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Fade, plan plan, le film l'est assurément. Pourtant y jaillit par endroits des traces de l'infinie puissance d'écriture de Woolf. Marleen Gorris a réussi à retrouver quelque chose du roman -par petites touches, coups de chances ou belles intuitions, qu'importe- et même par moments (rares, mais assez intenses), des étincelles de son écriture, le bouillonnement des sensations.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Toute ambition filmique, toute vraisemblance sont exclues. (...) Mais la beauté de Redgrave nous fait oublier, ou presque, que la femme qu'elle interprète a 51 ans.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Adapté du chef d'oeuvre du même nom de Virginia Woolf, le film de Marleen Gorris n'en a ni la grâce ni la profondeur. Le scénario lourdingue multiplie les intrigues et les flash-back filmés dans des halos sirupeux, défigurant le monologue aérien du livre original.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...)la mise en scène gracieuse et désuète (...) glisse sur le drame avec une discrétion très BBC. Le spectacle est honnête et de bon goût.
Chronic'art.com
Fade, plan plan, le film l'est assurément. Pourtant y jaillit par endroits des traces de l'infinie puissance d'écriture de Woolf. Marleen Gorris a réussi à retrouver quelque chose du roman -par petites touches, coups de chances ou belles intuitions, qu'importe- et même par moments (rares, mais assez intenses), des étincelles de son écriture, le bouillonnement des sensations.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
Toute ambition filmique, toute vraisemblance sont exclues. (...) Mais la beauté de Redgrave nous fait oublier, ou presque, que la femme qu'elle interprète a 51 ans.
Le Monde
L'adaptation académique d'un roman subtil.
MCinéma.com
On aurait aimé de la fougue, quitte à prendre de la distance avec le texte. De l'émotion, en somme.
Première
Adapté du chef d'oeuvre du même nom de Virginia Woolf, le film de Marleen Gorris n'en a ni la grâce ni la profondeur. Le scénario lourdingue multiplie les intrigues et les flash-back filmés dans des halos sirupeux, défigurant le monologue aérien du livre original.