Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un moment charmant.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Joachim Arseguel et un José Garcia tout en retenue rendent le film très attachant.
Télé Loisirs
par Alexandra Ayo Barro
Le jeune Joachim Arseguel est touchant de pureté, guidé par un José Garcia captivant dans ce registre dramatique.
Voici
par V.C.
Le « film d’école » est un genre délicat à manier et la réalisatrice Jennifer Devoldère (Sage Homme) le fait avec un talent indéniable grâce à de jeunes interprètes tout en justesse, une empathie non feinte et un regard subtil sur les évolutions sociétales.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pourtant, le mélange assumé entre « le Cercle des poètes disparus » et « Billy Elliot » surprend agréablement grâce à la mise en scène fluide de l’autrice de « Sage-homme ». Son regard sans insistance fait mouche, surtout lorsqu’il se pose sur ses acteurs, le prometteur Joachim Arseguel, ainsi que José Garcia, excellent en prof faillible et engagé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une jolie comédie initiatique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
José Garcia a beau être très crédible dans ce rôle, l’intrigue est trop prévisible. Et le film sympathique, mais ponctué de scènes pas toujours crédibles ou qui tombent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Un antidote au cynisme roi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un film sensible sur la transmission et la quête de l'estime de soi.
Télérama
par Guillemette Odicino
Face à un casting adolescent joliment disparate, le talent naturel de José Garcia envahit l’espace. Pas un pic, ni une péninsule, donc, mais un film attachant, qui, grâce au charisme d’un grand comédien, finit par toucher.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Malgré un scénario cousu de fil blanc, la qualité des dialogues et l'interprétation sincère des acteurs font de cette histoire un bon divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Chaque message sur la différence et la tolérance semble ainsi écrit en grosses lettres et hormis les apparitions de la grand mère italienne (irrésistible Vittoria Scognamiglio), le film oublie globalement sa légèreté initiale.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Joachim Arseguel est touchant en jeune ado mal dans sa peau, qu’un grand texte classique console.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
« Assumer qui on est »… On lève tous la main pour approuver bien sûr. Même si on regrette le côté superficiel d’un récit qui ne fait pas vraiment naître l’émotion. Ce qu’avait beaucoup mieux réussi Jennifer Devoldère dans son précédent film, Sage-homme (2023), histoire de transmission plus convaincante, en milieu hospitalier.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le Panache se repose sur ses intentions louables et quelques fulgurances d’interprétation. La poésie des mots s’épanouit, mais l’audace cinématographique manque.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il n'y a pas grand-chose à sauver dans cette adaptation désuète d'un seul-en-scène de Nicolas Devort lorgnant du côté du "Cercle des poètes disparus" de Peter Weir [...].
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Si sa démarche est, à n’en pas douter, sincère, Jennifer Devoldère s’applique à suivre un récit convenu, et signe une comédie, par endroits, maladroite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Jennifer Devoldère appuie violemment sur la pédale de la sensiblerie dans ce film mièvre où José Garcia, la mine compréhensive, campe le pédagogue éclairé.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Un choc entre l’ancien et le nouveau monde intéressant, mais qu’il était là encore nécessaire de plus développer pour donner plus de panache à ce « Panache » parfois hésitant et loin donc du « Cercle des poètes disparus », dont on sent parfois l’influence, beaucoup trop pesante.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le récit est généreux, l'interprétation sensible, mais la mise en scène trop convenue. "Le Panache" manque de panache.
Femme Actuelle
Un moment charmant.
Ouest France
Joachim Arseguel et un José Garcia tout en retenue rendent le film très attachant.
Télé Loisirs
Le jeune Joachim Arseguel est touchant de pureté, guidé par un José Garcia captivant dans ce registre dramatique.
Voici
Le « film d’école » est un genre délicat à manier et la réalisatrice Jennifer Devoldère (Sage Homme) le fait avec un talent indéniable grâce à de jeunes interprètes tout en justesse, une empathie non feinte et un regard subtil sur les évolutions sociétales.
L'Obs
Pourtant, le mélange assumé entre « le Cercle des poètes disparus » et « Billy Elliot » surprend agréablement grâce à la mise en scène fluide de l’autrice de « Sage-homme ». Son regard sans insistance fait mouche, surtout lorsqu’il se pose sur ses acteurs, le prometteur Joachim Arseguel, ainsi que José Garcia, excellent en prof faillible et engagé.
La Croix
Une jolie comédie initiatique.
Le Parisien
José Garcia a beau être très crédible dans ce rôle, l’intrigue est trop prévisible. Et le film sympathique, mais ponctué de scènes pas toujours crédibles ou qui tombent à plat.
Première
Un antidote au cynisme roi.
Télé 7 Jours
Un film sensible sur la transmission et la quête de l'estime de soi.
Télérama
Face à un casting adolescent joliment disparate, le talent naturel de José Garcia envahit l’espace. Pas un pic, ni une péninsule, donc, mais un film attachant, qui, grâce au charisme d’un grand comédien, finit par toucher.
Version Femina
Malgré un scénario cousu de fil blanc, la qualité des dialogues et l'interprétation sincère des acteurs font de cette histoire un bon divertissement.
Abus de Ciné
Chaque message sur la différence et la tolérance semble ainsi écrit en grosses lettres et hormis les apparitions de la grand mère italienne (irrésistible Vittoria Scognamiglio), le film oublie globalement sa légèreté initiale.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Joachim Arseguel est touchant en jeune ado mal dans sa peau, qu’un grand texte classique console.
La Voix du Nord
« Assumer qui on est »… On lève tous la main pour approuver bien sûr. Même si on regrette le côté superficiel d’un récit qui ne fait pas vraiment naître l’émotion. Ce qu’avait beaucoup mieux réussi Jennifer Devoldère dans son précédent film, Sage-homme (2023), histoire de transmission plus convaincante, en milieu hospitalier.
Le Dauphiné Libéré
Le Panache se repose sur ses intentions louables et quelques fulgurances d’interprétation. La poésie des mots s’épanouit, mais l’audace cinématographique manque.
Le Journal du Dimanche
Il n'y a pas grand-chose à sauver dans cette adaptation désuète d'un seul-en-scène de Nicolas Devort lorgnant du côté du "Cercle des poètes disparus" de Peter Weir [...].
Les Fiches du Cinéma
Si sa démarche est, à n’en pas douter, sincère, Jennifer Devoldère s’applique à suivre un récit convenu, et signe une comédie, par endroits, maladroite.
Marianne
Jennifer Devoldère appuie violemment sur la pédale de la sensiblerie dans ce film mièvre où José Garcia, la mine compréhensive, campe le pédagogue éclairé.
Nice-Matin
Un choc entre l’ancien et le nouveau monde intéressant, mais qu’il était là encore nécessaire de plus développer pour donner plus de panache à ce « Panache » parfois hésitant et loin donc du « Cercle des poètes disparus », dont on sent parfois l’influence, beaucoup trop pesante.
Sud Ouest
Le récit est généreux, l'interprétation sensible, mais la mise en scène trop convenue. "Le Panache" manque de panache.