Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
CNews
par Chloé Ronchin
Ce film choral est surtout une ode poignante à la vie et à l’amour. À travers toutes ces trajectoires de vies, basées sur des histoires réelles, il montre à quel point il faut du courage pour vivre, et ce, sans jamais basculer dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La rédaction
La qualité de la distribution nous embarque facilement dans ce récit en forme de mosaïque, à la fois grave et léger, parfois très drôle. Un vrai bonbon, dans le genre dragée au poivre.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
De ces vies croisées, faussement banales, certaines puisées dans son quotidien, elle fait un film choral plein de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Après un début bancal, Paradis Paris parvient à faire vivre sa troupe, grâce à un humour noir savoureux et à la belle écriture de chaque protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Public
par Sarah Lévy-Laithier
On craque pour ce film drôle et touchant, conçu à la manière d'une mosaïque qui tourne le tragique en ridicule.
Télé 2 semaines
par A.A.B.
Un long métrage aussi drôle que touchant, à découvrir l'esprit et le cœur ouverts.
Télé Loisirs
par Alexandra Ayo Barro
Un film vecteur d'espoir, aussi drôle que touchant, à découvrir l'esprit et le cœur ouverts.
Voici
par La rédaction
Comme elle l'avait fait avec son génial Persepolis, Marjane Satrapi aborde ici des sujets délicats avec humour et tendresse, pour une ode touchante et réjouissante à la vie.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Paradis Paris est à, l'image de sa réalisatrice, entier et amusant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
La vie est une symphonie tragicomique dans la dernière réalisation de Marjane Satrapi.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Marjane Satrapi joue d’un casting cinq étoiles, mais s’éparpille dans trop de personnages. Brillant, Paradis Paris pèche par excès, tout en déclarant une belle flamme à la ville lumière.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les amateurs de cinéma bien ordonné rechigneront à se lancer dans ce jeu de l’oie parisien. Mais les rêveurs, les débonnaires et les hédonistes tomberont amoureux de ce puzzle facétieux et mélancolique, emporté par une joyeuse troupe d’actrices et d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Critique La dessinatrice et réalisatrice signe une comédie chorale avec la mort pour fil rouge. Un puzzle qui se révèle une joyeuse ode à la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Dans un savoureux dosage d’humour noir et de gravité, Monica Bellucci se délecte à jouer la star privée de son talent, de sa voix et de l’adulation du public, qui ne parvient plus à se reconnaître, même dans le reflet de son miroir.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Tous les personnages s'agitent sous une épée Damoclès, à Paris, dans une succession de sketchs inégaux aux allures de BD animée.
Paris Match
par C.C.
La tonalité mélancolique, voire sombre, des situations est systématiquement désamorcé par un humour savoureux et une philosophie pétrie d’espoir et de sagesse. Ça fait du bien.
Positif
par Fabien Baumann
Il ne se passe pas grand-chose à l’écran : plein cadre, dans de jolis décors, de sages comédiens récitent les élégants dialogues qu'elle leur a conçus, quand ce Paradis Paris prétend croiser le destin féroce de quelques Parisiens soumis aux hasards de la mort et de l’amour.
Télérama
par Guillemette Odicino
Foutraque, avec des baisses de régime, mais de vraies envolées lyriques et féminines, ce Paradis Paris pas morose impose, malgré tout, la vitalité capitale de Marjane Satrapi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Dans ce film à sketches où les différents personnages se croisent parfois, Marjane Satrapi parle de l’amour, de la vie, de la mort, de tellement de choses qu’on ne comprend pas vraiment le message qu’elle veut passer. Une chronique décousue malgré l’énergie d’un casting alléchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Lucie Chiquer
Une certaine mélancolie se dégage de ces destins qui se croisent sans jamais converger, mais rapidement, Paris Paradis patine et s’embourbe dans son trop-plein de personnages. En résulte un film qui, en voulant trop en montrer, ne raconte finalement plus grand-chose, excepté le gentillet propos de la mort qui redonne goût à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par J.B.
Entre philosophie de comptoir et pure farce, Marjane Satrapi ne signe pas la comédie à sketchs espérée, que ses comédiens peinent à faire vivre.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Marjane Satrapi s’essaye à plusieurs registres dans ce film choral bancal qui s’essouffle assez vite, malgré des intentions louables et de bons acteurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
[…] ainsi, dans Paradis Paris, la vie et la mort passent au filtre d’une esthétique, d’une morale et d’un humour télévisuels gangrenés par les situations et les phrases toutes faites.
Le Figaro
par O.D.
Tous ces destins auraient dû se croiser, s’entrecroiser pour tresser une tapisserie d’une belle humanité. Las, les fils s’emmêlent vite pour former une grosse pelote informe, voire indigeste. Où est donc passée la ligne claire, limpide de Persépolis ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
La pléiade d’actrices et d’acteurs est bloquée dans un registre outrancier de pastille télévisuelle, et les saynètes prennent un temps fou à délivrer le message qu’on voit pourtant arriver de loin : Paris est beau, vivons avant de mourir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Grégory Plouviez
Le remède à tout : continuer de vivre, semble déclamer avec une naïveté confondante la réalisatrice Marjane Satrapi qui s’efforce de faire preuve de fantaisie, mais ne réussit qu’à provoquer un large ennui – voire une bonne dose d’embarras – tant ses scènes flirtent avec le grotesque. Malgré un casting cinq étoiles, rien ne scintille.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
L’humour tombe toujours à côté de la plaque dans Paradis Paris, la faute à un trop fort décalage entre l’horreur que vivent les personnages et la mièvrerie surabondante qui pointe par la résolution de leurs arcs respectifs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
Ce film choral est surtout une ode poignante à la vie et à l’amour. À travers toutes ces trajectoires de vies, basées sur des histoires réelles, il montre à quel point il faut du courage pour vivre, et ce, sans jamais basculer dans le pathos.
