Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Au cœur de cette histoire se tisse un lien indéfectible, celui qui unit le fils à sa mère, Reiko. C'est un lien imprégné de dévouement infini, de sacrifices muets et de tendresse ineffable.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Jumpei Matsumoto ne cherche à aucun moment à convoquer les glandes lacrymales. Loin du pathos, Satoshi est une belle leçon de résilience. Le cinéaste japonais, servi par des acteurs exceptionnels, livre un film d’une extrême sensibilité et d’un tact inouï. Déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une réussite due à l’impeccable retenue de la mise en scène et de l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Satoshi Fukushima, confronté à l'obscurité de la cécité dès l'âge de neuf ans, puis plongé dans le silence de la surdité à dix-huit ans, incarne une force inébranlable.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Tous les ingrédients du mélo et du film thérapeutique y sont : une histoire tragique qui se dénoue grâce au courage du protagoniste et à l’amour de sa mère. Pourtant, porté par la force de son scénario et de sa photographie, Satoshi finit par émouvoir.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
atoshi constitue un voyage sensible et passionnant au cœur du drame de la surdicécité. Un film presque d’intérêt public à diffuser auprès du plus grand nombre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Matsumoto aime à restituer les sensations de la douceur du vent ou du soleil de printemps sur un visage. De petites épiphanies émaillent ainsi le film de leurs moments lumineux : un champ de fleurs jaunes, une virée familiale à la mer, un moment de complicité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Yohan Haddad
Inspiré d’une histoire vraie, ce mélodrame japonais se révèle plutôt juste quand il aborde la maladie du point de vue de la mère, seule femme capable de partager la douleur psychologique de son fils. Mais le récit s’abime hélas trop dans une atmosphère tire- larmes qui vient fragiliser la morale sur l’acceptation de soi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Cet interminable pensum basé sur une histoire vraie raconte avec minutie le parcours d’un jeune garçon successivement frappé de cécité et de surdité. D’un hôpital à l’autre, du foyer au pensionnat, le soutien indéfectible de sa mère aide Satoshi à surmonter les épreuves. Une « ode à la résilience », comme on dit, qui confond délicatesse et platitude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Au cœur de cette histoire se tisse un lien indéfectible, celui qui unit le fils à sa mère, Reiko. C'est un lien imprégné de dévouement infini, de sacrifices muets et de tendresse ineffable.
Franceinfo Culture
Jumpei Matsumoto ne cherche à aucun moment à convoquer les glandes lacrymales. Loin du pathos, Satoshi est une belle leçon de résilience. Le cinéaste japonais, servi par des acteurs exceptionnels, livre un film d’une extrême sensibilité et d’un tact inouï. Déchirant.
L'Obs
Une réussite due à l’impeccable retenue de la mise en scène et de l’interprétation.
Le Dauphiné Libéré
Satoshi Fukushima, confronté à l'obscurité de la cécité dès l'âge de neuf ans, puis plongé dans le silence de la surdité à dix-huit ans, incarne une force inébranlable.
Les Fiches du Cinéma
Tous les ingrédients du mélo et du film thérapeutique y sont : une histoire tragique qui se dénoue grâce au courage du protagoniste et à l’amour de sa mère. Pourtant, porté par la force de son scénario et de sa photographie, Satoshi finit par émouvoir.
aVoir-aLire.com
atoshi constitue un voyage sensible et passionnant au cœur du drame de la surdicécité. Un film presque d’intérêt public à diffuser auprès du plus grand nombre.
Culturopoing.com
Matsumoto aime à restituer les sensations de la douceur du vent ou du soleil de printemps sur un visage. De petites épiphanies émaillent ainsi le film de leurs moments lumineux : un champ de fleurs jaunes, une virée familiale à la mer, un moment de complicité.
Première
Inspiré d’une histoire vraie, ce mélodrame japonais se révèle plutôt juste quand il aborde la maladie du point de vue de la mère, seule femme capable de partager la douleur psychologique de son fils. Mais le récit s’abime hélas trop dans une atmosphère tire- larmes qui vient fragiliser la morale sur l’acceptation de soi.
Télérama
Cet interminable pensum basé sur une histoire vraie raconte avec minutie le parcours d’un jeune garçon successivement frappé de cécité et de surdité. D’un hôpital à l’autre, du foyer au pensionnat, le soutien indéfectible de sa mère aide Satoshi à surmonter les épreuves. Une « ode à la résilience », comme on dit, qui confond délicatesse et platitude.