Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans ce drame ponctué de scènes magnifiques, Victor Belmondo décroche son plus beau rôle à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Un mélodrame brillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Pour son retour au cinéma, l’acteur-réalisateur Gaël Morel raconte l’histoire d’un amour libre et subtil au sein d’un trio soudainement disloqué par l’arrivée du sida. "Vivre Mourir Renaître" est, à ce jour, certainement son plus beau film.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Si ses premiers films étaient des fugues, Gaël Morel vise ici l’ampleur d’une traversée, voire d’une fresque. Sitôt son dispositif (si téchinesque) constitué, Vivre, mourir, renaître déploie un récit en trois temps, chacun pris en charge par le regard d’un personnage qui imprime à chaque mouvement sa couleur et son timbre singulier.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C’est une envolée lyrique et tragique qui regarde le passé pour mieux appréhender le présent, où trois acteurs, à la beauté cristalline et au charisme sublimé, brillent d’une intensité chavirante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Par ce film puissant et délicat, Gaël Morel relate la trajectoire d’un trio amoureux percuté par l’épidémie de sida dans les années 1990.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bouleversant.
Le Point
par La Rédaction
Gaël Morel, qu'on avait découvert jeune acteur dans le très beau récit d'apprentissage d'André Téchiné Les Roseaux sauvages (1994), réussit à son tour un grand film sur la jeunesse, l'amour et le destin.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film délicat et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Alors que l’on célèbre en 2024 les trente ans de combat de Sidaction, Gaël Morel déploie un drame dans lequel le VIH s’immisce dans un triangle amoureux. De l’amour à la mort, et jusqu’à l’espoir d’une guérison, la maladie se fait le liant de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Et c’est toute la force tragique du film que d’opposer à ce sublime élan vital qui l’agite de part en part l’injustice et l’absurdité de la maladie, le sida. Son sens aigu du romanesque, cette densité de chaque instant donnée aux sentiments et à leurs infimes manifestations (...) lui confèrent une puissance émotionnelle déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par P.V.
Ce film donne une perception furieusement romantique d'une époque à la fois proche et lointaine, où internet n'existait pas encore.
Première
par Damien Leblanc
Au milieu de références à Mauvais sang de Leos Carax ou d’affiches de Wong Kar-waï aperçues dans le métro, le septième long métrage de Morel trouve sa propre voix et s’appuie sur un trio étincelant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Fluide, contemporain, sans pathos ou presque [...], ce récit à fleur de peau est porté par trois futurs grands.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une fille, deux garçons durant les années sida. Les corps et les destins, le bonheur et le malheur : avec Gaël Morel, tout se mêle, et c’est lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Malgré quelques passages convenus, desservis sans doute par l'usage des musiques – belles, mais trop appuyées – de Georges Delerue, ce récit reste linéaire, parfois surprenant et toujours haletant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par O.D.
Lou Lampros crève l'écran et réussit même à faire passer ses dialogues à l'amidon, enrobés d’un discours psychosociologique si loin du réel. Le soufflé romanesque retombe lors de la troisième partie. L'ennui s'invite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Ce mélo porté par quelques notes entêtantes au piano assume les codes d’un certain cinéma français, élégant, sculptant la rencontre, ajustant le rythme, élaguant les dialogues au plus juste, quitte à rester un peu trop dans le cadre. Mais le trio d’acteurs (tous magnifiques, et très justes) donne envie de s’intéresser à l’histoire, qui ne se contente pas de rejouer le désir de vivre dans le milieu homo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 2 semaines
par C.C.
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
Télé Loisirs
par C.C.
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Gaël Morel parvient à proposer un film moins radical que ses précédentes œuvres, l’excès de musiques lénifiantes et de mélodrame égare parfois l’attention du spectateur. Vivre, mourir, renaître demeure nécessaire au moment où nombre de personnes semblent oublier que le sida est une maladie grave et mortifère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Des intentions louables, mais un film qui n’a pas la force espérée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Sandra Onana
Evocation des années sida à travers un triangle amoureux déchiré par la maladie, le film de Gaël Morel donne dans la commisération et le numéro de charme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Dans ce drame ponctué de scènes magnifiques, Victor Belmondo décroche son plus beau rôle à ce jour.
20 Minutes
Un mélodrame brillant.
