Après le décevant Wahou ! je n’avais pas une grande attente pour ce film. Finalement j’ai été sous le charme de bout en bout, le rythme des gags est soutenu, les personnages attachants (mentions spéciales au capitaine et au mousse du bateau), et il y a de bout en bout ce charme particulier des films des frères Podalydès que l’on aime tant. Bravo !
Une comédie loufoque et un peu poétique, dans laquelle Denis Podalydès et sa bande incarne un groupe de potes à la ramasse et endettés qui tentent d'arnaquer un homme d'affaire. Tout est improbable et cousu de fil blanc, mais cette croisière dans les canaux nous abreuve de paysages bucoliques et de quelques gags qui fonctionnent. Sympathique mais oubliable.
Ce nouvel opus est très sympathique. Il en rappelle un précédent, Comme un avion, en plus burlesque mais moins poétique. Les personnages auraient gagné à être approfondis, mais cela n’empêche pas de ressortir avec la banane.
Jolie petite croisière sur les canaux de France ! Une bande d'amis tente par tous les moyens de taxer un riche investisseur en la personne de Daniel Auteuil.
Vu en avant première à l’UGC Les Halles, ce film bien sympathique est distrayant et j’ai pris plaisir à suivre cette joyeuse troupe dans ses aventures fluviales
Pas passionnant. Ça n’a pas du faire se poiler Bourvil et De Funès dans l’au-delà. Vu en avant première à Nice. Les comiques ont disparu du paysage français peut-être.
20 minutes de comique de boulevard, puis la répétition du paysage et des situations; peut-être se sont-ils amusés. Nous peu. Sandrine et Denis s'en sortent par leurs qualités intrinsèques d'acteurs.
Vu en avant première. Ce film est une très belle surprise. Dans un cadre simple et reposant, le long fleuve tranquille, vont se succéder des dialogues et scènes où les belles réparties croisent des gestuelles et moments d'humour savoureux à déguster sans modération. Un film positif et des acteurs drôles et touchants tour à tour. Un film français qui sort de l'ordinaire en toute quiétude, rythme qui réussit particulièrement à Bruno Podalydes qui nous laisse le temps.. de savourer.. A voir, Didier