Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
C’est ce sentiment d’oppression se diluant parfois dans l’exaltation fugace d’un sentiment de résistance - lire Lolita ! - que les actrices Golshifteh Farahani et Zar Amir transmettent sans jamais surjouer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La force libératrice de la littérature s’inscrit au cœur d’une sororité qui est ce qu’Eran Riklis filme le mieux, davantage que le contexte politique, arrière-plan trop flou.
Malgré une réalisation un peu ronronnante, "Lire Lolita à Téhéran", porté par la grâce et l'engagement de l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, et par le casting brillant des femmes qui l'entourent, est un hymne à la puissance libératrice et salvatrice de la littérature, et des mots.
Le film sait subtilement montrer les mille nuances de la lutte, entre courage, désespoir et survie, de celles qui choisissent comme une évidence la résistance à travers l'art et la littérature.
Les luttes d’Azar Nafisi et des jeunes filles qui furent ses élèves, au lendemain d’une révolution aux promesses brisées, affirment une vérité intemporelle : la trame sans fin de la terreur des mollahs.
Ce film bouleversant célèbre le pouvoir libérateur de la littérature à travers les réunions secrètes d’un club de femmes au pays des Mollahs, dans les années 1980-90.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Sur le pouvoir de l’art à libérer les rêves, Eran Riklis trousse un film fort, porté avec conviction par deux actrices iraniennes exilées, Golshifteh Farahani et Zar Amir Ebrahimi.
Le film montre la brutalité du pouvoir islamiste tout en offrant de beaux moments de sororité entre ces femmes. Les actrices Mina Kavani, Zar Amir Ebrahimi et Raha Rahbari, toutes exilées, sont très justes, emportées par Golshifteh Farahani, bouleversante. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
En adaptant au cinéma le best-seller d’Azar Nafisi « Lire Lolita à Téhéran », le réalisateur Eran Riklis relève le défi de conter une histoire iranienne et universelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Malgré un manque de personnalité dans une mise en scène tantôt démonstratrice, tantôt elliptique, on s’incline devant l’incarnation de ces femmes asphyxiées, violentées. Et bouleversantes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Tourné en Italie avec uniquement des acteurs et actrices iraniens – dont les formidables Zar Amir Ebrahimi et Mina Kavani –, une exigence du réalisateur israélien Eran Riklis, le film, aux couleurs et détails très soigneusement pensés, résonne terriblement avec le mouvement Femmes, vie, liberté, initié par la mort en 2022 de Mahsa Amini aux mains de la police des mœurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La mise en scène en retrait se contente de bien illustrer cette thématique, quitte à déboucher sur un film scolaire qui, contrairement à ce que laisse penser la présence de « Lolita » dans le titre, ne joue pas la carte de la provocation. L’adaptation a néanmoins le mérite de bien étaler les faits et de valoriser le combat de cette intellectuelle rebelle, déterminée à faire valoir – et à transmettre – ses idées.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Réalisée par Eran Riklis (Les Citronniers), cette reconstitution du Téhéran des années 80 et 90 n’atteint certes pas la profondeur narrative d’un grand film sur l’Iran contemporain comme Les Graines du figuier sauvage, mais les compositions de Golshifteh Farahani, Zar Amir Ebrahimi et leurs partenaires réussissent à transmettre le sentiment de révolte nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Scolaire dans son déroulé, cette adaptation didactique a toutefois le mérite de bien étaler les problématiques et de s’appuyer sur le jeu de sa formidable comédienne, parfaite en intellectuelle rebelle, déterminée à transmettre ses idées.
Une adaptation honnête de l'ouvrage d'Azar Nafisi, d'une troublante actualité à la sortie du film, et portée par l'interprétation grandiose de Golshifteh Farahani.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On devine derrière la retenue de la mise en scène l’intention louable de l’Israélien Eran Riklis de figurer la perniciosité rampante du régime ; désespérément scolaire, elle contraint le film qui tient par ses actrices, dont Golshifteh Farahani et Zar Amir Ebrahimi, toutes des Iraniennes exilées, et par son écho au mouvement Femme, Vie, Liberté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mis au service d’une cause qui ne souffre guère de doute, ce melting-pot filmique peine toutefois à dépasser le stade illustratif d’une dénonciation vertueuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
« Lire Lolita à Téhéran » est un film important par son sujet. Mais la forme est très convenue et plate. On s’attend à tout dans ce « Cercle des poètes disparus » à Téhéran, tellement théorique qu’il en devient ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro
C’est ce sentiment d’oppression se diluant parfois dans l’exaltation fugace d’un sentiment de résistance - lire Lolita ! - que les actrices Golshifteh Farahani et Zar Amir transmettent sans jamais surjouer.
Closer
Une ode à la magie de l'art et au courage des opprimées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La force libératrice de la littérature s’inscrit au cœur d’une sororité qui est ce qu’Eran Riklis filme le mieux, davantage que le contexte politique, arrière-plan trop flou.
