Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
Intelligente, éprouvante et intense, "Les Chambres rouges" est une œuvre magistrale dont on sort difficilement indemne.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Dans ce vertigineux édifice panoptique, le cinéaste construit des séquences qui compteront sans nul doute parmi les plus terrifiantes de l’année. Son secret : l’économie d’effets. Pas de gerbe de sang, de sursaut, d’explosion. Pascal Plante promène sa caméra comme un scalpel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
"Les chambres rouges" nous poursuivent et nous hantent après vision comme une brûlure à vif, qui pique et rappelle le dangers de jouer avec un feu glacial, un film oxymore. Une omelette norvégienne made in Canada.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
En refusant de montrer frontalement l'horreur et en se concentrant sur un personnage aussi trouble que fascinant, Pascal Plante réalise une étude glaçante de la propagation du mal à l'ère numérique. Possiblement le meilleur film jamais réalisé sur le snuff movie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Il s’érige comme un grand cinéaste contemporain, capteur peut-être inconscient du pouls du monde, agrippé au doute, au gris, avec une insistance qui confine à la profession de foi ; agrippé, coûte que coûte, à ce mystère humain qui jamais ne sera résolu.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Clinique, dérangeant, inconfortable. Les Chambres rouges interroge la fascination pour le mal et le pouvoir des images, par le prisme de nouvelles technologies à l’emprise aliénante
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Hors normes, ce polar québécois étrange suit le parcours de jeunes filles qui ne cachent pas leur hybristophilie, ce désir pour les criminels les plus dangereux. Très réussi, mais éprouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Énigmatique et froid, à l’image de son héroïne, le film paraît tour à tour fascinant et esthétisant, mais sa maîtrise formelle ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Etrange film – froid, malade, virtuose et frustrant. Dont les images, malgré tout, persistent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Pascal Plante s'astreint à [...] ausculter cette fascination pour l'horreur dans un dispositif esthétique froid, rigoureux, d'une grande maîtrise jusque dans ses inévitables débordements.
Ouest France
par Thierry Cheze
Si Plante réussit formellement sa plongée étouffante dans les tréfonds de l'horreur humaine, son scénario et la gestion des rebondissements sont moins convaincants.
Positif
par Alain Masson
[Des] défauts [...] secondaires [qui] n'altèrent en rien la grande singularité du sujet ni la maîtrise de son traitement cinématographique, si rigoureux, si précis et si lucide.
L'Obs
par François Forestier
Un nouvel angle dans la figure ultra-usée de la mythologie du serial killer. Enfin !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Toujours au diapason de son personnage principal, le polar est tout aussi robotique que vampirique, et ne se laisse guère aller au cœur des choses. Il réussit pourtant à certains endroits, et c’est déjà quelque chose, à mettre en scène Internet et ses navigations avec une folle intensité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario est un peu trop sous l'influence d'Atom Egoyan (« Captives ») et de David Fincher (« Millenium »), la mise en scène chirurgicale de Pascal Plante et le jeu tout en nuances de Juliette Gariepy méritent de se plonger dans le dossier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Michel Bezbakh
Ce cinéma purement visuel déploie un art du dévoilement, lent et progressif, qui rendait déjà Nadia, Butterfly, le précédent long métrage de l’auteur, unique et remarquable. Dommage que la dernière partie, ici, délaisse la froideur pour des effets trop tapageurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce thriller apparaît par moment un peu trop fabriqué. Mais ce point de vue sur notre temps reste bien servi par la prestation inquiétante de Juliette Gariépy.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un thriller poisseux mettant en scène un personnage ambigu, qui peine à entretenir la tension avec ses scène étirées, son rythme lent et son intrigue délayée.
Le Monde
par V. Cau.
C’est autour de cette dernière – visage inexpressif, vie solitaire et taiseuse, habitudes maniaques – que s’élabore le film dont la froideur s’applique à la fois à créer une ambiance inquiétante et à nous suggérer le caractère psychopathe de son héroïne. L’un et l’autre se surlignant, le sujet vire à la démonstration. Et nous laisse de glace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Plante distille non sans talent une atmosphère malaisante à la limite du soutenable mais se perd dans un scénario patinant de plus en plus au fil de ses trop longues deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Avec sa mise en scène et son ambiance travaillées, ce film atypique commence fort. Malheureusement, le scénario multiplie les invraisemblances.
L'Ecran Fantastique
Intelligente, éprouvante et intense, "Les Chambres rouges" est une œuvre magistrale dont on sort difficilement indemne.
