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gizmo129
96 abonnés
1 520 critiques
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2,5
Publiée le 19 juin 2022
Après avoir été maltraité 3 films durant, le grand requin blanc décide de prendre sa revanche et de poursuivre à travers le globe la famille Brody. Oui, avec ce script, on sait qu'on est face à un nanar qui n'a plus rien à voir avec la première version de Spielberg. Néanmoins ce quatrième volet reste meilleur que le troisième épisode dans le parc aquatique, cela grâce à des personnages plus intéressant et des rapports humains mieux construits. Bien sur, rien n'est crédible ici et le requin est particulièrement affreux et mal fait. A voir comme un nanar.
Le genre de suite bien inutile, réalisée à des fins commerciales. N'apporte rien à la série. Une réalisation baclée, des effets spéciaux inopérents. Des acteurs qui font le minimum:
Dernier volet (espérons-le) de la saga initiée par Steven Spielberg, les Dents de la Mer 4 : La Revanche est aussi mauvais que le film ne le suggère. Le titre du film n'est pas une blague et malheureusement, l'intrigue tourne réellement autour d'un requin qui semble obsédé par le fait de tuer les membres de la famille Brody. A partir de là, il faut être honnête et il n'y a pas grand chose à sauver. On comprend que Roy Scheider ait fui ce film. Le scénario est risible, les acteurs au mieux potables (Michael Caine est certainement le seul point positif de ce film), les effets spéciaux n'ont rien de vraiment intéressant à proposer. La bande originale (ou plutôt l'exploitation du thème du requin de John Williams) reste séduisante. Conclusion de la descente aux abîmes de la franchise (le 1er était un chef-d'oeuvre, le 2ème un film mal inspiré mais passable, le 3ème un mauvais film et ce 4ème film est un nanar), on peut au moins se réjouir que cette saga prenne fin.
Après un troisième opus consternant, incapable d’incarner à l’écran le générosité de son dispositif pourtant attractif (un parc aqualudique), Jaws: The Revenge s’écarte de toute démesure pour resserrer sa chasse au requin sur le personnage d’Ellen Brody, veuve et bientôt mère endeuillée d’un de ses fils. La tonalité est volontiers mélodramatique, avec ces plans très bien composés qui saisissent la femme au second plan dos à la caméra, le regard tourné vers le large, alors que nous nous situons à l’intérieur de la maison ; Joseph Sargent diffuse un sentiment de nostalgie profonde, explicitée par des flashbacks inutiles faisant revenir les fantômes des films précédents, mais témoigne en cela d’un respect à l’égard de l’œuvre originale et surtout d’une vision singulière du mythe construit, entre autres, par Peter Benchley et Steven Spielberg. L’idée de transformer la traque en malédiction familiale apporte une gravité de ton et évite le discours psychologisant relatif aux traumatismes d’une mère et de son fils ; il révèle également une lucidité sur la place de cet épisode dans une saga qui allait decrescendo, variation autour du coup de maître initial que le studio Universal a transformé en licence lucrative. Notons enfin que la dernière demi-heure accélère le rythme de façon convaincante, avec des apparitions dynamisées par le montage, par les quelques (rares) animations du requin ainsi que par la partition de Michael Small.
Certaines personnes sont totalement réfractaires aux suites et décident de les enfoncer avant même la sortie. Jaws 4, en référence à son auguste ainé, s’est vu qualifier de candidat au ”pire film de l’histoire du cinéma”.
Jaws : The Revenge ne mérite peut-être pas de faire partie de cette sacrée catégorie, mais n’échoue pas si loin, tant le film est odieusement pénible et nul. La réalisation est catastrophique, rien n’est réussi et ce n’est pas faute d’essayer (au moins) pour Joseph Sargent. Le scénario est risible. Très risible. Essayez de lire sans rire le synopsis du film : il y a vraiment une liaison paranormale entre Lorraine Gary et le requin, ce qui est totalement lamentable. Les acteurs, d’ailleurs sont horrifiants. Entre une Lorraine Gary irritante, un Lance Guest d’une fadeur fantomatique et surtout un Mario van Peebles ridicule avec son accent bahamien insupportable, le film ne mérite que le mépris que les producteurs ont porté à cette production. Un peu de rigueur aurait évité ces scènes d’action lamentables, ces rebondissements idiots et cet ennui mortel. On ne pourrait sauver que Michael Caine, toujours impeccable, et une musique qui utilise bien la partition originale de John Williams afin d’en créer une variation efficace.
Jaws : The Revenge aura permis à Michael Caine de s’acheter une belle maison. C’est le seul bien que ce film a apporté à l’humanité. Seulement pour les acharnés obsessionnels qui veulent voir la saga Jaws jusqu’au bout.