Femme Actuelle
La qualité de la distribution nous embarque facilement dans ce récit en forme de mosaïque, à la fois grave et léger, parfois très drôle. Un vrai bonbon, dans le genre dragée au poivre.
Le Point
De ces vies croisées, faussement banales, certaines puisées dans son quotidien, elle fait un film choral plein de fantaisie.
Les Fiches du Cinéma
Après un début bancal, Paradis Paris parvient à faire vivre sa troupe, grâce à un humour noir savoureux et à la belle écriture de chaque protagoniste.
Public
On craque pour ce film drôle et touchant, conçu à la manière d'une mosaïque qui tourne le tragique en ridicule.
Télé 2 semaines
Un long métrage aussi drôle que touchant, à découvrir l'esprit et le cœur ouverts.
Télé Loisirs
Un film vecteur d'espoir, aussi drôle que touchant, à découvrir l'esprit et le cœur ouverts.
Voici
Comme elle l'avait fait avec son génial Persepolis, Marjane Satrapi aborde ici des sujets délicats avec humour et tendresse, pour une ode touchante et réjouissante à la vie.
CinemaTeaser
Paradis Paris est à, l'image de sa réalisatrice, entier et amusant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La vie est une symphonie tragicomique dans la dernière réalisation de Marjane Satrapi.
Franceinfo Culture
Marjane Satrapi joue d’un casting cinq étoiles, mais s’éparpille dans trop de personnages. Brillant, Paradis Paris pèche par excès, tout en déclarant une belle flamme à la ville lumière.
L'Obs
Les amateurs de cinéma bien ordonné rechigneront à se lancer dans ce jeu de l’oie parisien. Mais les rêveurs, les débonnaires et les hédonistes tomberont amoureux de ce puzzle facétieux et mélancolique, emporté par une joyeuse troupe d’actrices et d’acteurs.
La Croix
Critique La dessinatrice et réalisatrice signe une comédie chorale avec la mort pour fil rouge. Un puzzle qui se révèle une joyeuse ode à la vie.
Le Dauphiné Libéré
Dans un savoureux dosage d’humour noir et de gravité, Monica Bellucci se délecte à jouer la star privée de son talent, de sa voix et de l’adulation du public, qui ne parvient plus à se reconnaître, même dans le reflet de son miroir.
Ouest France
Tous les personnages s'agitent sous une épée Damoclès, à Paris, dans une succession de sketchs inégaux aux allures de BD animée.
Paris Match
La tonalité mélancolique, voire sombre, des situations est systématiquement désamorcé par un humour savoureux et une philosophie pétrie d’espoir et de sagesse. Ça fait du bien.
Positif
Il ne se passe pas grand-chose à l’écran : plein cadre, dans de jolis décors, de sages comédiens récitent les élégants dialogues qu'elle leur a conçus, quand ce Paradis Paris prétend croiser le destin féroce de quelques Parisiens soumis aux hasards de la mort et de l’amour.
Télérama
Foutraque, avec des baisses de régime, mais de vraies envolées lyriques et féminines, ce Paradis Paris pas morose impose, malgré tout, la vitalité capitale de Marjane Satrapi.
Le Journal du Dimanche
Dans ce film à sketches où les différents personnages se croisent parfois, Marjane Satrapi parle de l’amour, de la vie, de la mort, de tellement de choses qu’on ne comprend pas vraiment le message qu’elle veut passer. Une chronique décousue malgré l’énergie d’un casting alléchant.
Première
Une certaine mélancolie se dégage de ces destins qui se croisent sans jamais converger, mais rapidement, Paris Paradis patine et s’embourbe dans son trop-plein de personnages. En résulte un film qui, en voulant trop en montrer, ne raconte finalement plus grand-chose, excepté le gentillet propos de la mort qui redonne goût à la vie.
Télé 7 Jours
Entre philosophie de comptoir et pure farce, Marjane Satrapi ne signe pas la comédie à sketchs espérée, que ses comédiens peinent à faire vivre.
aVoir-aLire.com
Marjane Satrapi s’essaye à plusieurs registres dans ce film choral bancal qui s’essouffle assez vite, malgré des intentions louables et de bons acteurs.
Cahiers du Cinéma
[…] ainsi, dans Paradis Paris, la vie et la mort passent au filtre d’une esthétique, d’une morale et d’un humour télévisuels gangrenés par les situations et les phrases toutes faites.
Le Figaro
Tous ces destins auraient dû se croiser, s’entrecroiser pour tresser une tapisserie d’une belle humanité. Las, les fils s’emmêlent vite pour former une grosse pelote informe, voire indigeste. Où est donc passée la ligne claire, limpide de Persépolis ?
Le Monde
La pléiade d’actrices et d’acteurs est bloquée dans un registre outrancier de pastille télévisuelle, et les saynètes prennent un temps fou à délivrer le message qu’on voit pourtant arriver de loin : Paris est beau, vivons avant de mourir.
Le Parisien
Le remède à tout : continuer de vivre, semble déclamer avec une naïveté confondante la réalisatrice Marjane Satrapi qui s’efforce de faire preuve de fantaisie, mais ne réussit qu’à provoquer un large ennui – voire une bonne dose d’embarras – tant ses scènes flirtent avec le grotesque. Malgré un casting cinq étoiles, rien ne scintille.
Les Inrockuptibles
L’humour tombe toujours à côté de la plaque dans Paradis Paris, la faute à un trop fort décalage entre l’horreur que vivent les personnages et la mièvrerie surabondante qui pointe par la résolution de leurs arcs respectifs.