Votre avis sur Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan ?
2,5
Publiée le 25 mars 2025
Je reste mitigée : assez déçue malgré quelques bonnes répliques assez drôles.
Le scénario est brouillon, touffu, avec pas mal d'invraisemblances : Jonathan Cohen à 27 ans.....non on n'y croit pas....quant à Sylvie, 80 ans, qui a la peau lisse d'une jeune fille....pas crédible
Le jeu de Leila aurait gagné à être moins surjoué, dommage. BRAVO pour le maquillage qui la vieillit bien.
Le cinéaste a voulu traité trop d'événements au détriment des émotions....dommage
Chanblo

36 critiques

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2,5
Publiée le 24 mars 2025
Première partie trop longue , on a compris l'amour de cette mère . Un peu lourd ! Après 1 peu mieux mais ....,
Duduche

1 critique

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2,0
Publiée le 24 mars 2025
Un bon téléfilm avec des effets spéciaux limites. Je ne suis pas rentré dans l'histoire trop superficielle. Mention spéciale à Leila Bekhti qui signe une belle prestation.
Farid ZAIDI

1 critique

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2,0
Publiée le 23 mars 2025
Si l’histoire peut être touchante, le film est totalement déstructuré et ne laisse pas bcp passer de sentiments. Je doute de Cohen dans ce registre et bekhti pas terrible elle surjoue. Dommage
2,5
Publiée le 23 mars 2025
"Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan" part d’une idée pleine de promesses, entre comédie décalée et quête identitaire. Mais très vite, le récit peine à trouver sa cadence, tiraillé entre deux moitiés qui ne tiennent pas vraiment ensemble. Leïla Bekhti, sincère et habitée, porte ce qu'elle peut, mais le film reste flottant, comme perdu entre plusieurs intentions. Et certains choix de mise en scène, spoiler: à l’image de l’interview en deepfake de Sylvie Vartan, complètement ratée
, laissent franchement perplexe. Une occasion manquée.
2,0
Publiée le 21 mars 2025
En 1963, Esther Perez (Leïla Bekhti) met au monde son sixième enfant. Il est affligé d’un pied bot et condamné par les docteurs à être handicapé et lourdement appareillé. Mais sa mère s’y refuse, contre toute raison, et attend un miracle.

"Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" est l’adaptation de l’autobiographie éponyme de l’avocat Roland Perez. Il y raconte, à la première personne, son enfance dans un HLM du 13e arrondissement parisien, son handicap, sa scolarité dans un cours de théâtre puis sa brillante carrière au barreau. Il y raconte surtout en filigrane l’amour démesuré de sa mère.

Leïla Bekhti se glisse avec gourmandise dans ce personnage de mamma juive séfarade immigrée du Maroc, plus vraie que nature. Comme la mère de Romain Gary elle prophétise à son fils bien-aimé un avenir prestigieux. Elle réussit à être profondément attendrissante dans l’amour qu’elle porte à son enfant, capable de déplacer des montagnes, et horripilante dans ses excès caricaturaux. Le maquillage qui la vieillit outrancièrement dans la seconde partie du film est bien lourd à porter ; mais Leïla Bekhti est une si bonne actrice qu’elle le supporte sans se ridiculiser.

Le scénario du film boîte, comme son héros. Il est l’adaptation, je l’ai dit, d’une autobiographie. Mais il se focalise, non sans raison, sur le handicap de naissance du jeune Roland et l’entêtement insensé de sa mère à le soigner. Cette histoire-là aurait suffi à nourrir un film. Elle constitue d’ailleurs les deux tiers de Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan. Elle est l’occasion de croquer une famille nombreuse et joyeuse dans le Paris coloré et rock’n roll de la fin des années 60.

Mais le film est lesté d’un troisième tiers qui le déséquilibre. On pourrait penser, à en croire son titre, que ce troisième tiers est consacré à Sylvie Vartan. Ce n’est qu’en partie vrai. Certes, on y voit la chanteuse, aujourd’hui âgée de quatre-vingts ans passés, le visage à ce point corrigé par la chirurgie esthétique qu’on le dirait redessiné par une intelligence artificielle. Mais on y voit surtout Roland Perez adulte, interprété par Jonathan Cohen, se marier, fonder une famille, et tenter de se sevrer de la relation vampirique qui l’unit à sa mère. Cette partie-là du film n’est pas inintéressante… mais c’est un autre film qui dévoie le premier.
2,5
Publiée le 20 mars 2025
Une jolie première partie ,Roland Jeune avec ses frères et sœurs ,sa maman …et tous ceux qui participeront à
sa marche ,les décors sont très plaisants à l’œil …Leila Beîkti aimante l’écran et puis vient la deuxième partie Roland adulte ..pour moi je décroche malgré la belle présence de Sylvie Varin il y a quelque chose dans ce personnage réel Roland Perez qui finalement me déplaît vis à vis de celle
qui lui a tout donné …il se montre ainsi c’est déjà pas mal …
Le réalisateur ne réalise pas ´ son Film’sûrement à cause de ce surcroît de voix off…
On passe un agréable moment sans plus ..finalement le milieu auquel a accédé Roland nous paraissant bien moins intéressant que celui de sa jeunesse …
2,5
Publiée le 14 mars 2025
Vu en avant-première.
Une histoire vraie touchante et une invitation à ne jamais se résigner.
Une belle apparition dans le film, rayonnante et toujours plus charismatique.
2,5
Publiée le 11 mars 2025
J'ai vu ce film en avant 1ere (pour les journées de la femme au Rex à Châtenay Malabry) et j'ai étais un peu déçu, alors que tout le monde semble s'extasier.
Je n'ai pas aimé le rôle de cette mère interprété par Leïla Bekhti, mal dirigée et trop excessif.
pour moi, ce metteur en scène n'a pas été à la hauteur pour parler de ce sujet et de cette famille.
2,0
Publiée le 9 mars 2025
Adaptation du roman autobiographique de même titre, Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan procède par énumération de petites vignettes loufoques cristallisant l’amour vampirique d’une mère à l’égard de son fils, spoiler: que la difformité physique assimile d’emblée à une épreuve divine exigeant le don de soi et la combativité
. La première partie, correspondant à l’enfance et à l’adolescence de Roland, insupporte au plus haut point, la faute à la répétition d’une même formule narrative proche du sommaire : jamais les situations de la vie quotidienne ne se posent, jamais une émotion véritable ne naît, tout s’enchaîne vite et mal, rythmé par des chansons qui en gonflent artificiellement le dynamisme et les enjeux. L’interprétation outrancière de Leïla Bekhti crispe un spectateur qui ne sait déjà pas où s’installer, égaré devant un flux d’images et de sons qui ne lui réservent aucune place ; la vieillesse du personnage atténue ces fulgurances ridicules, seconde partie d’un récit qui trouve alors une profondeur et une poésie certaines, quoique faciles et stéréotypées. Nous sommes loin, très loin des audaces torturées d’un Xavier Dolan, de l’éloge nostalgique des romans et adaptations de Pagnol, ou d’une réflexion originale sur la possessivité d’une mère représentée, entre autres, par Eva Ionesco dans My Little Princess (2011). Voilà un long métrage qui manque terriblement de personnalité, et que la présence de Sylvie Vartan ne saurait suffire à singulariser.
Vu en avant-première au cinéma Turenne de Sedan.
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