Après le peu de succès rencontré par le troisième opus, les producteurs se lancent quand même le défi de réaliser une suite qui serait, espérons-le, la dernière. Pourtant, si on regarde les critiques générales, cette énième suite est considérée comme une grosse mauvaise blague car elle fut autant huée que le trois. On sent la volonté du réalisateur de ce rapprocher du lieu des deux premiers films : la ville d'Amity. Bien que je ne reconnaisse aucuns lieux, c'est bien elle. C'est dans cette ville que le squale blanc a déjà frappé par deux fois, comme on le dit jamais deux sans trois, et c'est cette fois-ci l'un des fils de Brody qui se fait manger tout cru par le requin. Le film tourne en rond du début à la fin. Roy Scheider, héros des deux premiers opus, a préféré ne pas coller son nom aux deux derniers films de la saga, et il a eut raison. L'histoire n'avance presque pas, on ce contente de balancer des explications bidons. Ainsi on apprend que Brody est mort à cause de sa peur (sans doute pour ne pas dire qu'il n'a pas voulut reprendre son rôle dans cette suite), on apprend aussi que le requin agit par revanche (d'où le titre). Bien entendu, on peine à croire à ces deux explications bidons qui nous sont données pour essayer de garnir le scénario qui reste néanmoins vide. Au final, on s'ennuie pendant tout le film, et ce n'est pas des meurtres aussi sanglants que brouillons qui vont nous faire apprécier le film. D'ailleurs, le film comporte une scène finale des plus minable de la saga. On se demande ce qu'il ce passe lors de l'affrontement final, mais on est content car le film est terminé. Concernant les acteurs, on retrouve Lorraine Gary, déjà présente dans les deux premiers opus. Elle campe le rôle de la femme de Brody qui, cette fois-ci, va se battre contre le requin. On peut d'ors et déjà dire qu'il ne ce passe quasiment rien entre elle et le requin, elle fait mine d'être en colère, mais ce n'est en aucuns cas crédibles. La présence de Michael Caine (Batman Begins, The Dark Knight) dans le film peut faire un choc, sauf que son rôle n'est, lui aussi, en aucuns cas crédible, ni même intéressant. En clair, le casting est foiré en toute part. Les musiques sont, à quelques exceptions près, les mêmes que celles de John Williams. Même si les morceaux sont de très bonnes qualités, on ne peut que pointer du doigt le manque de prise de risque en changeant de musiques. Terminé les effets très spéciaux de l'opus précédent, on revient à la vulgaire marionnette et plastique.
Autant l'épisode 3 enfonçait la saga dans la nullité, autant cet ultime affrontement creuse la tombe jusqu'à la piètre épave de bateau. Pas originale, pas très bien exploitée, jamais intéressante, à des encablures des deux premiers opus. Il n'y a rien à sauver d'une telle suite, pas même les meurtres qui ne sont pas inspirés du tout. Un ratage aussi mémorable que l'opus précédent !
Bon... voilà c'est fait... vu... Non sérieusement, il était grand temps que cette saga s'arrête là car on commence vraiment à toucher le fond, tant au niveau de la crédibilité que de la mise en scène, sans compter une interprétation globale qui prête vraiment à sourire. Michael Caine devait avoir besoin de cash à l'époque, je ne vois guère d'autre raison à sa présence dans ce film. Il y a quand même une sacrée marge entre cette énième mouture et le film initial de Spielberg. Cela étant, comme le disait Marty: "le requin a toujours l'air aussi faux!". Un film inutile et mal fichu, qui aurait mieux fait de ne pas se prendre au sérieux.
Alors là on touche carrément le fond (sans jeux de mots). Il n’y a pas d'histoire du tout. Le requin fait plus faux que dans les deux premiers volets alors que nous sommes en 1987 tout de même. Bon et puis vous avez déjà vu un requin qui ne souhaite manger que du Brody. Non moi qui adorais cette série là je tombe de haut. Les acteurs, peu inspirés et un réalisateur paresseux, ne peuvent sauver ce film du désastre.
On a coutûme de faire dans la surenchère lorsqu'on écrit des suites : plus de violence, plus d'action, plus de scènes chocs... Il n'en est rien avec ce Jaws 4, qui nage complètement à contre-courant. Le rythme, le suspense, l'horreur, tout a baissé ici. Un comble, le requin n'apparait que deux fois (dont une fois en rêve dans une piscine!) Difficile de faire plus inutile.
Bon alors là, Michael Caine ne sauve malheureusement pas le film. Il est certes un poil plus gore que le second volet, mais alors le scénario (le requin qui se venge) et le contexte du film sont tout simplement catastrophiques. Alors oui je suis un fan absolu de Jaws, je remate encore ce film aujourd'hui, mais faut avouer que cet épisode est naze.
Même si le film vaut peut être mieux que le troisième opus, ce Dent de la mer 4 déçoit constament, par son requin plus mal fait que jamais : on dirait qu'il a bu!Le film essaie de faire peur, c'est raté. Less acteurs, peu inspirés et un réalisateur paresseux, ne peuvent sauver ce film du désastre. Le bateau coule, et le requin n'est plus le seul coupable! Seuls les Bahamas et la musique bien conservée peuvent séduire les fans endurcis de la saga!
LA version de trop : scénario décousu, musique au rabais, interprétation non soignée, ... On se demande ce que Michael Caine (Le limier, Pulsions, Batman Begins, ...) vient faire là-dedans. Avis aux amateurs de non-frissons !!!
mon dieu seigneur son les premier mots qui me vienne a l'esprit lol jais perdu 90 minutes de ma vie pour ca arfffff un navet mais alors mauvais a un point et qui a écrit le scenario que je le frappe le requin retrouve la famille brody a des millier de kilomètres ? mais qui lui donne a chaque fois l'adresse de la famille brody qui est le complice du requin bon la je m’égare bref fuyez ce film comme la peste et au choix attrapé plutôt la peste