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    Vivre, mourir, renaître
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    97 critiques spectateurs

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    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    21 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Le point fort de ce film est le scénario, mais le point faible, qui gâche le tout, est l’interprétation. Les acteurs ne sont pas à la hauteur de l’histoire du film et c’est dommage … car les personnages et notamment Cyril (mais pas que) ne rendent pas crédible ce que laissait présager le scénario, du moins sur le papier. Du coup il y a des longueurs parfois et le résultat final “c’est la loose”…
    Eleven Holmes
    Eleven Holmes

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Magnifique film, sans les clichés que je pouvais craindre avant de le voir. Les acteurs sont fabuleux, la photo sublime...
    (Vu en AVP aux 400 coups, à Angers, en présence du réalisateur, Gaël Morel.)
    Sylvain P
    Sylvain P

    339 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2024
    Un trio amoureux nuancé, sensuel, poignant, pansexuel et raisonnable. Gaël Morel nous offre de belles tranches de vie, tout en sobriété mais aussi pleines de passion. Théo Christine et Lou Lampros forment un couple magnifique et crédible, loin des clichés. Vivre avec le VIH est l'autre sujet de ce beau film inoubliable.
    Math719
    Math719

    187 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    Une histoire d’amour, de la passion, comme on en voit rarement..
    Triste bien construit on voit un côté du Sida qu’on a pas l’habitude de voir, celui de ceux qui on le vih et qui pensaient mourir et au final s’en sorte, ceux qui apprennent à vivre sans sa moitié..
    De beaux acteurs avec un beau message un très beau film !
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    58 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2024
    Gaël Morel, un temps acteur dans les "roseaux sauvages", est un réalisateur à la filmographie singulière dans le paysage français.
    Son nouveau film s'inscrit au début des années 90, où l'apparition des trithérapies est trop tardive pour sauver certains.
    Une belle histoire, mais qui n'embarque malheureusement pas le spectateur tout à fait.
    Si l'interprétation est solide, l'écriture du scénario est trop légère et n'exploite pas tout le potentiel des situations.
    Audrey L
    Audrey L

    640 abonnés 2 592 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2024
    Vivre, Mourir, Renaître est une ode à l'amour, à la mort, à ce qu'il reste après soi. Voici donc l'histoire d'un jeune homme (Théo Christine, après nous avoir déjà scotché dans Vermines, est au moins aussi flamboyant que sur l'affiche, tirée de celle des Nuits Fauves) qui devrait se consacrer à la vie en couple avec sa fiancée (Lou Lampros, déchirante) mais est perturbé par le magnétisme stupéfiant du voisin de palier (Victor Belmondo, d'une sensibilité folle)... Dans une époque où le sida règne, on sait que ce trio va s'embraser (et s'embrasser), vivre intensément engueulades et amours folles, et l'on s'accroche alors à son fauteuil en anticipant une fin dont on sait pertinemment qu'elle va nous briser le cœur. Et la déchirure ne vient pas de là où on l'avait prévu (d'autant plus dure). On a pleuré comme un veau, on ne va même pas essayer de prétendre l'inverse (la salle Debussy du Festival cannois doit se rappeler encore de nos mouchages), et l'on s'est rassuré en voyant que l'équipe du film, présente pour l'AVP, pleurait aussi chaudement lorsque les lumières se sont rallumées. On ne va certainement pas vous gâcher la surprise, mais l'on s'attendait à voir partir un autre personnage du film (et on s'y préparait), puis le film est arrivé par derrière, et nous a mis une balayette. Pourtant, rien ne sent le scénario tire-larmes, calculateur, manipulateur de sentiments à grands renforts de maladie tristement réelle, de ménage qui s'effondre peu à peu, de personnages qu'on adore en une seconde et demi (les acteurs y sont pour tout). Le réalisateur expliquait d'ailleurs qu'il avait chronométré le temps d'écran de chacun des trois personnages, pour qu'ils aient le même temps d'apparition, à parts égales, ce qui est loin d'être une coquetterie, une mise en scène difficile qui ne servirait qu'à faire mousser son réalisateur, mais permet très vite pour le spectateur, sans même s'en rendre compte, de n'arriver à rien quand il se demande qui est le personnage principal de cette histoire, et qui il accepterait "mieux" de voir partir... Le trio en tant qu'entité est le personnage principal, et la violence des sentiments (positifs comme négatifs, l'amour et la colère s'affrontant sans cesse dans un combat jusqu'à la mort, et même au-delà) qui s'y joue est un brasier où l'on se brûle le cœur avec plaisir. La vie, l'amour, la mort, tout n'est qu'un papier d'Arménie qui s'enflamme trop vite pour qu'on puisse en apprécier les fragrances, alors Vivre, Mourir, Renaître nous rappelle qu'il faut prendre le temps de s'embrasser, avant de s'embraser.
    Daniel C.
    Daniel C.

    147 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2024
    Le temps du SIDA et le temps de l'après avec l'arrivée des trithérapies, de la charge virale indétectable, où survivre va devenir vivre...
    Fiers R.
    Fiers R.