L'Humanité
Dans ce vertigineux édifice panoptique, le cinéaste construit des séquences qui compteront sans nul doute parmi les plus terrifiantes de l’année. Son secret : l’économie d’effets. Pas de gerbe de sang, de sursaut, d’explosion. Pascal Plante promène sa caméra comme un scalpel.
Culturopoing.com
"Les chambres rouges" nous poursuivent et nous hantent après vision comme une brûlure à vif, qui pique et rappelle le dangers de jouer avec un feu glacial, un film oxymore. Une omelette norvégienne made in Canada.
Ecran Large
En refusant de montrer frontalement l'horreur et en se concentrant sur un personnage aussi trouble que fascinant, Pascal Plante réalise une étude glaçante de la propagation du mal à l'ère numérique. Possiblement le meilleur film jamais réalisé sur le snuff movie.
La Septième Obsession
Il s’érige comme un grand cinéaste contemporain, capteur peut-être inconscient du pouls du monde, agrippé au doute, au gris, avec une insistance qui confine à la profession de foi ; agrippé, coûte que coûte, à ce mystère humain qui jamais ne sera résolu.
La Voix du Nord
Clinique, dérangeant, inconfortable. Les Chambres rouges interroge la fascination pour le mal et le pouvoir des images, par le prisme de nouvelles technologies à l’emprise aliénante
Le Parisien
Hors normes, ce polar québécois étrange suit le parcours de jeunes filles qui ne cachent pas leur hybristophilie, ce désir pour les criminels les plus dangereux. Très réussi, mais éprouvant.
Les Fiches du Cinéma
Énigmatique et froid, à l’image de son héroïne, le film paraît tour à tour fascinant et esthétisant, mais sa maîtrise formelle ne laisse pas indifférent.
Libération
Etrange film – froid, malade, virtuose et frustrant. Dont les images, malgré tout, persistent.
Mad Movies
Pascal Plante s'astreint à [...] ausculter cette fascination pour l'horreur dans un dispositif esthétique froid, rigoureux, d'une grande maîtrise jusque dans ses inévitables débordements.
Ouest France
Si Plante réussit formellement sa plongée étouffante dans les tréfonds de l'horreur humaine, son scénario et la gestion des rebondissements sont moins convaincants.
Positif
[Des] défauts [...] secondaires [qui] n'altèrent en rien la grande singularité du sujet ni la maîtrise de son traitement cinématographique, si rigoureux, si précis et si lucide.
L'Obs
Un nouvel angle dans la figure ultra-usée de la mythologie du serial killer. Enfin !
Les Inrockuptibles
Toujours au diapason de son personnage principal, le polar est tout aussi robotique que vampirique, et ne se laisse guère aller au cœur des choses. Il réussit pourtant à certains endroits, et c’est déjà quelque chose, à mettre en scène Internet et ses navigations avec une folle intensité.
Paris Match
Si le scénario est un peu trop sous l'influence d'Atom Egoyan (« Captives ») et de David Fincher (« Millenium »), la mise en scène chirurgicale de Pascal Plante et le jeu tout en nuances de Juliette Gariepy méritent de se plonger dans le dossier.
Télérama
Ce cinéma purement visuel déploie un art du dévoilement, lent et progressif, qui rendait déjà Nadia, Butterfly, le précédent long métrage de l’auteur, unique et remarquable. Dommage que la dernière partie, ici, délaisse la froideur pour des effets trop tapageurs.
Voici
Ce thriller apparaît par moment un peu trop fabriqué. Mais ce point de vue sur notre temps reste bien servi par la prestation inquiétante de Juliette Gariépy.
Le Journal du Dimanche
Un thriller poisseux mettant en scène un personnage ambigu, qui peine à entretenir la tension avec ses scène étirées, son rythme lent et son intrigue délayée.
Le Monde
C’est autour de cette dernière – visage inexpressif, vie solitaire et taiseuse, habitudes maniaques – que s’élabore le film dont la froideur s’applique à la fois à créer une ambiance inquiétante et à nous suggérer le caractère psychopathe de son héroïne. L’un et l’autre se surlignant, le sujet vire à la démonstration. Et nous laisse de glace.
Première
Plante distille non sans talent une atmosphère malaisante à la limite du soutenable mais se perd dans un scénario patinant de plus en plus au fil de ses trop longues deux heures.
Télé 2 semaines
Avec sa mise en scène et son ambiance travaillées, ce film atypique commence fort. Malheureusement, le scénario multiplie les invraisemblances.