Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans ce drame ponctué de scènes magnifiques, Victor Belmondo décroche son plus beau rôle à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bouleversant.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film délicat et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Alors que l’on célèbre en 2024 les trente ans de combat de Sidaction, Gaël Morel déploie un drame dans lequel le VIH s’immisce dans un triangle amoureux. De l’amour à la mort, et jusqu’à l’espoir d’une guérison, la maladie se fait le liant de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Et c’est toute la force tragique du film que d’opposer à ce sublime élan vital qui l’agite de part en part l’injustice et l’absurdité de la maladie, le sida. Son sens aigu du romanesque, cette densité de chaque instant donnée aux sentiments et à leurs infimes manifestations (...) lui confèrent une puissance émotionnelle déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Au milieu de références à Mauvais sang de Leos Carax ou d’affiches de Wong Kar-waï aperçues dans le métro, le septième long métrage de Morel trouve sa propre voix et s’appuie sur un trio étincelant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Fluide, contemporain, sans pathos ou presque [...], ce récit à fleur de peau est porté par trois futurs grands.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une fille, deux garçons durant les années sida. Les corps et les destins, le bonheur et le malheur : avec Gaël Morel, tout se mêle, et c’est lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Malgré quelques passages convenus, desservis sans doute par l'usage des musiques – belles, mais trop appuyées – de Georges Delerue, ce récit reste linéaire, parfois surprenant et toujours haletant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Télé 2 semaines
par C.C.
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
Télé Loisirs
par C.C.
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Gaël Morel parvient à proposer un film moins radical que ses précédentes œuvres, l’excès de musiques lénifiantes et de mélodrame égare parfois l’attention du spectateur. Vivre, mourir, renaître demeure nécessaire au moment où nombre de personnes semblent oublier que le sida est une maladie grave et mortifère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Des intentions louables, mais un film qui n’a pas la force espérée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
Dans ce drame ponctué de scènes magnifiques, Victor Belmondo décroche son plus beau rôle à ce jour.
Le Journal du Dimanche
Bouleversant.
Les Echos
Un film délicat et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Alors que l’on célèbre en 2024 les trente ans de combat de Sidaction, Gaël Morel déploie un drame dans lequel le VIH s’immisce dans un triangle amoureux. De l’amour à la mort, et jusqu’à l’espoir d’une guérison, la maladie se fait le liant de son récit.
Les Inrockuptibles
Et c’est toute la force tragique du film que d’opposer à ce sublime élan vital qui l’agite de part en part l’injustice et l’absurdité de la maladie, le sida. Son sens aigu du romanesque, cette densité de chaque instant donnée aux sentiments et à leurs infimes manifestations (...) lui confèrent une puissance émotionnelle déchirante.
Première
Au milieu de références à Mauvais sang de Leos Carax ou d’affiches de Wong Kar-waï aperçues dans le métro, le septième long métrage de Morel trouve sa propre voix et s’appuie sur un trio étincelant (...).
Télé 7 Jours
Fluide, contemporain, sans pathos ou presque [...], ce récit à fleur de peau est porté par trois futurs grands.
Télérama
Une fille, deux garçons durant les années sida. Les corps et les destins, le bonheur et le malheur : avec Gaël Morel, tout se mêle, et c’est lumineux.
Franceinfo Culture
Malgré quelques passages convenus, desservis sans doute par l'usage des musiques – belles, mais trop appuyées – de Georges Delerue, ce récit reste linéaire, parfois surprenant et toujours haletant.
Télé 2 semaines
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
Télé Loisirs
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
aVoir-aLire.com
Si Gaël Morel parvient à proposer un film moins radical que ses précédentes œuvres, l’excès de musiques lénifiantes et de mélodrame égare parfois l’attention du spectateur. Vivre, mourir, renaître demeure nécessaire au moment où nombre de personnes semblent oublier que le sida est une maladie grave et mortifère.
La Voix du Nord
Des intentions louables, mais un film qui n’a pas la force espérée.