Franceinfo Culture
Malgré une réalisation un peu ronronnante, "Lire Lolita à Téhéran", porté par la grâce et l'engagement de l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, et par le casting brillant des femmes qui l'entourent, est un hymne à la puissance libératrice et salvatrice de la littérature, et des mots.
La Tribune Dimanche
Le film sait subtilement montrer les mille nuances de la lutte, entre courage, désespoir et survie, de celles qui choisissent comme une évidence la résistance à travers l'art et la littérature.
Le Dauphiné Libéré
Les luttes d’Azar Nafisi et des jeunes filles qui furent ses élèves, au lendemain d’une révolution aux promesses brisées, affirment une vérité intemporelle : la trame sans fin de la terreur des mollahs.
Le Point
Une ode à la liberté et un très beau portrait d'intellectuelle en révolte grâce à une Golshifteh Farahani d'une intensité bouleversante.
Les Echos
Une reconstitution soignée, qui évoque étrangement notre propre époque, portée par un magistral trio d'actrices exilées.
Ouest France
Ce film bouleversant célèbre le pouvoir libérateur de la littérature à travers les réunions secrètes d’un club de femmes au pays des Mollahs, dans les années 1980-90.
Positif
Malgré sa mise en scène très classique, "Lire Lolita à Téhéran" est un film absolument bouleversant.
Télé 7 Jours
"La lecture est une amitié." Ce beau film, inspiré du roman d'Azar Nafisi, semble avoir fait sienne cette réflexion de Marcel Proust.
Télé Loisirs
Sur le pouvoir de l’art à libérer les rêves, Eran Riklis trousse un film fort, porté avec conviction par deux actrices iraniennes exilées, Golshifteh Farahani et Zar Amir Ebrahimi.
Version Femina
Le film montre la brutalité du pouvoir islamiste tout en offrant de beaux moments de sororité entre ces femmes. Les actrices Mina Kavani, Zar Amir Ebrahimi et Raha Rahbari, toutes exilées, sont très justes, emportées par Golshifteh Farahani, bouleversante. A voir.
Voici
Une histoire vraie saisissante.
La Croix
En adaptant au cinéma le best-seller d’Azar Nafisi « Lire Lolita à Téhéran », le réalisateur Eran Riklis relève le défi de conter une histoire iranienne et universelle.
La Voix du Nord
Malgré un manque de personnalité dans une mise en scène tantôt démonstratrice, tantôt elliptique, on s’incline devant l’incarnation de ces femmes asphyxiées, violentées. Et bouleversantes.
Libération
Tourné en Italie avec uniquement des acteurs et actrices iraniens – dont les formidables Zar Amir Ebrahimi et Mina Kavani –, une exigence du réalisateur israélien Eran Riklis, le film, aux couleurs et détails très soigneusement pensés, résonne terriblement avec le mouvement Femmes, vie, liberté, initié par la mort en 2022 de Mahsa Amini aux mains de la police des mœurs.
Nice-Matin
La mise en scène en retrait se contente de bien illustrer cette thématique, quitte à déboucher sur un film scolaire qui, contrairement à ce que laisse penser la présence de « Lolita » dans le titre, ne joue pas la carte de la provocation. L’adaptation a néanmoins le mérite de bien étaler les faits et de valoriser le combat de cette intellectuelle rebelle, déterminée à faire valoir – et à transmettre – ses idées.
Première
Réalisée par Eran Riklis (Les Citronniers), cette reconstitution du Téhéran des années 80 et 90 n’atteint certes pas la profondeur narrative d’un grand film sur l’Iran contemporain comme Les Graines du figuier sauvage, mais les compositions de Golshifteh Farahani, Zar Amir Ebrahimi et leurs partenaires réussissent à transmettre le sentiment de révolte nécessaire.
Sud Ouest
Scolaire dans son déroulé, cette adaptation didactique a toutefois le mérite de bien étaler les problématiques et de s’appuyer sur le jeu de sa formidable comédienne, parfaite en intellectuelle rebelle, déterminée à transmettre ses idées.
Télérama
Adaptation classique mais émouvante du récit autobiographique d’Azar Nafisi.
aVoir-aLire.com
Une adaptation honnête de l'ouvrage d'Azar Nafisi, d'une troublante actualité à la sortie du film, et portée par l'interprétation grandiose de Golshifteh Farahani.
L'Obs
On devine derrière la retenue de la mise en scène l’intention louable de l’Israélien Eran Riklis de figurer la perniciosité rampante du régime ; désespérément scolaire, elle contraint le film qui tient par ses actrices, dont Golshifteh Farahani et Zar Amir Ebrahimi, toutes des Iraniennes exilées, et par son écho au mouvement Femme, Vie, Liberté.
Le Monde
Mis au service d’une cause qui ne souffre guère de doute, ce melting-pot filmique peine toutefois à dépasser le stade illustratif d’une dénonciation vertueuse.
Le Parisien
« Lire Lolita à Téhéran » est un film important par son sujet. Mais la forme est très convenue et plate. On s’attend à tout dans ce « Cercle des poètes disparus » à Téhéran, tellement théorique qu’il en devient ennuyeux.