The Childe: Le Film Qui Déchire sa Mère!
C’est comme un paquet de chips, tu ouvres, tu commences à picorer, et avant même de t’en rendre compte, tu as tout bouffé et c’est foutrement bon. Kim Seon-ho, ce gars-là, c’est la cerise sur le gâteau, le piment dans la sauce, le ninja dans le placard à balais. Au début, tu te dis "tiens, c’est qui celui-là?" puis il débarque, et paf! Il t’éclate la rétine avec son charisme, son humour et ses techniques de combat qui te feraient presque croire qu’il a bouffé une potion de super-soldat. Pendant ce temps-là, l’autre, Kang Tae-ju, il ressemble plus à un panneau de signalisation qu’à un personnage principal. Il est là, il prend de la place, mais tu te demandes toujours s’il sert vraiment à quelque chose.
Alors ouais, niveau action, c’est comme un concert de heavy metal dans ta face. Tu veux de l’adrénaline? Tu vas en avoir, mon pote. Mais bon, tu cherches pas non plus une thèse sur la physique quantique dans ce film, hein. C’est pas le genre de la maison. On est plus dans le "boom-boom-pow" que dans le "philosophico-intellectuel". Si tu veux te prendre une claque artistique, va mater "2001: l'Odyssée de l'Espace". Ici, c’est plutôt "2001: l'Odyssée du bourrinage".
Y'a des moments, tu te dis "Mais putain, c’est pas possible, comment ils ont fait ça?!" Les exécutions des informateurs, mec, c’est comme une danse de la mort orchestrée par des artistes du carnage. Et le troisième acte, c’est le feu d’artifice final dans le grand bordel céleste du cinéma d’action. Tu clignes des yeux, tu loupes un truc, et bam! T’as l’impression d’avoir raté un épisode de ta propre vie.
Alors là, mon pote, accroche-toi bien. Le scénario, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Ou plutôt, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, dans une écurie, dans un champs rempli de foin. Ça part dans tous les sens, ça te laisse un peu paumé, mais bon, t’es là pour le spectacle, pas pour réviser ton bac de littérature.
Le clou du spectacle, c’est la fin. Tu crois que tout est fini, que t’as vu le dernier tour de magie, mais non! Ils te sortent le lapin du chapeau, le coup de poker final. C’est comme une gifle douce après une baston violente, ça te laisse avec un sourire con sur le visage et une envie de dire "Encore! Encore!"
Alors voilà, "The Childe", c’est pas le film qui va te faire réfléchir sur le sens de la vie ou sur la condition humaine. Mais bordel, c’est le film qui va te secouer les tripes, te faire jubiler comme un gosse devant un feu d’artifice, et te laisser avec une putain d’envie de le revoir encore et encore. C’est pas de l’art abstrait, c’est du cinéma qui tabasse, et ça, putain, ça fait du bien!
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