    101 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2024
    Simple et épuré, peut-être même un peu déjà-vu, le nouveau fim de Gael Morel n’en demeure pas moins une œuvre belle et tragique qui nous touche. En totale cohérence avec le reste de sa filmographie, il nous convie à un triangle amoureux dans les années 90 à une époque où le SIDA frappe encore beaucoup les esprits et la communauté gay/bi. Un sujet certes maints fois traité dans le passé et même encore de mémoire récente comme en témoigne le mémorable « 120 battements par minute » mais ici c’est davantage du côté de l’illustre et cultissime « Les Nuits fauves », le film testamentaire de Cyril Collard, que l’on pense. Mais, malgré l’âpreté du sujet et son côté tragique, dans une version plus contemporaine dans son traitement et peut-être moins sombre et bouleversante, plus lumineuse. Comme si Morel souhaitait revenir sur cette période trouble et en gommer le côté désespéré en montrant qu’il pouvait aussi il y a avoir de l’espoir.

    On est peu surpris que le cinéaste ait de nouveau choisi de parler de personnages faisant partie de la communauté queer. Toute son œuvre, ou en tout cas une bonne partie, est consacrée à ce type de protagonistes du plus anecdotique « Notre Paradis » en passant par le magnifique « Le Clan » et au film qui l’a révélé « À toute vitesse ». Des hommes surtout, parfois des femmes, qui s’aiment, se désirent et se déchirent peu importe leur genre. Ils ne sont jamais définis par leur sexualité mais par leurs désirs et leurs pulsions. D’ailleurs, dans « Vivre, mourir, renaître » (quel beau titre plein de poésie et de sens), la question de l’homosexualité de l’un et de la bisexualité de l’autre resterait même presque satellite car jamais le script ne pointe du doigt leur sexualité et jamais le SIDA n’est vu par ce prisme. Les relations entre les trois personnages sont normalisées - peut-être parfois un peu idéalisées pour l’époque - et la scène de prologue prend parfaitement le pouls d’une certaine jeunesse underground.

    Ce n’est, encore une fois avec ce cinéaste souvent comparé à Téchiné, pas du côté de la mise en scène que ce joli film sur un sujet très dur nous marquera. Comme d’habitude, Morel ne soigne pas particulièrement ses images mais se focalise sur les dynamiques qui régissent ces personnages. Ce qui n’empêche pas de très beaux plans emplis de douceur et de volupté. Et le trio d’acteurs incandescent qu’il a choisi le lui rend bien. Victor Belmondo trouve là son meilleur rôle, Théo Christine confirme tout le bien que l’on pensait de lui et la nouvelle venue Lou Lampros est une jolie révélation. C’est un film à la fois beau et triste mais jamais larmoyant. Cette chronique d’une époque et d’un double amour marqué par le sceau de la maladie ne verse jamais dans le pathos préférant mettre en valeur l’amour, la fraternité et quelques embardées poétiques venant enjoliver le triste contexte entourant les personnages. « Vivre, mourir, renaître » peut compter sur sa simplicité, son humilité et sa justesse de ton pour nous bouleverser tout en douceur.

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    Christine
    Christine

    7 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2024
    Vivre , mourrir et renaître de Gaël Morel ..
    une film d’amour autour de 3 protagonistes dans
    les années 90 , années sida . Ce film est d’une grande délicatesse malgré la thématique .
    On est pas dans le trash , on est dans l’amour et la bienveillance . Porté par un trio de jeunes acteurs incroyables qui nous emportent dans une émotion intense , le film est fort et vraiment à voir
    Nastassja
    Nastassja

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2024
    Vu en avant-première, le film dépeint une relation de "trouple" extrêmement belle et douce entre trois personnes qui ne demandent qu'à aimer !
    Gotje Kej
    Gotje Kej

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2024
    Une catastrophe ce film. Je me suis rarement autant ennuyé devant un film. Victor Belmondo est encore plus catastrophique que le film, c'est dire.
    Annette S.
    Annette S.

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Le pts fils belmondo est touchant dans ce rôle .. les acteurs nous entraient dans les tourments de l époque .. un moment émouvant ..
    Clément D.
    Clément D.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2024
    Film vu en avant-première, en présence du réalisateur et de la productrice.
    Très bon film, émouvant, beau et nuancé. Entre tristesse et espoir avec des amours différents. Porté par un trio d'acteurs impeccable.
    Léa Nucciarelli
    Léa Nucciarelli

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2024
    J’étais à la séance des halles ce matin. Superbe équipe pour un super film. Vivant, jeune, émouvant.
    Chris De Joigny
    Chris De Joigny

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Très bon films, l’actrice principale, Lou Lampros, est bluffante de charisme et de vérité. Le scénario est vraiment bien, même s’il est relativement classique et que certaines parties du film sont trop rapide, notamment lors de la maladie d’un des protagoniste. Les acteurs sont vraiment très bien, notamment Théo Christine qui a un rôle très difficile et qui s’en sort très bien. Petit bémol pour Victor Belmondo, qui est parfait dans la1ere partie du film, mais décevant lors de l’avènement de la maladie, avec un certains détachement très éloigné de ce qu’aurait mérité son rôle. A voir
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