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    Bird
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    86 critiques spectateurs

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    Pierre842
    Pierre842

    22 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Avis mitigé pour moi. Le film montre la pauvreté dans un coin de l’Angleterre. Pour moi, vers la fin du film. Une copie d'un film français "Le règne animal". Mélange deux genres dans un film. Pour moi, ça ne colle pas. J'ai trouver le film, bien longue à la fin.
    Mariana Birlan
    Mariana Birlan

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2025
    Ce film m’a donné mal au cœur, car la caméra bougeait beaucoup pendant les prises de vue. Je n’ai pas supporté de voir plus d’une heure, c’était éprouvant physiquement. Je regrette d’avoir payé 10€ pour passer un très mauvais moment! Ce film a un message à transmettre, mais le montage, ainsi que les prises de vues sont trop vite faits, sans soin et sans empathie pour les spectateurs. Dommage!
    Régine T
    Régine T

    19 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2025
    Dans le Kent, des marginaux ouvrent la scène. Une adolescente, son frère et son père forment le trio de Bird où dans un univers sans issue, apparaît le signe de la liberté sous le personnage de Bird.
    Excellent film et interprétation parfaite de la jeune adolescente, Bailey.
    swaf75
    swaf75

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Si 2024 avait manqué de grands films anglais , 2025 démarre très fort outre manche avec ce Bird magnifique qui met de la poésie dans la misère des marginaux et n’est pas sans rappeler le chef d’œuvre « War Pony » de 2023, son équivalent américain.
    Crypto Bok
    Crypto Bok

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Andréa Arnold capte le spectateur dès les premières minutes de son film en imposant la musique, le son et cette manière si vive de filmer ses personnages. Le reste du film est au même niveau, aucune perte de rythme, aucun misérabilisme, des personnages qui pourraient être marginaux mais dont la normalité est juste autre.
    Et cette dose de fantastique qui est assumée, mais quel plaisir.
    L’un des meilleurs films de super-héros de cette dernière décennie.
    Mariannaparis
    Mariannaparis

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Poésie Énergie Beauté Espoir. Quand le fantastique aide à appréhender le monde et dépasser l’étroitesse du quotidien. Le son et la musique en soutien des images de façon incroyable, un film à voir. Une réalisatrice à suivre.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 116 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Andrea Arnold est une réalisatrice avec qui il faut compter. Bird est un film incroyable, il arrive à la fois à s'inscrire dans une réalité sociale dure, tangible, avec limite un côté naturaliste et à verser dans le fantastique en même temps, par petites touches inattendues. Le mélange n'avait aucune chance de fonctionner et pourtant ça marche tellement bien. La mise en scène nerveuse et le montage font tout... insérer des flash comme ça dans le quotidien, des souvenirs, des idées, des impressions... Malgré le côté nerveux on a l'impression de planer, d'enchainer grande violence et poésie... Bird est un film sensoriel, qui fait ressentir ce qu'il a à dire par l'image, par le montage...

    On suit l'histoire d'une gamine qui vit une vie franchement pas terrible dans une banlieue anglaise avec son père qui veut se marier avec une femme qu'il vient de rencontrer.
    La caméra tremble tout le temps, il y a un aspect pris sur le vif qui permet immédiatement de croire aux situations et en même temps on a donc ce personnage de Bird, qui est là, qui parle bizarrement, qui se comporte bizarrement, dont on n'a aucune idée de comment il peut vivre, d'où il vient, de ce qu'il fait réellement là, mais qui est là. Ce mec pour le moins louche devient petit à petit une présence rassurante... Encore une fois tout est dit par l'image... On ne saura rien sur ce gars, comment il est devenu ce qu'il est devenu, on n'a aucune explication et on n'en a pas besoin...

    C'est ça qui est fabuleux dans le film c'est cette alternance entre violence et profonde tendresse entrecoupée de moments qui semblent hors du temps et hors de la raison... une sorte de fantasme... de rêve...

    En fait ce qu'il faut retenir c'est que ce drame social aurait pu être lourdingue, il aurait pu se vautrer totalement, mais il bénéficie d'une telle énergie vitale, d'un tel rythme, de tellement d'idées de cinéma (encore une fois le montage insérant des flash des préoccupations, des visions de la gamine, ça fonctionne tellement bien) qu'il évite tous les écueils du genre. Il survole. Nous avons certains de plus beaux moments de tendresse qui soient : le père avec sa fille et son fils à la fin, Bird et la gamine à la maison de sa mère à la fin. Cette tendresse permet de supporter la violence des conditions de vie de cette fille, ça rend sa vie supportable.