Bande à part
Pour son retour au cinéma, l’acteur-réalisateur Gaël Morel raconte l’histoire d’un amour libre et subtil au sein d’un trio soudainement disloqué par l’arrivée du sida. "Vivre Mourir Renaître" est, à ce jour, certainement son plus beau film.
Cahiers du Cinéma
Si ses premiers films étaient des fugues, Gaël Morel vise ici l’ampleur d’une traversée, voire d’une fresque. Sitôt son dispositif (si téchinesque) constitué, Vivre, mourir, renaître déploie un récit en trois temps, chacun pris en charge par le regard d’un personnage qui imprime à chaque mouvement sa couleur et son timbre singulier.
L'Obs
C’est une envolée lyrique et tragique qui regarde le passé pour mieux appréhender le présent, où trois acteurs, à la beauté cristalline et au charisme sublimé, brillent d’une intensité chavirante.
La Croix
Par ce film puissant et délicat, Gaël Morel relate la trajectoire d’un trio amoureux percuté par l’épidémie de sida dans les années 1990.
Le Journal du Dimanche
Bouleversant.
Le Point
Gaël Morel, qu'on avait découvert jeune acteur dans le très beau récit d'apprentissage d'André Téchiné Les Roseaux sauvages (1994), réussit à son tour un grand film sur la jeunesse, l'amour et le destin.
Les Echos
Un film délicat et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Alors que l’on célèbre en 2024 les trente ans de combat de Sidaction, Gaël Morel déploie un drame dans lequel le VIH s’immisce dans un triangle amoureux. De l’amour à la mort, et jusqu’à l’espoir d’une guérison, la maladie se fait le liant de son récit.
Les Inrockuptibles
Et c’est toute la force tragique du film que d’opposer à ce sublime élan vital qui l’agite de part en part l’injustice et l’absurdité de la maladie, le sida. Son sens aigu du romanesque, cette densité de chaque instant donnée aux sentiments et à leurs infimes manifestations (...) lui confèrent une puissance émotionnelle déchirante.
Ouest France
Ce film donne une perception furieusement romantique d'une époque à la fois proche et lointaine, où internet n'existait pas encore.
Première
Au milieu de références à Mauvais sang de Leos Carax ou d’affiches de Wong Kar-waï aperçues dans le métro, le septième long métrage de Morel trouve sa propre voix et s’appuie sur un trio étincelant (...).
Télé 7 Jours
Fluide, contemporain, sans pathos ou presque [...], ce récit à fleur de peau est porté par trois futurs grands.
Télérama
Une fille, deux garçons durant les années sida. Les corps et les destins, le bonheur et le malheur : avec Gaël Morel, tout se mêle, et c’est lumineux.
Franceinfo Culture
Malgré quelques passages convenus, desservis sans doute par l'usage des musiques – belles, mais trop appuyées – de Georges Delerue, ce récit reste linéaire, parfois surprenant et toujours haletant.
Le Figaro
Lou Lampros crève l'écran et réussit même à faire passer ses dialogues à l'amidon, enrobés d’un discours psychosociologique si loin du réel. Le soufflé romanesque retombe lors de la troisième partie. L'ennui s'invite.
Le Monde
Ce mélo porté par quelques notes entêtantes au piano assume les codes d’un certain cinéma français, élégant, sculptant la rencontre, ajustant le rythme, élaguant les dialogues au plus juste, quitte à rester un peu trop dans le cadre. Mais le trio d’acteurs (tous magnifiques, et très justes) donne envie de s’intéresser à l’histoire, qui ne se contente pas de rejouer le désir de vivre dans le milieu homo.
Télé 2 semaines
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
Télé Loisirs
Les trois jeunes comédiens ont un charme fou.
aVoir-aLire.com
Si Gaël Morel parvient à proposer un film moins radical que ses précédentes œuvres, l’excès de musiques lénifiantes et de mélodrame égare parfois l’attention du spectateur. Vivre, mourir, renaître demeure nécessaire au moment où nombre de personnes semblent oublier que le sida est une maladie grave et mortifère.
La Voix du Nord
Des intentions louables, mais un film qui n’a pas la force espérée.
Libération
Evocation des années sida à travers un triangle amoureux déchiré par la maladie, le film de Gaël Morel donne dans la commisération et le numéro de charme.