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Un visiteur
1,0
Publiée le 22 juillet 2012
Un poil "meilleur" que le précédent puisque ce quatrième opus est centré sur la famille du chef de la police, Martin Brody, le personnage principal des deux premiers opus, sans ça c'est toujours aussi nul !
Grotesque au possible, cet opus d'une inutilité flagrante constitue un piètre film, même pas drôle au second degré tellement on s'ennuie devant l'action, les dialogues, et les incohérences, notamment le fameux requin blanc qui suit la famille pour se venger. De toute façon, il suffit de lire le titre, "Jaws 4 : the revenge", pour comprendre qu'on sombre dans le raté et le pathétique comme on en fait plus.
Le requin n'a pas de chance, dès qu'il s'approche de la rive et qu'il a un peu faim, l'homme l'attaque ! Il devrait comprendre à la fin que l'homme est un animal dangereux ! Encore plus pitoyable que pitoyable !
Le requin a l'air encore plus faux que dans les précédent et le scénario est débile (un requin qui suit la famille broody sur des milliers de kilomètres)!!!
Mais bon, ce film a le mérite de m'avoir fait bien rigoler la première fois que je l'ai vu!!!
Les scènes les plus comiques: la première victime (qui se fait arracher un bras et qui n'a pas l'air d'avoir mal), et le noir qui se fait manger par le requin et qui ressort de l'eau presque indemne en criant: "hé! t as pas une minute?"
Je lui mets tout de même une étoile car j'ai bien rigolé :D
« Les Dents de la mer » premier du nom atteint sans problème l’excellence, la saga , elle, offre une diminution qualitative croissante. Si le deuxième opus parvenait à rester correcte, le troisième affichait déjà une profonde médiocrité. Pourtant appât du gain oblige, un quatrième épisode fut commandé, la réalisation étant confié à Joseph Sargent, habituellement tourné vers le petit écran. Et cela se voit car l’aspect formelle est un cuisant échec, proche de ces téléfilm de jours fériés diffusés en milieu d’après midi. Jamais, Joseph Sargent ne parviendra à crée la moindre tensions. Embetant car il s'agit d'un objectif clairement revendiqué qui en plus correspond à la vocation meme de la saga, toute considérations financières écartées. Au mieux de l’angoisse qu'avait su suciter le premier opus, c’est un sentiment de consternation général qui apparaitra. Mais le pire n’est peut pas cette platitude formelle. En effet, rarement le fond d’un film aura été aussi mauvais. Le scénario surement écrit en un laps de temps ultra-court, se noie dans une profonde absurdité. Le Happy-end sonnera alors comme le coup de mâchoire final du désastre. (Il est utile de rappeler qu’on veut nous faire avaler qu’un Grand Blanc poursuit une famille…) Constat qu’une interprétation mauvaise n’arrangera pas. A croire que toucher le fond ne suffisait pas, « Jaw, the Revenche » creuse toujours plus profond. C'est évident, il y a plus qu’un Océans entre le film de Spielberg et celui de Sargent. Indigeste.
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1,0
Publiée le 10 septembre 2024
La rancune envers la famille Brody peut amener le grand requin blanc à se venger. "Jaws : The Revenge" dèboule sur les ècrans en 1987 et le fan de la franchise ne s'en est toujours pas remis! C'est du vrai nanar divertissant, sans aucune autre ambition que de satisfaire les aficionados que le genre intèresse! Le scènario est tellement invraisemblable que ça en devient drôle! En vrac : Lorraine Gary qui refuse de se laisser envoûter par une obsession mais qui continue à vouloir s'installer en bord de plage ; le requin assoiffè de vengeance qui met le cap sur les Bahamas pour dècimer la famille Brody ; un aileron de requin motorisè qui ne fait pas un pet à l'ècran ; un requin qui se dèplace de traviole...Bref, le carcharodon carcharias est bien fatiguè et n'effraye plus personne si ce n'est la jeune Judith Barsi disparue tragiquement l'annèe suivante! Qui a dit que le bonheur rèsidait aux Bahamas ? Ça ne serait pas Michael Caine des fois ?
La balançoire au bout du ponton c’est le pompon du manège pour le requin !!! Il fait des tours de manège et hop de temps il croque celui ou celle qui se balance!!! Ce sera d’ailleurs la bonne idée de scénario que le réalisateur ne va pas retenir au profit de longues discussions autour de la table ou de vols en avion aux Bahamas… C’est plutôt consternant.
Même si il abandonne les horribles effets 3D de l’épisode précédent et qu’il ose faire mourir un personnage important de la saga pour lancer son récit, ce quatrième chapitre est grotesque. Qui a pu croire que cette idée absurde de requin vengeur pouvait fonctionner ? D’autant plus qu’il n’a jamais été aussi peu effrayant.
Mais quelle m.rde que ce film, sacré nom d'une flûte péruvienne tricolore en mousse ! Je me demande encore ce qu'il y à de plus pitoyable dans ce film... le scénario ? Le titre (une revanche ? Mais de qui ?) ? La fin, où on voit un personnage se faire méchamment boulotter par le requin pour finir par revenir, en forme, indemne, quelques minutes plus tard ? Les effets spéciaux ? La réalisation ? On me chuchote dans l'oreillette qu'en fait, ce qu'il y à de pire ici, c'est "tout". Oui, OK. Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de regarder ce film ? Heureusement que je ne l'ai pas acheté, tiens. Car il existe en DVD, on peut l'acheter. L'ACHETER.
C'est un film sorti dans les années 80. C'est un film uniquement commercial. Il n'y a rien de nouveau au niveau technique et au niveau du scénario. Il a rapporté néanmoins 25 millions de dollars a ses producteurs. Maintenant, tous les acteurs et actrices sont à la retraite. La fille du film, elle, va décédée plusieurs années plus tard, à l'âge de dix ans, triste sort.