    En tous cas grand film et j'ai hâte de compléter la filmographie d'Andrea Arnold.
    Clem Lepic
    Clem Lepic

    41 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Film assez original sur la forme et le fond.
    Sur le fond : on suit une jeune fille de 12 ans habitant une banlieue pauvre en Angleterre, très responsabilisée, devant jongler entre un père immature qui se marie avec une femme qu'il connnait depuis 3 mois, un demi frère fier d'avoir mis enceinte une fille de 14 ans, 3 demi sœurs qui assistent à des relations violentes entre leur mère et son nouveau copain, et un mystérieux nouveau compagnon qui s'appelle "Bird". Le doute plane pendant tout le film sur l'existence réelle de ce personnage ou alors s'il est imaginé de toute pièce par la jeune fille? Son prénom aussi, "oiseau", serait comme une personne pouvant réconforter dans ses plumes soyeuses.
    Sur la forme : par moments des tags présents sur les murs/fenêtres sont mis en avant, la petite filme certains moments avec son téléphone et projette ces petits films faits maison. Bande son intéressante.
    bruno panier
    bruno panier

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2025
    Film surprenant qui dépeint la pauvreté d'une partie de la population British qui reste jubilatoire avec un zeste de surealisme.
    Henner
    Henner

    70 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2025
    Difficile de faire plus glauque, mais dans la peinture d'un milieu défavorisé, la cinéaste s'en tire avec les honneurs. La misère affective et familiale vue à travers le regard d'une adolescente de 13 ans. La gamine qui en a vu de toutes les couleurs rame pour tenir ce qui lui reste de famille à flot. Tout cela est filmé, souvent caméra au poing, de manière réaliste et poétique voire parfois, ésotérique si bien que certains aspects du film, fantasmés ou non, peuvent échapper. Mais l'ensemble, en dépit de quelques longueurs, tient bien la route et l'émotion passe. C'est important dans un film parce que si on reste en dehors on entend le réalisateur dire "action " et on regarde des acteurs jouer ce qui est assommant. Rien de tout cela ici. L'adolescente qui vit dans un genre de "squatt" sous l'autorité d'un jeune père débordé, divorcé et qui va se remarier est désabusée. Sa seule satisfaction c'est de regarder les oiseaux ( d'où le titre). Sa rencontre avec un drôle ... d'oiseau changera sa vie et lui redonnera un peu d'espoir. La peinture de cet univers pour le moins sinistre est très originale et la réalisatrice a du talent. On lui passe volontiers quelques petites embardées et on la félicite bien fort. Le film ne plaira pas à tout le monde. Mais, contrairement à ""l'ours du Jura", il emporte l'adhésion par la qualité de la réalisation. Le regard aigü porté sur une certaine humanité et l'excellence des interprètes font le reste.
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    89 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2025
    C’est l’histoire de Bailey, 12 ans, qui vit avec son frère et son père, seul à les élever dans un squat du nord du Kent.
    Fascinée par les oiseaux, elle rêve de s’envoler ailleurs, jusqu’au jour où elle croise la route d’un marginal qui se fait appeler Bird…

    Dans BIRD, Andrea Arnold dresse un portrait poignant d’une adolescente, mais surtout de cette jeunesse livrée à elle-même dans les quartiers populaires du sud de l’Angleterre. Avec un réalisme bluffant, elle capte la pauvreté et la misère qui gangrènent ces banlieues, où les rêves semblent s’éteindre avant d’éclore.

    Dans la lignée du cinéma de Ken Loach, on est face à un cinéma social qui adopte un regard brut et sans concession sur l’âpreté de la vie quotidienne.
    Caméra à l’épaule, elle filme ses personnages au plus près, nous plongeant au cœur de cette précarité brutale, mais aussi dans la beauté des instants de solidarité et des éclats de rêve.

    Au cœur du récit, on assiste à un véritable parcours initiatique. Bailey, entre enfance et âge adulte, cherche sa voie dans un monde qui ne lui offre aucune échappatoire.
    Bien que ce synopsis puisse sembler familier, ce qui fait toute la force du film, c’est la manière dont Andrea Arnold le transcende grâce à des personnages d’une puissance et d’un magnétisme rare.

    Bailey est interprétée par une impressionnante Nykiya Adams, dont la maturité et la sensibilité donnent une profondeur inoubliable au personnage. Son personnage devient le symbole de cette jeunesse à la dérive qui cherche sa voie.
    À ses côtés, Barry Keoghan est bluffant dans le rôle du père maladroit, hanté par ses propres échecs. Il parvient à mêler narcissisme irritant et une tendresse insoupçonnée.
    Enfin, Franz Rogowski est fascinant dans le rôle énigmatique de Bird. Son magnétisme naturel et sa gestuelle subtile confèrent au personnage un charisme rare.
    Ce trio porte le film avec une intensité saisissante, ancrant leurs personnages dans nos mémoires bien après le générique final.

