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Votre avis sur Hiver 54, l'abbé Pierre ?
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Lambert Wilson est très juste et très touchant dans le rôle de la magnifique personne qu'était l'abbé Pierre.
Doté d'une très belle photographie, le film raconte assez bien son histoire et sait nous toucher en nous montrant tous ces pauvres et SDF qui gèlent la nuit.
Les personnages et acteurs pour la plupart sont attachants et le film est assez intéressants malgré qu'il soit un peu lent et répétitif (pourtant il ne dure qu'une heure quarante) que les personnages parlent tout le temps et tous en même temps et que ce soit un peu manichéen (on ne nous explique pas beaucoup les motivations des antagonistes).
Une histoire comme ça aurait mérité d'être racontée avec plus de pep et d'émotions mais c'est déjà pas si mal.
Quand à la musique, on a connu Philippe Sarde plus en forme qu'avec son espèce d'accordéon crevé.
Doté d'une très belle photographie, le film raconte assez bien son histoire et sait nous toucher en nous montrant tous ces pauvres et SDF qui gèlent la nuit.
Les personnages et acteurs pour la plupart sont attachants et le film est assez intéressants malgré qu'il soit un peu lent et répétitif (pourtant il ne dure qu'une heure quarante) que les personnages parlent tout le temps et tous en même temps et que ce soit un peu manichéen (on ne nous explique pas beaucoup les motivations des antagonistes).
Une histoire comme ça aurait mérité d'être racontée avec plus de pep et d'émotions mais c'est déjà pas si mal.
Quand à la musique, on a connu Philippe Sarde plus en forme qu'avec son espèce d'accordéon crevé.
Beaux film , qui nous décrit bien cet Homme.
« Si la guerre peut causer des morts, pourquoi la paix n'en ferait-elle pas quelques-uns ? », face à cette thèse du Ministre de l'Intérieur, l'Abbé Pierre affronte la politique de son pays afin de sauver des vies. Les sans-abri sont nombreux en cette France d'après-guerre, l'hiver en a raison de beaucoup d'entre eux ! Ce combat acharné a été mis à l'écran par un habitué de séries ou téléfilms : un certain Denis Amar ! Le sujet ne peut que nous toucher d'autant que le rôle-titre est assumé par un Lambert Wilson particulièrement inspiré qui emportera le prix Jean Gabin ! Le césar attribué à Robert Hirsch est, selon moi, trop généreux ! Il souffre d'un jeu que j'attribue aux téléfilms, à savoir approximatif ! Ce n'est pas catastrophique mais pas digne d'un césar ! Le film devra supporter le même constat ! Ceci dit, on ne s'ennuie jamais, le sujet est très intéressant et quelques scènes resteront en nos mémoires ! Le film m'a été montré en religion, il constitue du pain béni pour un professeur de cette matière ! À voir pour le côté historique et pour le jeu de Wilson !
Dommage que le scénario n'accorde pas plus de place au passé et l'histoire de ces personnes. On nous sert une période mais pas assez fouillée. Les acteurs jouent bien, l'image est froide et humide. Le film me semble avoir vieilli.
3,1/5
3,1/5
Dik ap Prale
Pour l'attrait d'un portrait longtemps resté une exception insolite avant prochainement le film de Frédéric Tellier.
L'homme à bousculer la politique de relogement et de redistribution. Hiver 54 éclaire pour le mieux cette période de propositions, avec le peu de qualité qu'il a pour lui.
Dialogues et séquences, même portés par un Lambert Wilson au tournant de sa carrière et vers une reconnaissance de son travail; lui même ne brille pas. C'est fade et monotone, et la confrontation avec le pouvoir reste très abstrait, ou trop confuse.
On ne découvre pas suffisamment l'homme, ses vœux son régiment son implication politique et ses liens avec De Gaulle à partir de 43 avant Emmaüs, on révèle surtout le dossier Emmaüs à la façon d'un téléfilm sans envergure.
L'homme à bousculer la politique de relogement et de redistribution. Hiver 54 éclaire pour le mieux cette période de propositions, avec le peu de qualité qu'il a pour lui.
