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FaRem
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2,5
Publiée le 16 mai 2024
Inspiré d'une grosse fraude survenue en Espagne, "El correo" raconte l'histoire fictive d'Iván, un jeune homme ambitieux qui rêve de se faire une place au soleil, mais de la manière la plus simple possible. Lorsqu'une opportunité se présente à lui, il n'est pas du genre à tergiverser et c'est comme cela qu'il rencontre Anne, qui va l'embaucher en tant que chauffeur pour transporter de l'argent d'un pays à l'autre afin de le blanchir. Bien sûr, il ne va pas se contenter de ça... On a tous déjà vu un film de ce type sur de l'argent facile avec une période d'euphorie où tout se passe bien avant une descente aux enfers, et c'est exactement le cas ici. Patxi Amezcua et Alejo Flah, les scénaristes, se calquent sur le schéma narratif du genre et ne s'en éloignent jamais. Malheureusement, il n'y a rien de très distrayant malgré les rivalités, la menace des autorités ou la romance. Un scénario convenu et sans surprise, et un personnage principal à la personnalité inintéressante. Bref, un film moyen.
La mise en scène ressemble fortement à certains films de scorcese, mais malheureusement le talent en moins…. C’est assez plat, la mayonnaise ne prend jamais vraiment, et on s’ennuie assez vite …
El correo est basé sur des faits réels et se déroule dans les années précédant et suivant immédiatement la crise économique qui a suivi l'éclatement de la bulle immobilière de 2008. Malgré un contexte d'intérêt qui a eu un grand impact social, le film se contente de le minimiser pour présenter une histoire qui peut se résumer en trois mots : sexe, drogue et corruption.
Ce film, tiré d'une histoire vraie, brille par son inconstance... Certains passages sont captivants, un bon thriller, et d'autres sont ennuyeux par l'utilisation de poncifs (alcool, drogue et sexe) et des dialogues à la confondante banalité...
Difficile de garder une attention soutenue.
Dommage, il y avait pourtant grande matière pour mieux faire.
Remarquons d'abord que le titre original est bien meilleur que celui sous lequel ce film est diffusé : El correo, beaucoup plus sobre, car on redoute de tomber sur une sorte d'imitation de French connexion... Certes, Spanish connexion n'est pas sans défaut, à commencer par les accélérés et les scènes de fêtes très répétitives. Mais il est porté par d'excellents comédiens, et pas seulement par le charismatique Luis Tosar. Le scénario, s'il est assez classique et un peu moraliste, se tient. Il semble d'ailleurs assez réaliste. Ce film dénonce impitoyablement la corruption des milieux politiciens et affairistes, et souligne ses conséquences sur la vie des gens modestes. Un peu trop d'ailleurs car les crises économiques ne résultent pas que de la corruption...
"El correo" est un thriller espagnol de 2024 réalisé par Daniel Calparsoro, avec Arón Piper dans le rôle principal. Le film suit Iván, un jeune valet ambitieux de Vallecas, qui s'implique dans un cartel de blanchiment d'argent au début des années 2000, lors de l'adoption de l'euro en Espagne. Piper offre une performance solide, apportant profondeur et charisme à son personnage. Le film réussit à créer une atmosphère tendue et authentique, grâce à une attention minutieuse aux détails historiques et à des scènes d'action bien exécutées.
Cependant, le développement des personnages secondaires laisse à désirer, ce qui rend difficile l'attachement du spectateur. La complexité de l'intrigue et son rythme rapide peuvent également être déroutants. Malgré ces défauts, "El correo" reste un thriller dynamique et divertissant, méritant une note de 3 sur 5 pour son engagement et son intérêt.
Plutôt sympa à regarder. Plutôt bien joué. Un bon film espagnol qui montre une histoire vraie avec en plus, l’ascension d’un protagoniste et sa chute. À voir. On y passe un bon moment.
Scénario sans originalité, déjà vu plusieurs fois . Action traine en longueur. Inspiré de faits réels dont certaines images viennent de bandes d'actualité de l'époque. A éviter.
Déjà vu... Déjà vu et en mieux. Une recette usée jusqu'à la corde. L'argent facile, les belles filles, les partouzes, les grosses bagnoles, les arnaques, les trahisons... Jusqu'à plus soif. Dans le genre, la série française "d'Argent et de sang" est nettement supérieure et surtout bien mieux jouée. Même Luis Tosar est caricatural. Allez, à oublier... Déjà oublié.
Un film sur un cas vécu intéressant. Il permet de remettre en question le système dans lequel on vit et de présenter la corruption avec laquel nous cohabitons. Cependant, le film ne révolution pas le genre et nous perd dans l'ennui par moment avec des scènes de drogue et de sexe banal qui n'apporte rien à l'histoire.
Très très mal réalisé, surtout lors la scène à Bruxelles à 11minutes10 de l'épisode 1. L'époque de la série est 2002 et on voit un opel crosslandx et une a3 dernière génération.