    Mais c’est surtout la relation entre Bailey et Bird qui donne au film toute sa dimension. Une relation sublime, faite de complicité, d’apprivoisement et d’entraide, où chacun trouve en l’autre un écho à ses propres blessures. L’oiseau, omniprésent, devient une métaphore centrale : celle d’un désir de liberté viscéral, jusqu’au prénom de ce compagnon marginal qui montre à Bailey une autre voie.
    La réalisatrice nous fait constamment basculer entre le désespoir et l’espoir, pour en faire ressortir une ode à la liberté.
    Malgré la noirceur du récit et son ambiance pesante, le film est baigné d’une musique et d’une poésie qui en font une œuvre feel good, offrant des moments oniriques et profondément sensibles.

    BIRD est une fable moderne, aussi surprenante que touchante. Une expérience émotionnelle inoubliable, et sans aucun doute mon premier coup de cœur de l’année.

    https://www.critiquesdunpassionne.fr/cinema-1/bird
    Mélany T
    Mélany T

    32 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2025
    Une œuvre magistrale à l'esthétique sublime, au récit subtil, émouvant, intelligent et passionnant et aux acteur.trice.s incroyables.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    78 abonnés 233 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2025
    Après American Honey, la réalisatrice britannique continue de s'intéresser à une jeunesse marginale et qui se cherche, mais en posant ici sa caméra dans une banlieue du sud de l'Angleterre.

    Le film a l'originalité de coupler un drame social abordé sous un angle quasi documentaire, à un récit plus onirique, qui ose même injecter une touche de fantastique.

    Bird est l'histoire du passage à l'adolescence d'une jeune fille qui doit chaque jour lutter et composer avec les lourdes chaînes de son environnement social et familial et qui y parvient en se réfugiant dans l'imaginaire, par une sorte de sublimation de son quotidien, retranscrite dans des scènes très poétiques où elle filme ce qui l'entoure avec son téléphone portable puis le projette sur le mur de sa chambre.

    Mais c'est aussi un film passionnant d'un point de vue sociologique, dans la façon qu'il a de dépeindre la misère sociale des classes anglaises les plus populaires. Il serait d'ailleurs sacrilège de regarder le film en VF, tant l'accent des personnages se révèle être un marqueur social à part entière.

    Le film alterne donc entre le crade, le sordide et des parenthèses d'une belle poésie où chaque détail, aussi glauque soit-il, est sublimé soit par la caméra de la réalisatrice, soit par celle du téléphone portable de son héroïne, moments durant lesquels une part belle est faite aux animaux et aux éléments de la nature.

    L'on retrouve avec plaisir le toujours très intriguant Franz Rogowski, déjà repéré dans Disco Boy et Passages en 2023, acteur singulier qui vient une fois de plus marquer le film de son empreinte, ainsi que Barry Kheogan, célèbre pour ses rôles dans The Banshees of Inisherin et Saltburn. La jeune Nikiya Adams impressionne par l'intensité de son regard et de son jeu.

    L'on peut reprocher au film quelques tics de réalisation comme cette caméra à l'épaule utilisée de manière excessive mais qui cherche à retranscrire toute la fougue, la rage et l'électricité de son personnage principal, ainsi que quelques longueurs.

    Bird fut néanmoins l'un des coups de cœur de la sélection cannoise 2024 mais qui ne figura malheureusement pas au palmarès.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    capirex
    capirex

    102 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2025
    Intéressant film d'Andrea Arnold que cette chronique Sociale sur l’adolescence , portée par une distributions d'acteurs non professionnels , si l'on excepte Barry Keoghan et Franz Rogowski , épatante, qui vire au Conte sous forme de métaphore !
    Ufuk K
    Ufuk K

    529 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2025
    "Bird" nommé 2 fois l'an dernier aux European Film Awards est un drame social britannique coup de cœur pour moi. En effet, la réalisatrice Andrea Arnold livre aux spectateurs une histoire sur la jeunesse abandonnée du sud de l'Angleterre avec des séquences parfois âpres et difficiles pour mieux faire sentir la réalité aux spectateurs avec des acteurs pour la plupart non professionnelle qui donne le change avec la présence des excellents Barry Keoghan, Franz Rogowski et la révélation de ce film la jeune Nykiya Adams.
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