Dialogues et séquences, même portés par un Lambert Wilson au tournant de sa carrière et vers une reconnaissance de son travail; lui même ne brille pas. C'est fade et monotone, et la confrontation avec le pouvoir reste très abstrait, ou trop confuse.
On ne découvre pas suffisamment l'homme, ses vœux son régiment son implication politique et ses liens avec De Gaulle à partir de 43 avant Emmaüs, on révèle surtout le dossier Emmaüs à la façon d'un téléfilm sans envergure.
Biopic d'un héros ! Tous simplement bouleversant Lambert Wilson nous livre une de ses meilleurs prestations. Claudia Cardinale, somptueuses qui reconnaît que les personne riches, à l'égars des gens pauvres, pour des hommes sans cœur. Qui n'est jamais chez Emmaus, pour se redonner vie. Pour donner l'exemple, en mon temps, j'ai vue ce film pendant un cours d'histoire au collège, et ma laisse une trace indelibile. La prestation est magnifique, joué par des hommes de théâtre, une bonne musique, un dialogue lié à de l'humour bienvenue. Pourtant d'actualité, j'espère qu'on va tous réfléchir à ce que cette héros, l'abbé Pierre, et faire retomber la pauvreté. L'espoir, même petit, même casse gueule ! Magnifique, bouleversant !
Je viens de le revoir sur LCP et j'avoue que j'avais oublié toute la 1ère partie précédant l'appel radiodiffusé. Comme quoi la piqûre de rappel était nécessaire ! C'est très émouvant mais jamais larmoyant ; militant en fait, tel l'abbé Pierre et les Chiffonniers d'Emmaüs. Claudia Cardinale et Lambert Wilson sont excellents. Il y a quelques années, la Municipalité de Barcelonnette a inauguré un square de l'abbé Pierre parce que son village d'origine, Fouillouse est à une trentaine de km plus en amont de la ville dans la vallée de l'Ubaye. Et pour l'orner d'une statue du grand homme, elle a lancé une souscription.
J'ai envoyé 20€ mais on m'a renvoyé mon chèque 1 an après : ils n'avaient pas reçu assez d'argent. À pleurer...
J'ai envoyé 20€ mais on m'a renvoyé mon chèque 1 an après : ils n'avaient pas reçu assez d'argent. À pleurer...
Un très bon biopic sur l'abbé Pierre incarné par Lambert Wilson. Un très beau film sur la misère des pauvres.
Ennuyeux, plein de gnangnan, les débats politiques sur la question sociale sont escamotés. Le réalisateur est sorti de la sphère du témoignage pour entrer dans celle de l'hommage. Ce choix est bien regrettable.
Les efforts désintéressés de l'Abbé Pierre pour sauver de nombreux Français d'une mort certaine pendant l'hiver brutal de 1954 constituent une histoire édifiante. Malheureusement dans ce cas elle a été mal racontée. Les images d'une beauté obsédante parviennent à surmonter les inconvénients d'un scénario parfois haché et d'un montage médiocre. Malgré cela il y a plus qu'assez de grands moments et de superbes performances dans ce film pour qu'il vaille la peine d'être regardé. Avec peu de soutien de la part du scénario Lambert Wilson parvient à donner vie à la piété au dévouement et au charisme de l'abbé Pierre non seulement avec des mots mais aussi avec tout son être. Il est particulièrement efficace dans le discours radiophonique de l'Abbé Pierre. Les autres performances en particulier celles des entrepreneurs sans-abri de l'Abbé et des politiciens aux oreilles de fer sont également excellentes. Le style visuel cohérent du film est étonnant si l'on considère que la vie de rue de l'Abbé et de ses cohortes se trouve continuellement en juxtaposition frappante avec l'existence élégante et bien nourrie de ceux qui ont l'argent et le pouvoir de résoudre une situation menaçant leur vie...
Ce film a le mérite de nous faire découvrir un peu plus concrètement l’hiver 54 de cet homme inspirant, son engagement et sa bataille politique dans cet environnement glacial , à -15 degrés
Une sorte de « Coluche »à l'ancienne, (« hélas tout change, mais rien ne change») dans un climat politique tendu et les 1ères forces des médias spoiler: ( les journaux d’abord, puis ce célèbre appel à la radio qui changea tout)
Lambert Wilson se sort brillamment (et avec un César) de ce rôle écrasant, même si trop lacrymal, et le casting est excellent, aussi bien du côté des « compagnons », (Robert Hirsch = 1 autre César) que de Claudia Cardinale spoiler: (bienfaitrice « un peu nunuche » ?? » de l’hôtel royal Hausman).
