Le meilleur film de Gaël Morel, aux accents très téchinéens. Sobre et lyrique, épuré et subtilement romanesque. Ce récit d'amour et de mort est une vraie réussite.
Gaël Morel est devenu le réalisateur français très prometteur. Il a choisi d’excellents comédiens pour traiter un sujet sensible : la séropositivité dans les années 90. Touchant, émouvant, je recommande ce film.
Film vu en avant-première, en présence du réalisateur et de la productrice. Très bon film, émouvant, beau et nuancé. Entre tristesse et espoir avec des amours différents. Porté par un trio d'acteurs impeccable.
Magnifique film, sans les clichés que je pouvais craindre avant de le voir. Les acteurs sont fabuleux, la photo sublime... (Vu en AVP aux 400 coups, à Angers, en présence du réalisateur, Gaël Morel.)
J’ai beaucoup aimé ce film qui se passe dans les années 90, avec la rencontre de voisins , un photographe et un jeune couple qui va emménager dans le même immeuble. Une histoire d’amour va naître et j’ai aimé la douceur des sentiments et l’amour qui se dégage du film. Et la justesse , la force et l’envie de vivre de chacun. Aussi la relation est dans les périodes sida étc donc cela aborde ces sujets également mais sans être trop « lourd » étc moi je vous conseille ce joli film.
Un très beau film, très touchant, autour du sida dans les années 90 mais surtout sur l'amitié et l'importance de vivre "l'après". Vu en avant première en présence du réalisateur et de l'acteur Victor Belmondo
Découvert en avant première hier soir à Lyon, au Comoedia, avec - en prime - une rencontre avec le réalisateur Un film plein de vie et d'amours pluriels traité avec simplicité et esthétisme
Avant-première au Festival du Film Francophone d'Angoûlême. Malgré le drame de cette époque dépeint par le trio amoureux, un film qui rate sa cible avec des acteurs qui manquent de crédibilité dans leurs personnages. Seule Lou Lampros parvient à nous surprendre à quelques jolis moments. L'émotion est timide. Dommage.
Gaël Morel affirme haut et fort avoir voulu réaliser un film d'amour inclusif : hétéro, homo, bi. Son titre interpelle : vivre, mourir, renaître, cela rappelle un peu le long-métrage de Christophe Honoré, Plaire aimer et courir vite, qui était également une chronique "fin de siècle", celle des années sida. Cette plongée au cœur d'un triangle amoureux, qui fait la part belle à la bienveillance plutôt qu'à la jalousie, sonne presque toujours juste, avec des dialogues ciselés et une appropriation remarquable d'une époque pourtant vue à plusieurs reprises récemment, dans le cinéma français. Il y a un fort goût de romanesque dans le film,,avec des personnages sacrément attachants, y compris dans leur manière d'appréhender leurs sentiments. La réussite de Vivre, mourir, renaître, ce titre résume finalement à la perfection ce qui s'y trame,tient aussi beaucoup à l'alchimie entre ses trois jeunes protagonistes et pas seulement pour leur physique avenant. Lou Lampros et Théo Christine ont certainement un bel avenir et, quant à Victor Belmondo, il ne cesse d'étonner en s'installant avec de plus en plus d'assurance dans le paysage cinématographique français sans qu'il soit besoin désormais de s'en référer à son illustre grand-père.