce film d'action hanté et sous influences, à mi-chemin entre le cinéma d'action des années 70 et les introspections tourmentées de l'œuvre de Paul Schrader, Roschdy Zem prouve qu'il peut encore être un acteur crédible dans l'action, prendre des coups et les rendre (il a d'ailleurs fait ses cascades pour l'occasion).
Le Figaro
Efficace et sans temps mort, Elyas s'impose comme un film de réactivation, celle d'un soldat en sommeil, une sorte de John Wick à la française, moins ironique et plus tendre.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller ambitieux, qui évoque Man on Fire(2004), de Tony Scott, est un régal grâce à sa mise en scène nerveuse, brutale et à l’os qui remplit allègrement son cahier des charges avec ses courses-poursuites, ses fusillades, ses cascades et ses explosions.
Le Parisien
Florent-Emilio Siri multiplie les séquences d’action, dont un plan séquence époustouflant dans une caravane, et un final pétaradant digne d’un Mission : Impossible, livrant un thriller aussi musclé que spectaculaire.
Ouest France
Un genre de Taken à la française avec anciens barbouzes et mitrailleurs en tous genres.
Paris Match
Elyas devrait plaire à tout le monde. On peut même parier qu’on assiste à la naissance d’une nouvelle licence de film d’action.
Télé Loisirs
Ce thriller d'action français au scénario bien ficelé se pose en digne héritier de Taken. Convaincant, Roschdy Zem surprend dans ce registre physique.
aVoir-aLire.com
Un thriller de haute volée, réalisé par un des patrons français du genre, porté par un Roschdy Zem exemplaire.
Ecran Large
Une série B d’action qui souffre de grosses lourdeurs, mais profite de dérapages bourrins remarquables. Espérons qu’il ouvre une brèche et que Roschdy Zem se précipite dedans.
L'Obs
Ça pétarade à tout-va, et, oui, le spectacle est là. On regrette juste que le film ne vise pas plus haut qu’une copie bien menée de tout ce que le cinéma d’action asiatique et américain nous propose ces dernières années.
Le Point
Flingue en main, à la fois implacable malgré les fragilités qu'il porte en lui, il dynamite cette histoire menée à un train d'enfer, ponctuée de scènes d'action intenses et de suspense qui nous rappellent Taken avec Liam Neeson.
Mad Movies
En montrant un nouveau visage de Roschdy Zem, ce film impose un anti-héros toujours à la limite de partir en vrille, et aboutit ainsi à un cocktail à la fois anxiogène et détonnant dont on espère qu'il ravivera la flamme du cinéma d'action français.
Franceinfo Culture
Le scénario peine à nous convaincre, outré jusqu'à l'invraisemblance. On s'attache néanmoins au personnage d'Elyas, grâce à la prestation de Roschdy Zem, qui tire malgré tout son épingle du jeu en incarnant avec sensibilité ce rôle de super-héros invincible, mais brisé.
Télé 7 Jours
Niveau crédibilité, avec son charisme béton, l'acteur n'a rien à envier aux cadors de genre : le Tranporteur, Rambo ou le héros d'Equalizer. Las, autour de lui, c'est beaucoup moins solide.
Première
Il n'y a pas grand-chose à sauver (...) dans cet Elyas limite nanar qui ressemble plus à du Neeson en fin de deuxième carrière.
Télérama
Calqué trop sagement sur la saga John Wick, cette production bas du front enchaîne les scènes de baston mal chorégraphiées pour masquer la pauvreté de son récit. Pour ne rien arranger, chaque personnage est associé à un cliché ambulant (...).