Pourtant, le scénario est assez mou, avec des morceaux de bravoure qui viennent le relancer et les retournements politiques restent flous spoiler: (on a aucune idée de ses liens des années antérieures comme sénateur !).
On frôle le téléfilm ennuyant..
Ennuyeux, ce grand homme méritait mieux.
Une sorte de « Coluche »à l'ancienne, (« hélas tout change, mais rien ne change») dans un climat politique tendu et les 1ères forces des médias spoiler: ( les journaux d’abord, puis ce célèbre appel à la radio qui changea tout)
Lambert Wilson se sort brillamment (et avec un César) de ce rôle écrasant, même si trop lacrymal, et le casting est excellent, aussi bien du côté des « compagnons », (Robert Hirsch = 1 autre César) que de Claudia Cardinale spoiler: (bienfaitrice « un peu nunuche » ?? » de l’hôtel royal Hausman).
Pourtant, le scénario est assez mou, avec des morceaux de bravoure qui viennent le relancer et les retournements politiques restent flous spoiler: (on a aucune idée de ses liens des années antérieures comme sénateur !).
On frôle le téléfilm ennuyant..
Ennuyeux, ce grand homme méritait mieux.
Vu le 04/04/2024.
Un film intéressant sur un personnage dont j'avais beaucoup entendu parler sans trop connaitre son histoire, désormais je connais mieux le personnage qui avait déjà 65 ans ans à ma naissance.
Lambert Wilson interprète tout à fait bien ce personnage mais si je trouve que sa voix manquait de coffre et de profondeur, un peu trop chétive, un peu trop candide. La musique de fond composée par Philippe Sarde n’est pas folichonne non plus, ça fait un peu guinguette.
Pour le reste, le film explique bien les enjeux et le combat de ce grand homme, combat contre les autorités qui seront restées longtemps insensibles et inflexibles, alors qu'ils se pavanent dans l'opulence. Le célèbre discours à Radio-Luxembourg est bien retranscrit. J'ai bien aimé le personnage de Raoul (joué par Robert Hirsch notamment quand il explique d'où vient le mot Emmaus "y'a que les mules qui changent pas d'avis"); Belle prestation aussi tout en douceur de la belle Claudia Cardinale (dans le rôle de Hélène Larmier)
Un film intéressant sur un personnage dont j'avais beaucoup entendu parler sans trop connaitre son histoire, désormais je connais mieux le personnage qui avait déjà 65 ans ans à ma naissance.
Lambert Wilson interprète tout à fait bien ce personnage mais si je trouve que sa voix manquait de coffre et de profondeur, un peu trop chétive, un peu trop candide. La musique de fond composée par Philippe Sarde n’est pas folichonne non plus, ça fait un peu guinguette.
Pour le reste, le film explique bien les enjeux et le combat de ce grand homme, combat contre les autorités qui seront restées longtemps insensibles et inflexibles, alors qu'ils se pavanent dans l'opulence. Le célèbre discours à Radio-Luxembourg est bien retranscrit. J'ai bien aimé le personnage de Raoul (joué par Robert Hirsch notamment quand il explique d'où vient le mot Emmaus "y'a que les mules qui changent pas d'avis"); Belle prestation aussi tout en douceur de la belle Claudia Cardinale (dans le rôle de Hélène Larmier)
Un film émouvant qui peut faire pleurer ! Ça retrace avec brio la vie de l'abbé Pierre ! J'ai adoré ce film !
Un film ! plutôt une partie de la vie à cette époque qui à ému les personnes qui n'étaient pas au courant de cette tragédie. Mais grâce à ce prêtre tout a été découvert. Si bien interprété par Lambert Wilson, il n'y rien à redire. Sinon que nous revenons presque à la même époque, mais là je sort du sujet !
Merci pour cette soirée qui ma rappelé ces années.
Merci pour cette soirée qui ma rappelé ces années.
Très beau film et histoire impressionnante. Wilson, magnifique !
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